Refus d’obtempérer : une ado de 14 ans interpellée au volant d’une voiture

Brève breve

Dans la nuit du 3 au 4 septembre, une adolescente de 14 ans a été interpellée à Sainte-Geneviève-des-Bois (Essonne) au volant d'une voiture après un refus d'obtempérer commis dans une commune voisine.

Selon une information Actu17, confirmée par CNews, la jeune fille avait pris le volant de la voiture de sa mère pour rejoindre une amie. Alors qu'elle roulait feux éteints, une brigade de police municipale l'a repérée et tenté de la contrôler. C'est alors que l'adolescente a pris la fuite. Poursuivie par plusieurs patrouilles, elle a pu être interpellée, quelques kilomètres plus loin. Elle a été conduite au commissariat de L'Haÿ-les-Roses.

La jeune fille est déjà connue des services de police pour un fait de « vol en réunion ». Ce n'est, d'ailleurs, pas la première fois qu'elle utilise la voiture de sa mère. En juillet, elle avait ainsi utilisé le véhicule sans autorisation. L'adolescente fait également l'objet d'un suivi par un éducateur, à la demande de sa mère.

Vos commentaires

28 commentaires

  1. On va sûrement entendre madame Rousseau : encore une brimades faite à une femme… Pauvre jeune fille empêchée de vivre sa vie comme elle l’entend. Vraiment, quand la police ne tue oas, elle brime… Et, comme on le voit, tellement bien encadrée par son éducateur.

    • La maman ne peut pas planquer les clefs sinon la fille casse tout dans la maison.
      Sandrine Rousseau va dire qu’au plus l’éducateur qui suit la délinquante n’a pas fait son travail, il ne lui a pas expliqué qu’il faut mettre les feux quand la nuit est tombée.
      Le père est abonnés absents donc non responsable.

  2. Depuis 40 ans, les gouvernements rechignent à créer des places de prison en adéquation avec les besoins. Alors que la population est passée de 43 millions dans les années 60/70 à près de 80 millions aujourd’hui. De plus en plus souvent, nous voyons des individus qui, par leur jeune âge ou leur rejet de la discipline, n’ont rien à faire parmi les rebuts les plus dangereux de notre société. Je me demande pourquoi, comme aux États-Unis, nous ne confirions pas, avec les mêmes lois et les mêmes restrictions de liberté, toutefois adossées selon l’âge à un contrat pédagogique, la gestion de ces petites peines ou de ces primo-délinquants avant qu’il ne soit trop tard au secteur privé. Surtout, cela permettrait de dégager des places dans les prisons d’État pour les prédateurs et les délinquants les plus dangereux ou les terroristes.

Laisser un commentaire

Pour ne rien rater

Les plus lus du jour

L'intervention média

Lire la vidéo

Les plus lus de la semaine

Les plus lus du mois