Agriculture
Marc Fesneau est-il le ministre de l’Agriculture en Ukraine ? Non. De l’Union européenne ? Non plus.
Pourquoi un tel revirement ?
Comme toute notre agriculture, la tomate est victime des coûts de production et des réglementations folles.
Les agriculteurs, sous le choc, dénoncent l’impunité dont jouissent ces activistes écologistes radicaux.
« Concrètement, les Néo-Zélandais vont pouvoir envoyer en Europe 38.000 tonnes de viande ovine sur 7 ans sans taxe »
Signe de cette incompréhension, devenue la norme de toute forme de débat public ?
Derrière des cas particuliers, il faut bien admettre que puissent exister des forces autrement plus organisées,
L’équipe de reporters de BV a passé toute la semaine au Salon de l’agriculture, au milieu des ovins, des bovins, mais aussi des femmes et
Cette idée de droit consacré par la préexistence, le premier occupant, quoi, le «On est chez nous» finalement, est fascinante à entendre dans la bouche de ceux qui ne jurent que par l’inverse en matière d’immigration.
Un sondage de terrain qui en dit long sur la déconnexion entre la gauche écolo et le monde rural !
Le Salon de l’agriculture était, naguère, décrit comme la vitrine de l’agriculture française. Il n’est plus, aujourd’hui, que le décor Potemkine auquel plus grand monde ne croit d’une agriculture « en danger de mort ».
Refaisons de l’agriculture, de la forêt et des industries de transformation un enjeu de notre souveraineté nationale ! Il y a urgence !
S’il n’y avait, pour la rendre excédentaire, l’exportation des céréales, des vins et des spiritueux, la balance commerciale agricole de la France serait largement déficitaire.
L’éleveur du Cantal n’a pas sa langue dans sa poche. Parmi les images de couchers de soleil, de prés enneigés et de vêlages, il partage au quotidien les nombreuses difficultés, voire la détresse, des agriculteurs.
En cause, des normes françaises bien plus exigeantes que les normes européennes, plaçant l’agriculture française dans un phénomène de concurrence déloyale face aux autres pays de l’Union européenne.
Depuis trois ans, la grippe aviaire frappe durement les élevages de canards. Ce sont des millions d’animaux qui ont été abattus en France. Dans le
On a même vu, cet automne, des vignes cultivées qui n’ont pas été vendangées.
Le 6 décembre, un collectif de viticulteurs de Gironde appelle à manifester à Bordeaux « pour un plan social », à savoir l’arrachage volontaire et subventionné de 15.000 hectares de vignes, sur les 110.000 que compte la Gironde.
Fantastique ! L’Assemblée a donc débattu et voté une loi. Le Sénat a fait de même. Le gouvernement et le ministre ont communiqué sur cette grande avancée pour les agriculteurs, mais la France est soumise à la tutelle bruxelloise. On oublie, on rentre à la niche.
Si ce terrorisme ne tue pas, il terrorise effectivement. Il agresse, saccage.
« Le bénéfice de la réduction d’impôt est exclu pour les dons aux associations dont les adhérents sont reconnus coupables d’actes d’intrusion sur les propriétés privées agricoles. ». Cet amendement, présenté par Marc Le Fur (LR), a été adopté le 5 octobre dernier en commission des finances.
Les pratiques agricoles les plus normales peuvent engendrer quelques nuisances sonores, olfactives et autres : cela s’appelle la vie.
Face à « cette insécurité en très forte hausse », de nombreux agriculteurs se sentent seuls et démunis.
D’après la direction de France Télévisions, la céréalière de l’info aurait encore quelques rubriques captivantes en préparation. Un dossier explosif qui scandalise les associations de protection animale : le drame des coqs empalés vivants sur les girouettes des clochers.
Emmanuel Macron tient celui qui saura romancer le Grand Remplacement.
« Il est temps que les gens comprennent la vérité, j’en avais assez de cette désinformation propagée par les végans extrémistes », nous confie-t-elle.
Une semaine après la suspension de l’autorisation d’effarouchement des ours sur l’estive du Col d’Escots, par le Tribunal administratif, plus de 200 personnes se sont rassemblées le 12 août devant la sous-préfecture de St-Girons.
Les agriculteurs dénoncent un reportage pour « bobos parisiens ».
