Animaux
Face à la famine, la Namibie ne s’embarrasse pas de faux-semblants : les animaux sont faits pour être mangés.
Ce n’est pas seulement un coup dur pour Cyril Hanouna, mais aussi pour la visibilité donnée à la cause animale.
Échos d’une France rurale, les bénédictions concernent aujourd’hui davantage les animaux de compagnie.
Le Parti animaliste précise son attachement aux « valeurs fondamentales de démocratie » et aux « exigences républicaines ».
Censée être centrale, la question du bien-être animal a vite fait de céder le pas à divers impératifs politiques.
Les animalistes vivent dans un monde presque idéal, en tout cas sans insécurité ni immigration.
Signe de l’islamisation de la France, les préfectures de la République laïque sont sur le pont pour préparer l’aïd.
Pas sûr qu’Anne Hidalgo apprécie son personnage, presque plus effrayant que le requin lui-même.
Bien intentionné en apparence, le Parti animaliste vit dans un monde protégé sans immigration ni insécurité.
La cause animale mérite mieux que des velléités de réformes qui en restent à des lois en partie inappliquées.
La Commission européenne, elle, reste sur une position anti-animale au nom du libéralisme agro-alimentaire.
Le puppy yoga, une pratique au détriment du bien-être de ces petites bêtes qui n’ont rien demandé.
Que le transgenrisme soit répandu dans le monde animal apparaît comme une exagération militante.
L’abattage halal devrait alerter tous les défenseurs de la cause animale.
Une épopée sentimentale qui déculpabilise les Français de leur amour puissant, et non benêt, pour leurs « bêtes ».
Les spectacles de faucon sont dans le collimateur d’une association animaliste. Au mépris des réalités du métier ?
La « communication animale » doit son succès au goût ambiant pour le retour à une vie primitive, connectée à la Nature.
Qu’il ait lieu ou pas, envisager l’abattage de 195.000 bovins sains paraît monstrueux – sauf pour les écologistes.
Cette expérience inquiète : dans quelles conditions a-t-elle été réalisée ? Un laboratoire P4, a minima ?
Que l’animal soit un membre de la famille n’est pas une nouveauté, mais le chien comme « bébé », c’est une autre histoire
Pour Philippe Juvin, « L’EHPAD doit être un domicile, où l’on peut vivre avec un chat ou un chien. »
Moogly a 8 ans, soit quelque 70 ans ! Nous avons là un vieux monsieur, si je puis dire, placide et philosophe…
Les réseaux sociaux confirment que cette journée du 20 février est plus anglo-saxonne que latine.
Les gouvernants se sont souvent, sinon toujours, affichés avec leurs animaux.
Face à la famine, la Namibie ne s’embarrasse pas de faux-semblants : les animaux sont faits pour être mangés.
Ce n’est pas seulement un coup dur pour Cyril Hanouna, mais aussi pour la visibilité donnée à la cause animale.
Échos d’une France rurale, les bénédictions concernent aujourd’hui davantage les animaux de compagnie.
Le Parti animaliste précise son attachement aux « valeurs fondamentales de démocratie » et aux « exigences républicaines ».
Censée être centrale, la question du bien-être animal a vite fait de céder le pas à divers impératifs politiques.
Les animalistes vivent dans un monde presque idéal, en tout cas sans insécurité ni immigration.
Signe de l’islamisation de la France, les préfectures de la République laïque sont sur le pont pour préparer l’aïd.
Pas sûr qu’Anne Hidalgo apprécie son personnage, presque plus effrayant que le requin lui-même.
Bien intentionné en apparence, le Parti animaliste vit dans un monde protégé sans immigration ni insécurité.
La cause animale mérite mieux que des velléités de réformes qui en restent à des lois en partie inappliquées.
La Commission européenne, elle, reste sur une position anti-animale au nom du libéralisme agro-alimentaire.
Le puppy yoga, une pratique au détriment du bien-être de ces petites bêtes qui n’ont rien demandé.
Que le transgenrisme soit répandu dans le monde animal apparaît comme une exagération militante.
L’abattage halal devrait alerter tous les défenseurs de la cause animale.
Une épopée sentimentale qui déculpabilise les Français de leur amour puissant, et non benêt, pour leurs « bêtes ».
Les spectacles de faucon sont dans le collimateur d’une association animaliste. Au mépris des réalités du métier ?
La « communication animale » doit son succès au goût ambiant pour le retour à une vie primitive, connectée à la Nature.
Qu’il ait lieu ou pas, envisager l’abattage de 195.000 bovins sains paraît monstrueux – sauf pour les écologistes.
Cette expérience inquiète : dans quelles conditions a-t-elle été réalisée ? Un laboratoire P4, a minima ?
Que l’animal soit un membre de la famille n’est pas une nouveauté, mais le chien comme « bébé », c’est une autre histoire
Pour Philippe Juvin, « L’EHPAD doit être un domicile, où l’on peut vivre avec un chat ou un chien. »
Moogly a 8 ans, soit quelque 70 ans ! Nous avons là un vieux monsieur, si je puis dire, placide et philosophe…
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