Pourquoi, en l’état actuel des choses, je refuserai une 4e injection
Il y a quelques mois, comme beaucoup de mes compatriotes, j'ai décidé de me faire vacciner contre le Covid-19. Même si l’idée de servir de cobaye ne m'enchantait guère, je considérais qu'outre la protection de ma propre santé, cela servirait également à protéger mon entourage et, en particulier, mes proches les plus vulnérables.
Un an et trois injections plus tard, où en est-on vraiment ? Difficile de le dire puisque au sujet de ces vaccins, les informations les plus contradictoires ne cessent de circuler et continuent d’alimenter des débats hyper médiatisés qui, non seulement finissent par n’avoir plus aucun intérêt mais, bien plus, ajoutent à une confusion déjà généralisée. Promis, il y a quelques mois, comme le remède absolu contre cette pandémie qui nous touche depuis près de deux ans, les bienfaits supposés et annoncés de ces doses successives de vaccins sont tombés, les uns après les autres, sous les effets d’une réalité médicale implacable. Et aujourd’hui, la communauté scientifique, particulièrement divisée sur le sujet depuis le début de l’épidémie, finit par admettre tout au plus que la vaccination protégerait des seules formes graves de la maladie. Certes, cela est important mais loin d’être suffisant !
Il est vrai que, dans ce contexte, le gouvernement et le président de la République en tête, largement soutenus par un Conseil constitutionnel complaisant, ont été particulièrement confus, inefficaces et souvent cyniques. Ajoutant le mensonge de circonstance aux approximations scientifiques, ils n’ont cessé, au fil des mois, de se contredire et d’opérer des volte-face toutes plus porteuses de stress et d’angoisse les unes que les autres. Le seul effet obtenu a été de diviser les Français qui, désormais, se comptent souvent en pro et anti-vaccin.
Bien entendu, le nombre de Français vaccinés est, à ce jour, important. Mais comment pourrait-il en être autrement ? Craignant d’abord pour leur santé et ensuite pour leurs libertés de plus en plus menacées, ils ont été nombreux, en dépit des inconnues qui entourent toujours ce nouveau traitement, à sauter le pas. Mais pour quels résultats ? La pandémie est-elle sous contrôle alors que l’on nous promettait une sortie rapide à l’issue de la campagne de vaccination ? Avons-nous retrouvé la vie normale qui nous était également promise ? Voyons-nous enfin la sortie du tunnel ? Bien sûr, rien de tout cela n’est au rendez-vous. Bien plus : on nous annonce toujours plus de doses et de nouvelles restrictions à nos libertés sans qu’aucune amélioration visible ne soit en ligne de mire.
Alors, pour ma part, après avoir sincèrement suivi le mouvement, j’ai décidé de ne plus me plier à de nouvelles injonctions vaccinales. D’abord parce que je refuse dorénavant, sans en savoir davantage sur ces vaccins, de « jouer le jeu », comme dit Jean Castex. Ensuite parce que, plus que jamais, j’ai le sentiment que ma conduite de citoyen discipliné n’a fait que cautionner une politique sanitaire aventureuse, approximative et de plus en plus liberticide sans que, en fin de compte, notre politique et notre système de santé en aient été notablement améliorés. Enfin parce qu’à quelques semaines d’une élection majeure pour notre pays, je refuse d’être pris en otage par un pouvoir dont le seul objectif sera de se reconduire, fût-ce au prix de l’instrumentalisation, à son seul profit, de l’une des plus graves crises sanitaires que la France ait connues au cours de son Histoire.
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100 commentaires
Oups, problème de timing pour le maître des horloges. Cette contestation a un peu d’avance. Faudrait il anticiper les élections ?
Réfléchir une minute aide à la décision. On enseigne aux étudiants en médecine qu’un vaccin est un produit administré à une personne pour la protéger d’une contamination par un germe X et de plus pour l’empêcher de transmettre ce germe X, qu’en est il du Pfizer ou autre Moderna, il n’empêche pas la contamination et les vaccinés transmettent le virus, à partir de là il est facile de se faire une idée sur ces médicaments géniques expérimentaux.
Merci pour votre commentaire très bien écrit et qui, je l’espère va réfléchir de nombreux lecteurs.
Regardez la vidéo sur l’injection d’Atall , elle vaut son pesant de chocolat. L’infirmière ne remplit même pas le seringue, et pique et retire sans injecter le breuvage miracle puisqu’il n’y en a pas.
Moi j’ai refusé la première dose et suis toujours en vie.
Cette crise sanitaire est loin d’être une des plus grave de notre histoire. Avec les moyens technologique dont nous disposons aujourd’hui, cette crise aurait dû être contrôlée et non accentuée par des décision politique inappropriée.
jouer le jeu , comme dit Castex! Ce n’est pas un jeu , comme pour les enfants , il s’agit d’une injection qui peut gravement nuire à notre santé . Je ne joue pas avec ma santé , n’en déplaise aux imbéciles qui passent leur temps sur les plateaux !
J’ai eu le covid il y a 2 ans et je fais ma 2ème dose dans 2 jours, contrainte et forcée, car si je ne la fais pas, et bien je ne vais plus travailler et je n’ai plus de salaire. La perspective de cette 2de injection m’angoisse tellement que je ne dors plus, je suis degoutée et je me sens soumise et piégée par un gouvernement totalitaire. J’ai décidé aussi que ce serait ma dernière injection mais aurai je les moyens de dire STOP ,?
