Agriculture
Marlène Schiappa a divisé la classe politique ces jours derniers en commentant une affaire judiciaire en cours : celle du couple Daval.
Les responsables des grandes enseignes ne sont pas des philanthropes.
La production intensive, la mécanisation outrancière, le mépris affiché pour les savoir-faire ancestraux, la fracture avec le monde paysan ont entrainé une rupture profonde dans les tissus économiques et sociologiques de notre pays.
Philippe de Villiers réagit, en exclusivité au micro de Boulevard Voltaire, sur l’abandon d’un « grand projet stupide et utopique ».
Chacun s’est résigné à ne pas contester les « succès » industriels et commerciaux annoncés par les chefs d’État lors de leurs pérégrinations internationales.
M. Bussereau va-t-il adhérer à LREM, qui correspond si bien à ses aspirations ?
A partir de cette année, les repas de substitution – c’est-à-dire sans porc – sont supprimés dans les cantines des écoles publiques de Beaucaire (Gard).
On remarque plus facilement ceux qui dorment dans les rues de nos grandes villes que ceux qui persévèrent laborieusement dans la France des clochers. Ne les abandonnons pas.
Le champ des questions est vaste…
La meilleure réponse est sans doute d’ordre éthique et elle devrait être collective, dans nos modes de consommation.
Le christianisme rendu à lui-même apporte beaucoup au monde, mais à condition qu’il ait encore la possibilité d’être lui-même.
S’il y a un sujet sur lequel il ne faut pas titiller les Français, c’est bien la nourriture.
« Je suis persuadé que cette notion de conservatisme est la seule qui puisse aujourd’hui fédérer les droites. »
L’opposition assiste, impuissante, au toilettage qui a consolidé les relations entre le redouté parti de Mugabe, et les militaires désormais au pouvoir.
Ces achats de terre, sans sonner le glas de la paysannerie française, depuis longtemps en déliquescence, ne manquent pas de laisser perplexe.
Les commentaires vont bon train sur le vide du projet LR et sur son absence de cohérence idéologique.
On ne peut pas éternellement déplorer les effets de ce dont on chérit les causes.
Nous sommes décidément devenus des petites choses fragiles.
Comme d’habitude, on fait du racisme un problème européen qu’il est urgent de traiter au profit, notamment, des migrants qui en seraient victimes.
Au nom de la France, ce pauvre Nicolas Hulot se débat pour nous maintenir médaille d’or des angoisses sanitaires.
Malmené et méconnu, le monde agricole est l’objet de clichés qui ont la vie dure.
Il serait de bon ton que la politique régionale de monsieur Wauquiez soit enfin en phase avec ses saillies électoralistes.
Macron est ultralibéral en économie, ultra-européen fédéraliste, atlantiste, ami du CAC 40.
Édouard Philippe tiendra-t-il deux ans pour obtenir le second témoin d’usure de Matignon, c’est-à-dire la plaque de grand officier de la Légion d’honneur ?
Le Système bruxellois (qui usurpe le beau nom d’Europe) est, depuis qu’il a abjuré les sains principes du traité de Rome, cliniquement mort.
En fait, depuis la fin des quotas laitiers, rien ne tourne plus vraiment rond sur le marché français.
Face à des agriculteurs désemparés, car le glyphosate n’a pas de concurrent et ne pourra pas être remplacé dans l’immédiat, Nicolas Hulot a tranché.
Macron se dit ni de droite ni de gauche ? Que nos intellectuels se disent, eux, et de droite et de gauche.
Marlène Schiappa a divisé la classe politique ces jours derniers en commentant une affaire judiciaire en cours : celle du couple Daval.
Les responsables des grandes enseignes ne sont pas des philanthropes.
La production intensive, la mécanisation outrancière, le mépris affiché pour les savoir-faire ancestraux, la fracture avec le monde paysan ont entrainé une rupture profonde dans les tissus économiques et sociologiques de notre pays.
Philippe de Villiers réagit, en exclusivité au micro de Boulevard Voltaire, sur l’abandon d’un « grand projet stupide et utopique ».
Chacun s’est résigné à ne pas contester les « succès » industriels et commerciaux annoncés par les chefs d’État lors de leurs pérégrinations internationales.
M. Bussereau va-t-il adhérer à LREM, qui correspond si bien à ses aspirations ?
A partir de cette année, les repas de substitution – c’est-à-dire sans porc – sont supprimés dans les cantines des écoles publiques de Beaucaire (Gard).
On remarque plus facilement ceux qui dorment dans les rues de nos grandes villes que ceux qui persévèrent laborieusement dans la France des clochers. Ne les abandonnons pas.
Le champ des questions est vaste…
La meilleure réponse est sans doute d’ordre éthique et elle devrait être collective, dans nos modes de consommation.
Le christianisme rendu à lui-même apporte beaucoup au monde, mais à condition qu’il ait encore la possibilité d’être lui-même.
S’il y a un sujet sur lequel il ne faut pas titiller les Français, c’est bien la nourriture.
« Je suis persuadé que cette notion de conservatisme est la seule qui puisse aujourd’hui fédérer les droites. »
L’opposition assiste, impuissante, au toilettage qui a consolidé les relations entre le redouté parti de Mugabe, et les militaires désormais au pouvoir.
Ces achats de terre, sans sonner le glas de la paysannerie française, depuis longtemps en déliquescence, ne manquent pas de laisser perplexe.
Les commentaires vont bon train sur le vide du projet LR et sur son absence de cohérence idéologique.
On ne peut pas éternellement déplorer les effets de ce dont on chérit les causes.
Nous sommes décidément devenus des petites choses fragiles.
Comme d’habitude, on fait du racisme un problème européen qu’il est urgent de traiter au profit, notamment, des migrants qui en seraient victimes.
Au nom de la France, ce pauvre Nicolas Hulot se débat pour nous maintenir médaille d’or des angoisses sanitaires.
Malmené et méconnu, le monde agricole est l’objet de clichés qui ont la vie dure.
Il serait de bon ton que la politique régionale de monsieur Wauquiez soit enfin en phase avec ses saillies électoralistes.
Macron est ultralibéral en économie, ultra-européen fédéraliste, atlantiste, ami du CAC 40.
Édouard Philippe tiendra-t-il deux ans pour obtenir le second témoin d’usure de Matignon, c’est-à-dire la plaque de grand officier de la Légion d’honneur ?
Le Système bruxellois (qui usurpe le beau nom d’Europe) est, depuis qu’il a abjuré les sains principes du traité de Rome, cliniquement mort.
En fait, depuis la fin des quotas laitiers, rien ne tourne plus vraiment rond sur le marché français.
Face à des agriculteurs désemparés, car le glyphosate n’a pas de concurrent et ne pourra pas être remplacé dans l’immédiat, Nicolas Hulot a tranché.
Macron se dit ni de droite ni de gauche ? Que nos intellectuels se disent, eux, et de droite et de gauche.
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