Rennes : une septuagénaire retrouvée morte après un cambriolage

La victime présente de nombreuses traces de coups sur le corps.
Brève 1

Une femme de 73 ans a été retrouvée morte dans son appartement de Rennes, ce mercredi 26 mars. Vers 11 heures 30, deux personnes auraient tenté de cambrioler son domicile, situé au rez-de-chaussée d'un immeuble du centre-ville. Présente au moment des faits, la septuagénaire aurait reçu plusieurs coups.

La victime a été retrouvée morte par les équipes dépêchées sur place. Les circonstances du drame restent encore imprécises. Quelques traces de sang ont été identifiées sur le sol devant chez elle. Les malfaiteurs sont activement recherchés par la police. Des témoins affirment les avoir vus prendre la fuite vers le centre-ville. L'enquête a été confiée à la section criminelle de la police de Rennes. « C'est un fait d'une gravité exceptionnelle et tous les moyens vont être mobilisés pour permettre la résolution de cette enquête », assure le directeur interrégional de la police nationale. Selon un policier, interrogé par 20 Minutes, « il pourrait s’agir d’un cambriolage qui a mal tourné ».

Vos commentaires

23 commentaires

  1. Aux personnes âgées qui meurent sur le coup de leur agression, il faut ajouter toutes celles -jamais comptabilisées- qui décèdent quelques mois plus tard par syndrome de glissement, cette détérioration rapide de l’état physique et psychique qui survient à la suite d’un facteur déclenchant déstabilisant. .

  2. Ce mercredi soir, l’Institut pour la Justice a rebaptisé symboliquement 70 rues de Paris en hommage aux victimes de l’insécurité. Cette action vise à marquer les esprits et à interpeller les pouvoirs publics sur la montée de la violence.Ce mercredi 26 mars, les rues de Paris ont pris de nouveaux noms, non officiels mais chargés de sens. L’Institut pour la Justice a organisé une action symbolique en rebaptisant 70 rues de la capitale en hommage aux victimes de l’insécurité. Une initiative percutante pour rappeler le souvenir de citoyens tombés sous les coups de la violence et du laxisme judiciaire.

    Parmi ces hommages poignants, la place Vendôme est devenue la « Place Lola », en mémoire de Lola Daviet, une fillette de 12 ans tuée en octobre 2022 par une Algérienne sous OQTF. La rue de Vaugirard porte désormais le nom d’Adrien Perez, tué à la sortie d’une boîte de nuit en 2018 alors qu’il tentait de protéger un ami. Le boulevard Saint-Germain a été rebaptisé « Boulevard Claire Géronimi », du nom de cette jeune femme violée par un individu sous obligation de quitter le territoire français (OQTF).

    D’autres rues emblématiques de la capitale ont été renommées pour rappeler ces drames : la rue de l’Université est désormais la « Rue Thomas Perotto », en hommage à ce jeune rugbyman de 16 ans, tué lors de l’attaque du bal de Crépol (Drôme), par des jeunes venus du quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère.

  3. … « C’est un fait d’une gravité exceptionnelle et tous les moyens vont être mobilisés pour permettre la résolution de cette enquête »… Tu parles Charles ! « Une gravité EXCEPTIONNELLE » ? Malheureusement ces faits sont de moins en moins exceptionnels. Ça devient au contraire de la routine. De même que les auteurs ne seront pas retrouvés, et s’ils le sont les juges les blanchiront. On enquête, on trouve, on arrête, on défère, et les juges relâchent… la routine, quoi… »

  4. La presse locale est plus informative .
    Pourtant les voisins, dont certains sont actuellement entendus par la police, font état de nombreux faits inquiétants. « Hier soir quand je suis rentrée vers 19 h, Monique était en train de se prendre la tête méchamment avec un homme d’une quarantaine d’années »,  ne autre voisine ajoute : « Monique pouvait déranger les gens car elle se mêlait un peu de tout. Certains ici l’appellent « la police ». Elle chasse les gens qui fument de la drogue dans les escaliers et râle après les locataires qui salissent le hall. »

  5. De plus en plus il faut s’équiper de système d’alarme .
    Qui surveille l’habitation en périphérique fenêtres et porte , durant le sommeil .
    Les radars en intérieur fonctionnent en cas d’absence.
    En Afrique du sud , les gens vivent dans des lotissements gardés et sécurisés

    • Et les gens sortent armés et pas de matraques ou autres, car les attaques sont d’une sauvagerie sans nom. Demandez aux fermiers. Mais en France silence radio sur ces faits. Pas les bons coupables, pas les bonnes victimes

      • Les fermiers blancs en Afrique du sud sont expropriés ou pire assassinés et leur femmes sont violées.
        Ils demandent leur immigration vers l’Australie mais celui refusent des titres de séjour.
        Heureusement que Trump et musk leur délivre des cartes vertes

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