Rokhaya Diallo en pleine démonstration de racisme anti-Blanc

Capture d’écran © BFMTV
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Sur BFM TV, la militante décoloniale Rokhaya Diallo a interrogé Manuel Bompard sur le sort des « populations des quartiers populaires » (comprenez : immigrés ou issus de l’immigration) dont la gauche se sert pour se faire élire mais auxquelles elle accorde peu de places de candidats. Sur la photo de famille du Nouveau Front populaire, « on ne peut pas dire que les personnes issues de quartiers populaires soient très très visibles », constate Rokhaya Diallo, ajoutant aussitôt : « Elle m’a un peu éblouie. » Comprenez : tous ces Blancs, c’est aveuglant ! Aussitôt, Bompard, docile et complaisant, lui donne raison tandis que Charles Consigny relève le racialisme, pour ne pas dire le racisme, d’une telle vision où l’on dénombre les Noirs (jamais assez) et les Blancs (toujours trop).

 

 

Imaginons le contraire

L’arithmomanie est un trouble névrotique caractérisé par un besoin compulsif de compter. Que Rokhaya Diallo en soit atteinte est une évidence. « À Assas ou dans mon école de commerce, on n’était que deux Noirs dans la classe », expliquait-elle, déjà, en 2012. Elle n’est pas la seule dans son cas. « À chaque fois que je me retrouve comme ça, dans une grande réunion du métier, je ne peux pas m’empêcher de compter le nombre de Noirs dans la salle », avait déclaré l’actrice Aïssa Maïga, lors de la soirée des César, en février 2020.

Cette arithmomanie n’est acceptée qu’à sens unique. Si ce sont des Blancs qui comptent, ce n’est plus un trouble, c’est du racisme. En 2022, Zemmour avait choqué en dénombrant huit ou neuf joueurs « d’origine africaine de couleur noire dans l’équipe… » En octobre dernier, l’entraîneur de l’Olympique Lyon Sud, Mamadou Doumbia (noir) démissionnait en accusant ses dirigeants (blancs) de « compter le nombre de Noirs ».

« Les larmes des Blancs », motif de dérision

Répondant au reproche de racisme que lui fait Charles Consigny, Rokhaya Diallo se moque de lui, et pas de n’importe quelle façon. « Pauvre petit chou. Je suis sûre que votre vie est absolument torturée par le racisme anti-Blanc […] Pauvre petit Charles Consigny qui pleure du racisme anti-Blanc… » Militant antiraciste universaliste (c’est ainsi qu’il se présente), Laurent de Béchade y voit une claire transcription des « white tears » (larmes blanches). Dans les luttes féministes américaines, on juge, de la sorte, irrecevables les plaintes des femmes blanches, par rapport aux souffrances réelles des femmes noires. L’équivalent du « babtou fragile » - le Blanc faible. Le racisme, comme l’oppression coloniale, ne peut être que blanc, donc le racisme anti-Blanc n’existe pas et, donc, les plaintes des Blancs sont nulles et non avenues - justes risibles. CQFD.

« Pauvre petit Charles Consigny », oui, qui s’inquiétait de la montée de « l’extrême droite » et appelait à voter contre le RN ! Face à Rokhaya Diallo, s’est-il senti idiot utile, tout comme Bompard ? Tout comme Garrido, « grand-remplacée » par Aly Diouara, qui vient d’être élu député NFP ? Un arithmomane, lui aussi. Devant la photo d’un rassemblement de la NUPES, il commentait : « Salut les Blancs, Dites… on vous dérange pas trop, dans votre remake de la conférence de Berlin ? » Cette conférence de 1884-1885 étant le Yalta de la colonisation, on retrouve ce mix typique de la mouvance : racisme et décolonialisme.

Rokhaya Diallo a déjà un long CV en la matière, de ses accusations contre Charlie Hebdo, lorsque les locaux du journal furent incendiés en 2011, à ses camps en non-mixité. Est-elle raciste ? Déteste-t-elle les Blancs en tant que peuple et civilisation ? Allez savoir. Reste cette certitude : elle compte en fonction de la couleur de peau, tient des propos racistes et se moque des victimes qui osent protester. N’importe quel chroniqueur de droite ferait l’équivalent, il ne serait plus réinvité sur aucun plateau.

Samuel Martin
Samuel Martin
Journaliste

Vos commentaires

57 commentaires

  1. La découverte du monde : eh bien oui, l’Europe est peuplée majoritairement de blancs. 20/20 ! Mais raisonnons par l’absurde : sur les photos de groupe en Afrique, il n’y a presque que des noirs. Est-ce normal, docteur ?

  2. Dans son école il n’y avait pas beaucoup de noirs, elle n’avait qu’à venir dans le 93, il n’y aurait pratiquement que ça

  3. Si les Blancs la dérangent, elle peut toujours opter pour un pays où il y en a moins … et la liste est longue. La France devrait pouvoir se passer de « l’enrichissement » de madame diallo.

