Propagande LGBT : un moyen efficace de faire baisser les ventes
Au cours des dix derniers jours, l'action Target a perdu environ 10 milliards de dollars en valeur boursière.
Pour le mois des « fiertés », la chaîne de magasins américaine Target s'était engouffrée dans le créneau LGBT comme un seul homme. Marketing oblige, tendance exige, un déploiement d'arc-en-ciel agrémentait les allées du rayon vêtements. Les grands et les petits pouvaient désormais trouver des tee-shirts vantant la « Pride », des chemises super « Pride », des pyjamas recouverts de personnages non genrés, des tasses et des machins arborant les images pieuses de la culture woke. En vedette de cette débauche de propagande censée enflammer le chiffre d'affaire, ce maillot de bain pour petites filles permettant de dissimuler leurs attributs masculins. 0,0001 % des parents allaient s'arracher cet accessoire indispensable en période de crise de fluidité. Que d'affaires en perspective !
Suite à cette mise en avant de la tranche de population vachement fière de sa sexualité, les répercussions sur la notoriété de la chaîne ne se font pas attendre. Target fait la une des médias. Des mouvements indignés par cette propagande appellent au boycott, mènent des actions hostiles au sein des rayons incriminés, menacent les employés. Un rappeur publie une chanson anti-Target qui devient n° 1 du classement iTunes devant les plus grandes stars du moment. Rien ne va plus. L'élan d'amour vers le merchandising « Pride » n'a pas eu lieu. Face à la désapprobation d'une partie de la clientèle, les dirigeants invitent les employés à remballer la quincaillerie arc-en-ciel. La fierté est rapidement évacuée vers le fin fond des magasins. Le fiasco est consommé. Au cours des dix derniers jours, l'action Target a perdu environ 10 milliards de dollars en valeur boursière. Son niveau est au plus bas depuis trois ans.
Toujours très au fait des tenants et aboutissants d'un élan populaire, quelques médias compatissants attribuent la dégringolade à des militants pro-Trump assoiffés de haine. Le Huffington Post français dénonce les arguments fallacieux d'une activiste accusant le fondateur trans d'une marque de vêtements d'affinités avec le satanisme. Mais où va-t-elle chercher tout ça ? Le personnage en question a simplement déclaré qu'il aimait juxtaposer « des images gothiques ou sombres et sataniques à des couleurs vives et des messages positifs LGBT+ ». L'auteur de l'article peut donc conclure : « Rien de vraiment démoniaque et satanique, en somme. » S'il le dit, c'est donc qu'il ne le dit pas. La démonstration woke est implacable.
La chute de la maison Target fait suite au dévissage de la marque de bière Budweiser, en avril dernier. Même motif, même punition. La promotion de la « Bud Light » par un phénomène transgenre avait entraîné un effondrement des ventes. Unis dans la déconfiture, les dirigeants des deux sociétés se marièrent et eurent beaucoup d'enfants. Le conte de fées woke est un véritable enchantement.
Jany Leroy
Chroniqueur à BVoltaire, auteur pour la télévision (Stéphane Collaro, Bêbête show, Jean-Luc Delarue...)
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38 commentaires
Ras le bol de ces tordus. Il faut apprendre à la communauté LGBT à arrêter son prosélytisme outrancier et mal venu!
Certains prêtres catholiques devraient s’inspirer de cela et se débarrasser de leurs chasubles aux couleurs arc-en-ciel !
La propagande , non le prosélytisme et la majorité des individus en ont singulièrement marre de cette appel à se différencier de toutes les façons possibles voir imaginables. Il en est une pourtant qui mériterait qu’on s’y intéresse : l’humilité.
Et surtout la discrétion. Raz le bol de ces exhibitionnistes malsains.
Voila un moyen anglo saxon de lancer une Religion, leur Religion Woke, afin de remplacer celles millénaires qui s’opposent à leur Hégémonie sur le Monde…..Le Wokisme LGBTT+++sur fond de moralisation c’est une façon de permettre tous les caprices, les excentricités, les perversions, décuplant tous les défauts inhérents à l’être humain, pour mieux le contrôler par un petit nombre d’initiés, d’adhérents
Disney est en train de subir le même sort ! Et ils l’ont bien cherché !!
Plutôt que de chercher les causes dans une haine contre ceux-ci ou ceux-là, n’est-il pas question tout simplement d’une réaction saine et de bon sens à l’égard de toute idéologie? Ce qui reste tout de même très positif…
Budweiser, puis Target, et d’autres aux usa, tel Disney qui au Texas menace de fermer si DeSantis continue d’intervenir dans sa mode trans et woke…
La réalité est que l’action Disney a perdu plus de 40% de sa valeur au Texas, et à peu près le même pourcentage au niveau national, que Disney grand accusateur de DeSantis, a déjà dû se séparer de ses « animateurs » pour un total de 60% de mise au chômage !
Bientôt on pourra dire sans mentir : « le wokisme bobo-gaucho LGBT+ etc. tue ! »
Ah nous de faire la même chose.
On boycotte!
On boycotte tout ce qui est d’origine anglo-saxonne, du Wokisme à l’alimentation, l »électronique, l’informatique, les I phone et Pad, les smartphones. Tout ce qui est européen..Et chez nous tout ce qui n’est pas conforme à notre culture.
Je suis certaine que le résultat sera identique!
Ça confirme de façon éclatante l’adage américain : « Get woke, go broke ».
Bientôt on pourra dire sans mentir : « le wokisme bobo-gaucho LGBT+ etc. tue ! »
Et si ce n’était qu’une simple manipulation boursière ? Au plus haute je vend. J’effondre le cours. Je rachète. Le cours remonte.
Les queues devant les distributeurs de bière dans toutes les activités sportives américaines, celles de Budweiser restent désespérément vide !
Les vidéos sont sur YouTube.
ils nous ont volé notre arc en ciel. chaque fois que je vois ces couleurs sur quoi que ce soit, je sais qu’il y a derrière ce foutu lobby.
Le drame c’est que dès le plus jeune âge l’école fait dessiner aux gamin des arc en ciel sur toutes leurs œuvres… ça commence très tôt le formatage et très discrètement…
Merci pour ces bonne nouvelles.
En France, les entreprises et commerçants commencent à comprendre que la marque LGBTOQ n’est pas très porteuse. Vous remarquerez que dans leurs premières présentations, des spots publicitaires affichent une scène plus ou moins douteuse LGBT. Bien vite, après prise de conscience des décideurs de la marque, cette scène est supprimée du spot.
Comment vais-je pouvoir exprimer ma fierté, moi qui ne suis ni L ni G, ni B, ni T ? Pire encore : Je me suis marié à l’Église Une, Sainte, Catholique et devenue si peu Apostolique !
C’est bien triste que des ventes baissent pour cause d’homophopie; les USA sont le pays de tous les contrastes, de toutes les contradictictions…