Marc Fesneau est-il le ministre de l’Agriculture en Ukraine ? Non. De l’Union européenne ? Non plus.
Pourquoi un tel revirement ?
Comme toute notre agriculture, la tomate est victime des coûts de production et des réglementations folles.
Les agriculteurs, sous le choc, dénoncent l’impunité dont jouissent ces activistes écologistes radicaux.
« Concrètement, les Néo-Zélandais vont pouvoir envoyer en Europe 38.000 tonnes de viande ovine sur 7 ans sans taxe »
Signe de cette incompréhension, devenue la norme de toute forme de débat public ?
Derrière des cas particuliers, il faut bien admettre que puissent exister des forces autrement plus organisées,
L’équipe de reporters de BV a passé toute la semaine au Salon de l’agriculture, au milieu des ovins, des bovins, mais aussi des femmes et
Cette idée de droit consacré par la préexistence, le premier occupant, quoi, le «On est chez nous» finalement, est fascinante à entendre dans la bouche de ceux qui ne jurent que par l’inverse en matière d’immigration.
Un sondage de terrain qui en dit long sur la déconnexion entre la gauche écolo et le monde rural !
Le Salon de l’agriculture était, naguère, décrit comme la vitrine de l’agriculture française. Il n’est plus, aujourd’hui, que le décor Potemkine auquel plus grand monde ne croit d’une agriculture « en danger de mort ».
Refaisons de l’agriculture, de la forêt et des industries de transformation un enjeu de notre souveraineté nationale ! Il y a urgence !
S’il n’y avait, pour la rendre excédentaire, l’exportation des céréales, des vins et des spiritueux, la balance commerciale agricole de la France serait largement déficitaire.
L’éleveur du Cantal n’a pas sa langue dans sa poche. Parmi les images de couchers de soleil, de prés enneigés et de vêlages, il partage au quotidien les nombreuses difficultés, voire la détresse, des agriculteurs.
En cause, des normes françaises bien plus exigeantes que les normes européennes, plaçant l’agriculture française dans un phénomène de concurrence déloyale face aux autres pays de l’Union européenne.
Depuis trois ans, la grippe aviaire frappe durement les élevages de canards. Ce sont des millions d’animaux qui ont été abattus en France. Dans le
On a même vu, cet automne, des vignes cultivées qui n’ont pas été vendangées.
Le 6 décembre, un collectif de viticulteurs de Gironde appelle à manifester à Bordeaux « pour un plan social », à savoir l’arrachage volontaire et subventionné de 15.000 hectares de vignes, sur les 110.000 que compte la Gironde.
Fantastique ! L’Assemblée a donc débattu et voté une loi. Le Sénat a fait de même. Le gouvernement et le ministre ont communiqué sur cette grande avancée pour les agriculteurs, mais la France est soumise à la tutelle bruxelloise. On oublie, on rentre à la niche.
Si ce terrorisme ne tue pas, il terrorise effectivement. Il agresse, saccage.
« Le bénéfice de la réduction d’impôt est exclu pour les dons aux associations dont les adhérents sont reconnus coupables d’actes d’intrusion sur les propriétés privées agricoles. ». Cet amendement, présenté par Marc Le Fur (LR), a été adopté le 5 octobre dernier en commission des finances.
Les pratiques agricoles les plus normales peuvent engendrer quelques nuisances sonores, olfactives et autres : cela s’appelle la vie.
Face à « cette insécurité en très forte hausse », de nombreux agriculteurs se sentent seuls et démunis.
D’après la direction de France Télévisions, la céréalière de l’info aurait encore quelques rubriques captivantes en préparation. Un dossier explosif qui scandalise les associations de protection animale : le drame des coqs empalés vivants sur les girouettes des clochers.
Emmanuel Macron tient celui qui saura romancer le Grand Remplacement.
« Il est temps que les gens comprennent la vérité, j’en avais assez de cette désinformation propagée par les végans extrémistes », nous confie-t-elle.
Une semaine après la suspension de l’autorisation d’effarouchement des ours sur l’estive du Col d’Escots, par le Tribunal administratif, plus de 200 personnes se sont rassemblées le 12 août devant la sous-préfecture de St-Girons.
Les agriculteurs dénoncent un reportage pour « bobos parisiens ».
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