« Racisme forgé par l’esclavagisme » : à Genève, Rokhaya Diallo attaque la France
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Invitée, ce 2 octobre, au Conseil des droits de l’homme des Nations unies, Rokhaya Diallo, journaliste et activiste antiraciste, a profité de la tribune qui lui était offerte pour attaquer la France. En seulement cinq minutes d’intervention, la militante a ainsi accusé la France des pires maux : violences policières, discriminations, racisme systémique et même « interprétation stigmatisante du principe de laïcité ».
Des athlètes discriminées ?
Autour d’une discussion sur la « promotion et la protection des droits de l’homme et des libertés fondamentales des Africains et des personnes d’ascendance africaine face au recours excessif à la force », Rokhaya Diallo était conviée à partager son analyse et son expérience. L’occasion, pour elle, de revenir sur les Jeux olympiques de Paris, salués comme une grande réussite par une grande partie de la communauté internationale, mais décriés par l’activiste. « Mon pays a brillé, renvoyant au fond l’image d’une pluralité heureuse. Pourtant, tout le monde n’était pas à la fête », s’indigne-t-elle. Elle dénonce notamment la situation des athlètes françaises de confession musulmane qui auraient été « bannies » au nom d’une « interprétation stigmatisante du principe de laïcité ». En cause, l’interdiction, au nom du principe constitutionnel de la laïcité, pour les sportifs français de porter le voile lors de la compétition. Ce n’est pas la première fois que Rokhaya Diallo profite d’une tribune internationale pour taper sur la France et son organisation des Jeux de Paris. Dans le Guardian, journal britannique dans lequel elle tient une chronique régulière, l'activiste écrivait déjà, au début du mois d'août : « Les Jeux olympiques de Paris peuvent paraître justes et inclusifs à la télévision. La réalité est plus sombre. » Là encore, la journaliste dénonçait la « discrimination » à l’encontre des sportifs musulmans, mais également les « violences » commises contre les populations précaires.
Censure des femmes « racisées »
Mais cette fois-ci, à Genève, Rokhaya Diallo ne se limite pas au sujet des Jeux olympiques. Elle accuse également la France de museler les « femmes non blanches ». « Au-delà du cyber-harcèlement, la liberté des femmes non blanches est singulièrement entravée, explique-t-elle. Sous-représentées dans l’espace public, elles sont fortement incitées à éviter d’aborder les questions raciales. Les rares qui osent s’exprimer s’exposent à de lourdes conséquences allant des menaces de viol, de mort aux procès bâillons. » Certes, prendre la parole dans les médias vous expose malheureusement à des injures et parfois des menaces, notamment sur les réseaux sociaux. Mais cela n’est pas exclusivement réservé aux personnes « non blanches ». Par ailleurs, Rokhaya Diallo a beau jeu de prétendre que les femmes « racisées » ne peuvent s’exprimer librement dans les médias. Elle est, elle-même, chroniqueuse régulière sur BFM TV, invitée fréquemment sur RTL et aperçue plusieurs fois sur les chaînes du service public ou du groupe TF1. Elle prend aussi la parole dans différents médias internationaux. Son documentaire Bootyful a, par ailleurs, été réalisé en partenariat avec France Télévisions. La menace de la censure ne semble donc pas vraiment peser sur Rokhaya Diallo...
Des discriminations et une censure qui seraient liées, à en croire l’activiste antiraciste, au « racisme systémique forgé par une longue histoire esclavagiste, coloniale et génocidaire de dépréciation des corps ». Un racisme « profondément ancré » qui engendrerait donc, notamment, des « violences policières » et serait exacerbé, aujourd’hui en France, par un « contexte où la pensée d’extrême droite se normalise, et ce, bien trop souvent avec la complicité des médias ». Et la militante de finir son laïus en dénonçant « les politiques migratoires de plus en plus restrictives [qui] tuent pour satisfaire l’appétit d’un public toujours plus sensible aux thèses xénophobes ». Le tout devant un Conseil qui accueille comme membres le Qatar, le Soudan ou encore le Bangladesh…
Une habituée de la revendication accusatoire
Rokhaya Diallo n’en est pas à sa première attaque contre la France. Celle qui est désormais chercheuse à l’université américaine de Georgetown saisit toutes les tribunes internationales (chroniques dans le Washington Post ou le Guardian, sur CNN ou à l'ONU) pour accuser la France de racisme. Elle avait été, ainsi, particulièrement active lors de la mort de Nahel à Nanterre (Hauts-de-Seine), le 27 juin 2023, pour accuser la France de « violences policières » dans de nombreux médias internationaux, et ce, avant même que l’enquête ne soit terminée et qu’un jugement ne soit rendu. La militante a aussi œuvré, par le passé, aux côtés du collectif Adama pour faire d’Adama Traoré, mort en 2016 après son interpellation, une réplique française de George Floyd. Son combat, inspiré de la lutte antiraciste américaine, l'a même conduite à récuser l’existence possible d’un racisme anti-Blanc en France et à compter les personnes de couleur dans les rangs des différentes formations politiques. Autrement dit, pour résumer la posture victimaire de Rokhaya Diallo, l'homme blanc n'a plus qu'à se repentir...
