[Point de vue] Viols de masse en Angleterre : les autorités agissent enfin

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Le gouvernement anglais semble enfin décidé à s’attaquer aux dizaines de milliers de viols que des gangs pakistanais ont fait subir à des jeunes filles blanches. L’un des plus atroces scandales des cinquante dernières années.

Si Fdesouche n’existait pas, il faudrait l’inventer. Voilà des années que le site pionnier de la réinfosphère mène une veille informatique sur les viols de masse outre-Manche. Un « holocauste de nos enfants », a pu dire un ancien porte-parole du UKIP, Alan Craig, sur qui tout le monde est tombé. C’est pourtant le plus grand scandale que la Grande-Bretagne ait connu ces quarante dernières années. Inutile de dire qu’il a été méthodiquement occulté.

Silence, on viole ! En masse. En meute. En secret. Des milliers, des dizaines de milliers de jeunes filles. Nul ne sait combien. Près de 19.000 victimes identifiées au cours de l’année 2018-2019. De son côté, The Independent avance pour la même période le chiffre stratosphérique de plus de 75.000 victimes.

Mais parce que ces jeunes filles n’ont pas été violées par Harvey Weinstein, parce qu’elles ne sont pas éditrices à Saint-Germain-des-Prés, parce qu’elles ne montent pas les marches du festival de Cannes, parce qu’elles n’appartiennent pas à l’une de ces minorités labellisées par le système, leur sort n’émeut pas grand monde.

Elles donnent pourtant raison aux théories les plus radicales du féminisme. Oui, il y a une culture du viol, mais en l'occurrence, il faut plutôt en chercher la trace au sein de cette communauté pakistanaise. Oui, il y a une masculinité toxique, mais elle ne sort ni d’Eton ni de Cambridge, puisqu’elle a été directement importée des montagnes reculées du Baloutchistan et de la vallée du Pendjab, au Pakistan. Oui, il y a un racisme systémique, mais il s’exerce à l’encontre du peuple central. Oui, il y a une population qui a été « racisée », c’est-à-dire renvoyée à son assignation raciale : les filles perdues de la working class blanche anglaise sinistrée par des années de thatchérisme et de blairisme, autant dire rien du tout, rien que des petits paquets de viande substituable et de plaisir consommable – puis jetable.

L’animalisation des victimes

La liste des villes qui en furent le théâtre des horreurs est interminable : au moins une trentaine de municipalités identifiées à ce jour, qui égrènent la toponymie d’une Angleterre périphérique à la dérive, jadis florissante, aujourd’hui désindustrialisée et transformée en marché aux esclaves, où la « chair » des jeunes filles se négocie dans l’arrière-boutique de kebabs sordides. C’est la misère sortie d’un roman de Dickens qui a croisé la route d’un islam archaïque. Ici, Jack l’Éventreur s’appelle Mahmud le Violeur.

Ces gangs de violeurs aux têtes patibulaires ont été pudiquement rebaptisés « child grooming » et « Asian grooming gangs ». Un véritable crime lexical, puisqu’il revient à animaliser les victimes. « Grooming », c’est, littéralement, le « toilettage » des animaux. Dans la novlangue antiraciste, ces viols relèvent donc de l’animalité ou de l’animalerie (on s’y perd). Le « toilettage » des chiens ou plutôt des chiennes (en toute rigueur orthographique) consistant à « préparer » les jeunes filles pour les abuser sexuellement. Personne ne semble surpris par cette dénomination, complaisamment relayée par la presse, qui transforme ces viols en pratiques zoophiliques.

Seul l’épithète « asiatique » (autre litote) a pu heurter, et encore, seulement parce que les communautés sikhe et hindoue s’en sont indignées, ne voulant pas être associées à ces populations d’origine pakistanaise, parfois bangladaise ou afghane, essentiellement musulmanes.

Où sont les féministes ?

Malheur aux lanceurs d’alerte ! Dans la ville de Rotherham, vieille cité charbonnière et sidérurgique de 255.000 âmes, où il arrivait que les bourreaux aspergent les adolescentes d’essence en menaçant de les brûler, l’une des rares voix à avoir demandé une enquête a dû suivre des « cours de sensibilisation à la diversité » pour avoir eu l’audace d’évoquer l’origine ethnique des violeurs.

