Rixe mortelle à Yerres (Essonne) : un adolescent de 17 ans poignardé
Une rixe entre quartiers est survenue, ce lundi, devant un lycée de Yerres (Essonne), provoquant la mort d'un adolescent de 17 ans, informe CNews. Ce lundi 24 mars, un adolescent est décédé des suites de ses blessures après avoir été mortellement poignardé devant le lycée Louis-Armand de Yerres, en Essonne, dans un contexte d'affrontements entre bandes rivales, selon le procureur de la République d'Évry.
Le jeune homme, originaire du quartier des Hautes-Mardelles de Brunoy, a été poignardé aux alentours de 17 h alors qu'il se trouvait devant le lycée professionnel, où il n'était pas scolarisé, a précisé le procureur Grégoire Dulin à l'AFP. Une enquête a été ouverte pour homicide et violences volontaires en réunion et six suspects ont été interpellés.
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44 commentaires
Quel constat effroyable de la situation de la France sur tous les sujets: immigration, insécurité, économie…TOUT VA MAL! Il faut que Macron reconnaisse son impéritie et qu’il dégage.
Chronique de la France ordinaire.
Evidemment on va nous dire que l’immigration n’y est pour rien !
Quand est ce qu’un ministre de la justice va déclarer enfin que la situation actuelle résulte de la stupide « harangue Baudot » et que désormais on va rétablir une justice normale rendue au nom du peuple et surtout des victimes. Il faut clairement remettre en question ses buts qui devraient être : punir, réparer la souffrance des victimes, écarter de la société pour un temps les gens dangereux et tenter de rendre marginale la récidive de ceux que l’on relâche. On en est loin!
Quant à l’excuse de minorité elle n’est plus de mise. Il ne faut plus prendre les assassins de 13 ans pour les garnements en culottes courtes de la guerre des boutons.
Que les observateurs honnêtes n’oublient jamais que la fameuse harangue Baudot est une triple quintessence de pur produit de 1968.
Or, les protestataires de tous poils qui cherchaient la plage sous les pavés n’ont toujours pas reconnu et ne reconnaîtront jamais qu’ils se sont inexorablement plantés sur tous les points.
C’est plus d’un demi-siècle plus tard que nous commençons seulement à en payer le prix le plus fort et le meilleur va suivre.
En mai 68, on vendaient déjà de la drogue devant des lycées.
Depuis la situation s’est bien améliorée.
Maintenant, on vend la drogue dans les Lycées et devant, on y poignarde à tours de bras !
Il reste à prévoir quel va être le prochain « progrès » dont la macronie va faire bénéficier les restes de la France.
Mis à part, bien sûr, les kits de survie et la suppression des pourboires et des oboles aux S.D.F. par la suppression du paiement en liquide.
Cela, ça va effectivement changer notre vie et sauver la situation !
Avant on aurait pu régler rapidement ce cas et calmer les ardeurs à venir, mais non, merci monsieur Badinter et ses soutiens. Rendez-vous à demain puisqu’à l’heure actuelle les agressions se succèdent.
Déjà, à Bruxelles « capitale de l’Europe » les fusillades sont devenues banales, les bandes rivales s’affrontent au fusil mitrailleur en pleine rue ! Bientôt le gilet pare-balles en rayons des grandes surface….
Oui, entre les rayons « sucre et café » et « produits ménagers »…
Sombre litanie que ces faits de société qui s’égrènent jour après jour
Bientôt un narco état à l’instar du Mexique et autres… le paradis de la délinquance orchestré par la bien pensance de Bruxelles !
Ma fille vit au Mexique et j’y vais régulièrement. Oui, il y a les cartels, mais les narcos se tuent entre eux. Et il n’y a guère d’agressions au quotidien comme en France.
En France, les agresseurs ne tuent que les désarmés. Question de prudence.
Et une enquête de plus qui va rejoindre les autres qui s’empilent sur les bureaux des enquêteurs qui n’ont le temps de gérer que celles qui sont hautement médiatisées. Les autres relèvent de la routine et se perdront avec le temps comme toutes les autres enquêtes… Ce genre de « faits divers » est devenu banal dans la France d’aujourd’hui, et ce ne sont pas les ministres qui nous gouvernent aujourd’hui qui vont changer quoi que ce soit
C’est banal parce que les auteurs sont libérés trop vite et recommencent. La plupart de ces « fait divers banals » sont le fait de multirécidivistes. Incarcérer ces gens pour longtemps éviterait les récidives et ferait peut-être réfléchir les autres.
J’ai habité dans ce quartier au bord de l’Yerres, il y a 35 ans déjà. La vie y était paisible et c’était un paradis pour les familles et les enfants. Jamais on n’aurait penser qu’un tel drame puisse y survenir.
Autre temps, autre population, autres mœurs.
Plus rien à faire à part éviter les bandes qui se baladent , regarder fréquemment ce qui arrive dans notre dos , personne n est à l’abri , la police est impuissante et débordée, nos politiques s en foutent royalement, leur seule préoccupation est leur carrière et ne pas faire de vagues ,ils sont de toutes façons bâillonnés par l’européisme
Encore un fait. divers ou l’illustration de la déliquescence de notre société? Il est grand temps que le législatif, l’exécutif et la justice prennent conscience de cet état de fait et agissent en conséquence et d’urgence, sinon ce qui reste encore de notre volonté de vivre ensemble disparaitra pour longtemps.
Peut-être est-ce hors sujet ? Même s’il n’a pas été inventé pour cela, le rugby à XV est le meilleur antidote à ce désastre générationnel. On fait partie d’un groupe. On est collectif. On le défend. La violence est canalisée. On respecte les règles et l’arbitre. On dépense son trop plein d’énergie. Selon les résultat, on est fier (collectivement encore) ou on se promet de mieux faire la prochaine fois. Cerise sur le gâteau : Ce sport est ouvert aux filles qui ont bien « performé » ces dernières années au niveau international avec une participation non négligeable de représentantes de « quartiers sensibles ».
Entièrement d’accord avec vous j’ai joué au rugby mes deux fils également je confirme que ce sport est une extraordinaire école de la vie amour du maillot respect solidarité et humilité j’y ai croisé des jeunes qui étaient paumés et qui s’en sont sortis grâce à ce sport difficile mais magnifique
Dans tout société organisée et civilisée, la violence est canalisée, voire sublimée. Ici, nous sommes confrontés à des individus dont la seule règle est la violence. Notre société censée repérer ces individus et les mettre hors d’état de nuire ne le fait plus depuis des décennies, par paresse, par lâcheté, par idéologie … Le résultat est là, c’est désormais la violence qui s’impose comme langage et mode d’échange sous les yeux ébahis de nos dirigeants qui continuent à condamner verbalement sans agir. Le monde appartient à ceux qui agissent, les autres sont condamnés à disparaître, ces gens l’ont parfaitement compris alors que nous continuons à débattre sans fin sur les plateaux de télévision après chaque « fait divers ».
« c’est désormais la violence qui s’impose comme langage » A cela 2 causes :
1/La déculturisation : quand on ne sait pas s’exprimer, on emploie la massue.
2/Le culte du chef pour certains.
Comme vous avez raison de louer ce sport où sont mises en évidence toutes les qualités recherchées dans la pratique sportive. On est loin de ce que l’on observe dans d’autres sports, y compris et surtout parmi le plus populaire d’entre tous…