Ce gouvernement est immonde.
En bien moi, à partir du 142ème rappel, je refuserai d’aller plus avant. Non mais!
Une grève générale des vaccins serait la bienvenue.
Si nos concitoyens arrêtent de se faire vacciner, vu les risques encourus, leur passe vaccinal ils pourront se le…
pas tout á fait pour les mêmes raisons, mais vacciné á trois reprises, 3eme dose le 29 décembre, j’ai décidé que cette troisième dose serait la dernière….
Le mieux aurait été de ne pas commencer à se faire vacciner. Actuellement, on n’en entendrait plus parler si 80 pour cent de la population avait refusé même la première dose. On n’en entendrait plus parler si 100 pour cent des soignants avaient refusé et accepté la mise à pied, tout se serait arrêté, les hôpitaux auraient fermé et Macron aurait été au pied du mur. Nous allons tous avoir la dictature que vous êtes seuls à mériter.
Bonjour,
J’ai mis le 14eme pouce en l’air. Je ne suis pas vaccine, je me porte
très bien merci ! Et j’em… macron.
Bien dit Pierre !
Pas mal de mougeons, même parmi les lecteurs de BV !
Décevant !
Hélas , les soignants comme les autres Français ont besoin de faire » bouillir la marmite » et sans salaire comment faire ? Par contre c’est à ce gouvernement qu’il faut s’en prendre . Pour ces soignants , ne pouvaient on pas imaginer , des tests réguliers prouvant qu’ils n’étaient pas contaminé ! Véran les a Viré et avec quel plaisir , comme Macron il avait Envie de les Emmerder, car au début de la crise , ces soignants bossaient sans les protections adaptées .
Dans ma famille, un soignant contaminé parce qu’ayant travaillé sans protection au début de la pandémie n’a pas encore recouvré son état de santé d’alors. Qui parle des covid longs dont les victimes ne se rétablissent pas ?
Tellement vrai, hélas!
C’est pas faux, sachant que chacun aurait pu se traiter avec des protocoles connus tels qu’Hydroxichloroquine et Ivermectine + antibio.
Je ne suis pas vacciné parce que je n’y ai jamais cru et je ne saisis pas très bien l’insistance de ce gvt à légiférer pour le pass vaccinal. Je suis en Afrique et j’ai eu la Covid fin novembre: symptômes de la grippe, rien de plus et traité avec le protocole Raoult, qui fonctionne parfaitement. Mon amie est en France, double vaccinée et positive Covid ce matin. Je lui ai laissé les médocs achetés là où je travaille et ne fera pas de 3ème dose.
idem en Inde: ivermectine !
Bravo pour votre témoignage en France pays de Pasteur il noys est interdit d’obtenir de lhydroxychloroquine et de livermectine une honte
Les décisions d’interdiction de certains traitements seront dénoncées et jugées après coup. Rappelons-nous le sang contaminé et autres scandales.
Bravo. C’est exactement ce qui se serait passé si les médecins avaient eu le droit de prescrire.
Bien sur, il y aurait eu des morts, comme tous les ans, d’ailleurs , mort due à la grippe ordinaire, pour laquelle la vaccination ne sert à rien (mais essayez d’expliquer cela aux gens qui croient tout ce que raconte la TV).
Notre gouvernement (et il n’est pas le seul) s’est fait abusé par les labos pharmaceutiques qui promettaient de stopper l’épidémie avec leurs vaccins. Tout a été fait pour que le pari du vaccin soit la seule solution. Un an plus tard l’échec est indiscutable. Malgré cela, pour ne pas perdre la face et confesser une erreur de plus, on ( certains abusés et les abuseurs) accuse les quelques réfractaires au vaccin qui, de toute évidence, n’y sont pour rien. Pitoyable…
Gouvernement abusé ? à l’insu de son plein gré ?
« Notre gouvernement (et il n’est pas le seul) s’est fait abusé »
Hum : j’aimerai connaître le montant des remerciements payés par les labos et mis sur un compte aux Iles « Car il ment » notre gouvernement
Je refuse également cette 4ème injection (à venir ?) dont « on » commence à nous suggérer insidieusement que ce sera la bonne, la dernière (?).
Il faut réclamer les vaccins non ARN NOVAVAX et VALNEVA. Ils n’arrivent pas ! Les laboratoires n’ont pas payé les pots de vin à nos gouvernants ?
Valvéna arrive en Février de mémoire.
Non, c’est Novavax, Valneva est prévu vers avril.
Le docteur Milhaut sur CNews a dit, croyant son micro coupé, qu’elle faisait la pub qu’on lui demandait…
Novavax = Sanofi (qui fabrique, comme sous traitant, le vaccin Pfizer pour la France) avec son vaccin à protéines recombinantes dans du squalène, comme celui contre l’hépatite B?
Je vous souhaite bonne chance.
Aux dernières nouvelles de l’expérimentation, celui de Valneva dans lequel j’avais espoir, ne semble pas si génial que cela : à voir avec un peu plus de recul.