Les choses sont en train de bouger, lentement. Des voix, au plus haut niveau de l’État, s’élèvent, comme celle de Suella Braverman, d’origine indienne, ministre de l’Intérieur. Elle vient de reconnaître que « des milliers de jeunes Blanches ont été violées et droguées par des Pakistanais. Les travailleurs sociaux n’ont rien dit par peur du politiquement correct. »

Tout n’est pas réglé, loin de là, du moins si l’on croit le témoignage de l’ex-policière Maggie Oliver, à la tête d’une fondation, qui a révélé le scandale de l’abus d’enfants à Rochdale en 2012 : « Si quelque chose a changé, c’est que le problème a empiré. » Seuls 1,6 % des viols signalés aboutissent à une inculpation. Vous avez bien lu : 1,6 %. Un chiffre à la hauteur du déni collectif.

Où sont les féministes, si promptes à dénoncer les violences masculines ? En train de disserter du privilège blanc dans leur salon ? La prochaine fois, elles nous expliqueront sûrement que ces jeunes filles n’avaient qu’à se voiler pour ne pas se faire violer. En nous traitant de « merde raciste », comme Caroline De Haas lors des viols de Cologne.

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François Bousquet
Rédacteur en chef d’Éléments et directeur de la Nouvelle Librairie

Vos commentaires

28 commentaires

  1. Les viols à Cologne, en Grande Bretagne, mais n’oublions pas la France. La voilà, la belle Union Européenne qui a fait tant rêver en son temps. D’un rêve, on sort au réveil, de ce cauchemar, on n’en sortira pas indemnes… C’est avec ces méthodes barbares que l’on aboutira « enfin » à la créolisation, autre rêve caressé par un certain Mélenchon.

  2. Comme le hasard fait bien les choses, non ?
    Oui, les gangs pakistanais tristement célèbres du centre de la Grande-Bretagne… Banlieues de Birmingham, Manchester, etc.
    Non que, londonien d’adoption depuis 27 ans, je récuse le peu d’engouement montré par les gouvernements successifs, y compris et surtout à commencer par ceux du « Labour », Blair et compagnie, mais…
    Juste au moment où l’on apprend qu’il y « aurait » en France, dans les fameux ‘territoires perdus de la République », donc pas ou plus vraiment français, des gangs (présumés français) qui « gèrent » des filières de prostitution de masse, utilisant des gamines même pas majeures…
    Comme quoi, même la France grande donneuse de leçon, ne voit pas toujours midi à sa porte.

  3. Angleterre: des gangs de Pakistanais et des gangs d’Albanais, trafiquants d’humains, ont été mis hors d’état de nuire, et il y a longtemps. Mais on a donc maintenant le droit de le dire? Non, la Gauche risquerait de se rouler par terre, comme un diablotin aspergé d’eau bénite.

  4. Tommy Robinson a été le premier à dénoncer ces viols et crimes. Aussi incroyable que cela paraisse, il a payé le prix fort pour son courage exemplaire : il a été inculpé et mis en prison pour « racisme » pour avoir ciblé les coupables… Oui, la police anglaise est venue le chercher chez lui et il a été placé dans une prison où sa vie était menacée parce que les prisonniers y sont majoritairement musulmans ! Pour éviter l’égorgement il a refusé les sorties récréatives et les espaces communs. Sa santé a été gravement mise en péril. Libéré il n’en demeure pas moins toujours sous le coup de poursuites judiciaires et de menaces de mort de la part des islamistes. Un véritable parcours vers l’enfer pour avoir dénoncé les pires criminels, avoir voulu défendre ses jeunes compatriotes ! C’est à peine croyable que l’Angleterre soit aussi suicidaire !

  5. Peuple occidental décadent fin d’un empire l’Angleterre pire que les autres bientôt l’islam va les réveiller et dure sera leur réveil

  6. Jusqu’où ira-t-on dans le deni. Pendant un temps on a parlé en France des « tournantes » ( viols collectifs de jeunes filles -« souchiènnes » de préférence – dans les caves d’immeubles ), maintenant c’est silence radio.

  7. Les victimes n’appartenaient pas a une espèce protégée.
    Les criminels appartenaient à un espèce protégée.

  8. La lâcheté n’en a pas fini, la déchéance et la perte de notre avenir continuera puisque nous nous laissons envahir. Toute l’Europe sera soumise.

  9. A l’horreur des faits de viols collectifs il faut ajouter celle du métissage obligatoire vanté par Sarkosy.

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