Rokhaya Diallo en pleine démonstration de racisme anti-Blanc
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Sur BFM TV, la militante décoloniale Rokhaya Diallo a interrogé Manuel Bompard sur le sort des « populations des quartiers populaires » (comprenez : immigrés ou issus de l’immigration) dont la gauche se sert pour se faire élire mais auxquelles elle accorde peu de places de candidats. Sur la photo de famille du Nouveau Front populaire, « on ne peut pas dire que les personnes issues de quartiers populaires soient très très visibles », constate Rokhaya Diallo, ajoutant aussitôt : « Elle m’a un peu éblouie. » Comprenez : tous ces Blancs, c’est aveuglant ! Aussitôt, Bompard, docile et complaisant, lui donne raison tandis que Charles Consigny relève le racialisme, pour ne pas dire le racisme, d’une telle vision où l’on dénombre les Noirs (jamais assez) et les Blancs (toujours trop).
FLASH | Rokhaya Diallo a estimé qu’il y avait trop de blancs sur la photo de famille du Nouveau Front Populaire.
— Cerfia (@CerfiaFR) July 9, 2024
Imaginons le contraire
L’arithmomanie est un trouble névrotique caractérisé par un besoin compulsif de compter. Que Rokhaya Diallo en soit atteinte est une évidence. « À Assas ou dans mon école de commerce, on n’était que deux Noirs dans la classe », expliquait-elle, déjà, en 2012. Elle n’est pas la seule dans son cas. « À chaque fois que je me retrouve comme ça, dans une grande réunion du métier, je ne peux pas m’empêcher de compter le nombre de Noirs dans la salle », avait déclaré l’actrice Aïssa Maïga, lors de la soirée des César, en février 2020.
Cette arithmomanie n’est acceptée qu’à sens unique. Si ce sont des Blancs qui comptent, ce n’est plus un trouble, c’est du racisme. En 2022, Zemmour avait choqué en dénombrant huit ou neuf joueurs « d’origine africaine de couleur noire dans l’équipe… » En octobre dernier, l’entraîneur de l’Olympique Lyon Sud, Mamadou Doumbia (noir) démissionnait en accusant ses dirigeants (blancs) de « compter le nombre de Noirs ».
« Les larmes des Blancs », motif de dérision
Répondant au reproche de racisme que lui fait Charles Consigny, Rokhaya Diallo se moque de lui, et pas de n’importe quelle façon. « Pauvre petit chou. Je suis sûre que votre vie est absolument torturée par le racisme anti-Blanc […] Pauvre petit Charles Consigny qui pleure du racisme anti-Blanc… » Militant antiraciste universaliste (c’est ainsi qu’il se présente), Laurent de Béchade y voit une claire transcription des « white tears » (larmes blanches). Dans les luttes féministes américaines, on juge, de la sorte, irrecevables les plaintes des femmes blanches, par rapport aux souffrances réelles des femmes noires. L’équivalent du « babtou fragile » - le Blanc faible. Le racisme, comme l’oppression coloniale, ne peut être que blanc, donc le racisme anti-Blanc n’existe pas et, donc, les plaintes des Blancs sont nulles et non avenues - justes risibles. CQFD.
« Pauvre petit Charles Consigny », oui, qui s’inquiétait de la montée de « l’extrême droite » et appelait à voter contre le RN ! Face à Rokhaya Diallo, s’est-il senti idiot utile, tout comme Bompard ? Tout comme Garrido, « grand-remplacée » par Aly Diouara, qui vient d’être élu député NFP ? Un arithmomane, lui aussi. Devant la photo d’un rassemblement de la NUPES, il commentait : « Salut les Blancs, Dites… on vous dérange pas trop, dans votre remake de la conférence de Berlin ? » Cette conférence de 1884-1885 étant le Yalta de la colonisation, on retrouve ce mix typique de la mouvance : racisme et décolonialisme.
Rokhaya Diallo a déjà un long CV en la matière, de ses accusations contre Charlie Hebdo, lorsque les locaux du journal furent incendiés en 2011, à ses camps en non-mixité. Est-elle raciste ? Déteste-t-elle les Blancs en tant que peuple et civilisation ? Allez savoir. Reste cette certitude : elle compte en fonction de la couleur de peau, tient des propos racistes et se moque des victimes qui osent protester. N’importe quel chroniqueur de droite ferait l’équivalent, il ne serait plus réinvité sur aucun plateau.