  4. Cette dame pourra toujours se consoler en allant voir du côté des prisons, des points de deal, ou des « faits divers » où les « personnes issues des quartiers populaires » sont largement représentées. Ceci compense largement cela, je pense.

  5. Mitterrand et les socialo-cocos, pour faire oublier la catastrophe économique des mesures prises de 81 jusqu’en 83 ont manipulé l’opinion, à la fois en faisant monter artificiellement le FN de Jean-Marie Le Pen grâce à une proportionnelle concoctée dans ce seul but et en inventant SOS Racisme, La Marche des Beurs et autres sottises.
    Nous voyons aujourd’hui cet héritage empoisonné. Les noirs et les arabes ont le droit d’être racistes envers les blancs et les asiatiques. Cela montre que SOS Racisme est une imposture. Le racisme est un des multiples visages du Mal. Rokhaya Diallo, lorsqu’elle voit un blanc, ne voit pas un être humain en tous points pareil à elle, mais un autre qu’il faut haïr.
    Encore Merci à Messieurs Mitterrand, Dray et Mélenchon les inventeurs de SOS Racisme !

  6. Si elle n’est pas contente, qu’elle aille vivre en Afrique, où les noirs sont censés être plus nombreux que les blancs.

  7. Mais qu’elles retournent en Afrique, là elles pourront décompter les blancs sur les photographies de groupe

  8. Je crois que les blancs aiment bien se faire culpabiliser. Alors il ne faut pas se priver Rokhaya. Ils se mettent à genoux au moindre reproche, Consigny s’y est mis depuis longtemps déjà, depuis qu’il a rejoint le camp du bien. Il se rend compte aujourd’hui qu’il n’a plus que le droit de se la fermer. Pauvre France.

  9. Ca, c’est du racisme pur jus, faire mieux n’existe pas. Bien qu’indépendants depuis quelques années, ces africains (nord ou sud) ne peuvent non seulement s’empêcher de nous envahir non pas pour vivre à nos côtés en bonne intelligence mais pour nous plonger dans l’insécurité en profitant des avantages sociaux, ou faire la loi, nous imposer leurs moeurs, leur culture et leur religion sans même comprendre que sans les « blancs », ils ne pourraient pas vivre. Cela dit, dame Diallo, c’est normal qu’il y aie en France des « blancs » mais si ce trop plein de blancs vous dérange ou vous aveugle, libre à vous d’hisser les voiles et repartir rapidement en Afrique avec tous ceux qui ont la même couleur où là-bas, c’est noir de monde.

  10. Il faudrait qu’elle sy fasse: depuis des siècles la France (et l’Europe) sont peuplées de blancs , Si ca ne lui plaît pas , quelle aille voir ailleurs!

  11. La binationalité est un problème.
    Elle est sénégalaise par son père et gambienne par sa mère.
    Française par accident.
    Elle aurait pu naître en Belgique ou ailleurs

  12. Oppression colonialE ou oppresseur colonial faut choisir. L’affrontement entre races avec de tels propos est il évitable ?

  13. En fait ces noirs qui comptent les blancs sont jaloux…ils souhaiteraient être dans notre peau de blanc, j ai pu le constater en Afrique du Sud . Ça commence par la méthode Cauet  » black is beautiful  » pour finir au racisme et à la haine anti blanc. Alors que la couleur de la peau importe peu si tous s unissaient pour un monde plus serein et plus respectueux

  14. C’est officiel, Kemi Seba vient de perdre sa nationalité française. Dans un décret datant du 8 juillet, il est indiqué que « M. Stellio Gilles Robert Capo Chichi est déclaré avoir perdu la nationalité française », révèle Le Figaro. Cette annonce intervient après une procédure de déchéance de la nationalité française émise à son encontre le 29 février dernier. Le militant avait réagi en dénonçant un « réflexe négrophobe » et une « réaction profondément néocoloniale ». 

    Le « panafricaniste » Kemi Seba perd sa nationalité française

    Stellio Gilles Robert Capo Chichi, alias Kemi Seba, s’est fait retirer sa nationalité française. Il avait brûlé son passeport en mars dernier lors d’une conférence de presse. 

  15. Elle a vu où elle habite cette dame ? Qu’en France les blancs soient majoritaires ça la choque ? Alors il faut accepter que lorsqu’un touriste se rend en Afrique,il faut accepter qu’il soit aussi choqué s’il n’y voit que des noirs.Elle est vraiment raciste cette femme,et Charles Consigny qui se voit mordre la main par la personne qu’il était censé défendre.il faut qu’il sache ce monsieur que malgré son appel à voter contre le RN, ça ne le rend pas pour autant plus fréquentable par les personnes « racisée », puisque ces gens veulent se définir comme cela.En conclusion,le racisme n’est certainement pas là où on le crie et où on le croit.Pauvre France,il est désormais trop tard pour toi,tu as vécu.

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