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93 commentaires
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pour qui ces gens se prennent nous leur avons donné l’éducation et maintenant ils veulent nous dicter leur lois et bien qu’ils retournent sur leur cocotiers a bon entendeur salut
Cette femme devrait être poursuivi par la France pour diffamation et racisme anti-blanc
cette femme oublie que le colonialiste n’a pas que des mauvaise phases il a fait de bonnes chose comme à apprendre à lire et à écrire des infrastructures, mais cela elle l’oublie, elle oublie aussi que certains de ses congénères petit roitelets ont été des marchands d’esclaves, peut-être il faudrait lui rafraichir sa mémoire de poisson rouge
vous écrivez « les Jeux olympiques de Paris, salués comme une grande réussite par une grande partie de la communauté internationale, »…nous n’avons pas dû lire la même presse internationale
C’est aussi mon sentiment !
Quand pourra-t-on accuser officiellement R. Diallo de racisme et la condamner ? Veut-elle ne pas savoir que les Africains étaient tous esclaves ou esclavagistes avant qu’un seul Blanc n’ait posé un pied en Afrique ? Ils se vendaient entre cousin. Est-ce que Diallo descend d’un esclave ou d’un esclavagiste ? Ou des deux ? La question est là !
Je viens d’apprendre, sur une radio périphérique, que la famille Diallo (ainsi que la famille Sy) seraient des africains d’origine Peuls, ethnie qui en Afrique se spécialisa dans le négoce des esclaves, ethnie tampon entre l’Afrique noire-noire et les tribus arabes, grandes consommatrices d’esclaves, toujours et maintenant. Cette tribu aurait 14 castes dont la quatorzième serait un statut spécial « esclave » dont ouvertement légitimé dans leur culture. Donc, je ne crois pas qu’on puisse recevoir quelque leçon que ce soit de ces gens, qui devraient revisiter l’histoire de leur peuple avant de mettre le nez dans nos affaires, sur lesquelles rien ne nous dispense de nous pencher, sans pour cela nous culpabiliser, puisque, avec le temps nous avons rectifié nos comportements, ce qui reste a démontrer pour ceux qui essayent de nous stigmatiser.
On peut dire ce que l’on veut, mais cette femme a un sacré potentiel et beaucoup de ressources pour gagner très confortablement sa vie. Quand on vous dit que l’immigration est une chance.
Mais l’opinion internationale sur la France ne dépend pas que d’elle, si?
C’est fatiguant ces élucubrations… Toute cette haine pour un pays qui lui a permis d’arriver là où elle en est, c’est écœurant.
Santé, éducation, logement… Aucune reconnaissance, rien que de l’ingratitude. Elle finira par s’empoisonner avec son propre venin.
Que Dieu vous entende et règle le problème !
» Mon pays » ???
Cette Diallo n’a aucun respect pour notre pays la France car cette femme est toujours contre les blancs raciste certainement la haine du blanc certainement par jalousie pour ça couleur de ne pas étre blanche cette Diallo ne vous parlera jamais de la traite négrière fait par ses ancètres car elle aura trop honte et ne voudra jamais le reconnaitre.
Oui: la jalousie .
Doit on rappeler à cette femme que les premiers esclavagistes sont maliens et algériens et qu’ils continuent leurs trafics encore aujourd’hui. Pour une destination les pétro-monarchies qui utilisent toujours des esclaves contrairement aux français métropolitains qui n’en ont jamais eu. Quand au décérèbré qui veut que l’on indemnise les anciennes colonies, veillons à déduire ce qu’on y a laissé comme les routes, les hôpitaux et toutes les infrastructures qui leurs permettent d’utiliser leurs ressources, ensuite par chance on va également leurs couper toutes les aides qu’on leur donne toujours…
G Lejeune en sait quelques chose
Que fait cette femme en France ? Députée de LFI , elle ne fait que cracher sur le pays qui lui a permis de sortir de son état de soumission dans son pays d’origine ! Soit disant ancienne femme de ménage , elle est devenue la mégère hargneuse qui crache sur ceux qui lui ont permis de se libérer ! La France n’est pas une serpillière ! Tout n’est pas permis au nom des droits de l’homme, surtout de trahir son pays , a fortiori celui d’adoption ! La porte de sortie est grande ouverte pour un retour au Sénégal ou ailleurs !
Si seulement il n’y avait qu’elle…
Madame Diallo crache continuellement sur la France et les français en ont marre d’être insultés. Si madame Diallo hait la France, qu’elle transforme ses paroles en actes et qu’elle rende sa carte nationale d’identité !
Cette femme à oubliée l’essentiel c’est grâce à qui quelle apprit à lire et à écrire, que dans son pays d’origine il y a des infrastructures ( routes, ponts, écoles etc). De plus ce n’ai pas de cette manière quelle peut défendre les femmes de sont origines, elles est pitoyable.