« Salut les blancs,
Dites…on vous dérange pas trop dans votre remake de la conférence de Berlin? »Comme disait l’autre: « La pauvreté c’est nous qui la vivons et c’est vous qui en vivez. » https://t.co/bQ4ZlUDmNY pic.twitter.com/b0v1BzsHqj
— Aly D (@AlyDiouara) August 27, 2022
Samuel Martin
Journaliste
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57 commentaires
Je pense que cette femme est une raciste pur jus envers les Blancs rien que dans son regard méchant quand elle prononce le mot blanc,un conseil Mme Diallo partez vite habité dans votre pays le Sénégal car vous allez vous rendre malade de vivre avec des blancs c’est pour votre santé,on dit merci Mme diallo.
Normal que les électeurs racises de lfi soient representes à l’assemblée puisqu’ils sont majoritaire dans ce parti..mais quid de l’équipe de France de foot? Doit on comprendre que la France compte 80 % de racises? Non aurait on menti sur le poids de l’immigration en France? Nos » joueurs » sont ils français ( de papier)depuis longtemps, ou le sont ils devenus quand des recruteurs de grands clubs sont allés les acheter en Afrique?..
Ceci dit, il faut bien admettre que ce genre de racisme ne scandalise guère les bien-pensants, si prompts à condamner farouchement « toutes formes de racisme » …
Avec LFI au pouvoir, les Blancs vont vite comprendre qu’ils dont de trop dans leur propre pays. LFI s’occupe des Juifs, ensuite ce sera nous, Mme Diallo peut se rassurer.
ces gens là veulent tout ! le beurre et l’argent du beurre
Rokhaya Diallo cette journaliste qui se dit féministe et antiraciste fait parti des pire racistes car ce racisme vas dans les deux sens et pour les propos qu’elle viens de prononcer peut être condamné en justice. La gauche veillera sur elle.
Et puis son féminisme ne se manifeste que dans certaines circonstances : on l’attend encore quant aux atrocités commises sur les femmes juives lors de l’attentat du 7 octobre. On l’attend toujours sur la condition des femmes Iraniennes qui se battent pour ne plus porter le voile. Bref, il n’y a que les femmes racisées et islamisées (donc voilées) qui l’intéressent. Un peu réducteur comme féminisme…
Moi quand je vais en Afrique je ne me pose pas la question inverse. Au départ le type européen est blanc même si maintenant comme le faisait remarquer avec dépit une journaliste américaine la semaine dernière à Paris : « on se croirait dans un pays d’Afrique » ! Et malheureusement la capitale n’est pas la seule dans cet état. Et avec NFP donc LFI le pire est à venir ! Par contre on peut se demander pourquoi cette raciste de Diallo n’est jamais poursuivi pour ses propos… Ne condamne donc en France que les propos des faces de craie ?
Hahaha ! Qui se souvient des larmes de Corbière à l’AN suite à l’affaire du bateau ?
Aujourd’hui ce sont des larmes de douleur sans vaseline.
Comme elle fleure bon le racisme cette fille de parvenus noir ! Chez l’africain, le racisme est dans les gènes, même entre eux !
Rokhaya Diallo s’insurge qu’il y ait trop de blancs en France… Va-t-elle aussi s’insurger qu’au Sénégal, (pays d’origine de ses parents) il y at trop de noirs ? Si les blancs la gênent tant, pourquoi n’y retourne-t-elle pas ? Pourquoi ne va-t-elle pas habiter à Aubervilliers ou Saint Denis ? C’est fou ces gens qui passent leur temps à critiquer la soupe mais qui s’en resservent sans honte. Mais, c’est son fond de commerce..
Juste une question, il y a combien de blancs dans les gouvernements et les administrations d’Afrique subsaharienne et centrale ?
Rokhaya Diallo oublie qu’elle est dans un état européen de race blanche, si on allait en Afrique et qu’on dise oh là il y a trop de noirs c’est dérangeant , je pense qu’on ne ferait pas long feu ! alors si ça ne lui plait pas la porte est grande ouverte , la FRANCE n’a pas besoin de personne comme elle !
Elle est « marante » la Rokhaya !! Ce n’est pas de la faute des sales blancs si « les noirs », pardon les racisés sont si peu représentés. Peut-être faudrait-il chercher la cause dans leur éducation/instruction, non ? Et je ne sis pas loin de penser comme Sarkozy qui déclarait dans son discours de Dakar : L’Afrique n’est pas encore entrée dans le 20iéme siècle ».
Je lui conseille d’aller se promener dans les gares de nos grandes villes. Là elle pourra se sentir comme chez elle. Il m’est arrivé de me demander sur les quais de celle de Toulouse comment on pouvait changer de continent avec un billet de TER.
Charles Consigny, encore un homme « de droite », autant que moi qui suis « papou » !!