Armées
La récupération politique de l’événement par le Président Macron confirme que tout, dans notre société, n’est décidément plus qu’affaire de communication.
Rien que l’idée de subir, chaque année, la nièce de Drucker ou l’inénarrable Jean-Claude Narcy…
Déjouer les menaces provenant de la lointaine troisième dimension et assurer la protection de notre patrimoine technique en orbite sera la mission de cette nouvelle organisation. Elle est confiée logiquement à l’armée de l’air.
La mise en scène est à la hauteur de l’événement : grandiose.
C’est l’efficacité opérationnelle d’un fleuron de notre pays qui est en jeu. Mais aujourd’hui, l’efficacité fait-elle le poids face à la communication ?
Alors, d’où vient cet acharnement incompréhensible sur les militaires ou les anciens, leurs veuves et les orphelins ?
Trump, contre l’avis de tous, a donc fait de la résistance en transposant à Washington – de façon spectaculaire – ce qu’il avait vu à Paris le 14 juillet 2017, alors invité par Macron.
Trump a voulu copier notre fête nationale, mais n’avons-nous pas eu trop tendance à copier les États-Unis ?
Âmes sensibles s’abstenir. Le 26 juin, Libération publiait un reportage sur 120 jeunes volontaires qui testaient le service national universel.
À l’avenir, le pilote aura moins la main sur le manche que sur les diverses commandes de son système d’armes.
À force de tout réduire à ce qui est monnayable, on finit par perdre de vue l’essentiel : la fierté d’appartenir à une grande nation.
Le 22 mai dernier, l’appel à la prière des musulmans lancé dans la cathédrale Saint-Louis-des-Invalides, lors d’un concert commémorant les vingt ans de la fin
« Nous serons moins de dix à rentrer intacts », avait-il lancé à ses hommes à la veille du Débarquement.
Churchill et de Gaulle ont toujours rendu hommage aux Russes pour leur évidente contribution à la victoire finale. Mais Macron n’est pas de Gaulle…
En cette période trouble, les rares journaux publiés sont victimes non seulement de la pénurie de papier mais aussi de la censure de l’occupant nazi.
Depuis Clovis, le destin de la France et celui de l’Église sont inextricables. Craignons que la lâcheté et les errances idéologiques de leurs dirigeants ne les mènent toutes deux à leur perte.
Cette fois, ça y est ! Depuis plus d’un an que les Syriens en rêvent et que les Russes en parlent, l’assaut contre la province d’Idlib a commencé.
Ce qui donne un sens à la vie donne un sens à la mort. Cédric et Alain toujours présents !
Arrêtons de nous tourmenter. La question est simple : on vend ou on ne vend pas.
Ne pouvant envisager une invasion contre un pays de 80 millions d’habitants au nationalisme ombrageux, il utilise l’arme des sanctions, interdisant à tout pays de la planète de commercer avec l’Iran.
Pendant que ces passionnés font leur travail, les Français vivent en sécurité, parfois malheureusement dans l’insouciance et la velléité…
Qui lui dira que le bon plaisir ne commande pas de s’asseoir sur les usages ?
« Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie ont droit qu’à leur cercueil la foule vienne et prie. » C’est une foule recueillie qui
https://www.youtube.com/watch?v=X_jqs4cMULQ&feature=youtu.be Boulevard Voltaire était présent, ce matin, avec plusieurs centaines de Français sur le pont Alexandre-III à Paris pour rendre hommage aux deux officiers mariniers
Le succès de ces opérations découle d’une seule problématique : l’effet de surprise.
On aimerait que les hommes qui décident du destin des autres aient, dans leur vie, montré qu’ils étaient à la hauteur des sacrifices qu’ils réclament des autres.
Pour chaque otage enlevé, plusieurs centaines d’hommes travaillent dans des bureaux ou sur le terrain pour récolter du renseignement, le recouper et monter des opérations.
Nouveau jour de deuil pour l’armée française ; donc pour la France…
La récupération politique de l’événement par le Président Macron confirme que tout, dans notre société, n’est décidément plus qu’affaire de communication.
Rien que l’idée de subir, chaque année, la nièce de Drucker ou l’inénarrable Jean-Claude Narcy…
Déjouer les menaces provenant de la lointaine troisième dimension et assurer la protection de notre patrimoine technique en orbite sera la mission de cette nouvelle organisation. Elle est confiée logiquement à l’armée de l’air.
La mise en scène est à la hauteur de l’événement : grandiose.
C’est l’efficacité opérationnelle d’un fleuron de notre pays qui est en jeu. Mais aujourd’hui, l’efficacité fait-elle le poids face à la communication ?
Alors, d’où vient cet acharnement incompréhensible sur les militaires ou les anciens, leurs veuves et les orphelins ?
Trump, contre l’avis de tous, a donc fait de la résistance en transposant à Washington – de façon spectaculaire – ce qu’il avait vu à Paris le 14 juillet 2017, alors invité par Macron.
Trump a voulu copier notre fête nationale, mais n’avons-nous pas eu trop tendance à copier les États-Unis ?
Âmes sensibles s’abstenir. Le 26 juin, Libération publiait un reportage sur 120 jeunes volontaires qui testaient le service national universel.
À l’avenir, le pilote aura moins la main sur le manche que sur les diverses commandes de son système d’armes.
À force de tout réduire à ce qui est monnayable, on finit par perdre de vue l’essentiel : la fierté d’appartenir à une grande nation.
Le 22 mai dernier, l’appel à la prière des musulmans lancé dans la cathédrale Saint-Louis-des-Invalides, lors d’un concert commémorant les vingt ans de la fin
« Nous serons moins de dix à rentrer intacts », avait-il lancé à ses hommes à la veille du Débarquement.
Churchill et de Gaulle ont toujours rendu hommage aux Russes pour leur évidente contribution à la victoire finale. Mais Macron n’est pas de Gaulle…
En cette période trouble, les rares journaux publiés sont victimes non seulement de la pénurie de papier mais aussi de la censure de l’occupant nazi.
Depuis Clovis, le destin de la France et celui de l’Église sont inextricables. Craignons que la lâcheté et les errances idéologiques de leurs dirigeants ne les mènent toutes deux à leur perte.
Cette fois, ça y est ! Depuis plus d’un an que les Syriens en rêvent et que les Russes en parlent, l’assaut contre la province d’Idlib a commencé.
Ce qui donne un sens à la vie donne un sens à la mort. Cédric et Alain toujours présents !
Arrêtons de nous tourmenter. La question est simple : on vend ou on ne vend pas.
Ne pouvant envisager une invasion contre un pays de 80 millions d’habitants au nationalisme ombrageux, il utilise l’arme des sanctions, interdisant à tout pays de la planète de commercer avec l’Iran.
Pendant que ces passionnés font leur travail, les Français vivent en sécurité, parfois malheureusement dans l’insouciance et la velléité…
Qui lui dira que le bon plaisir ne commande pas de s’asseoir sur les usages ?
« Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie ont droit qu’à leur cercueil la foule vienne et prie. » C’est une foule recueillie qui
https://www.youtube.com/watch?v=X_jqs4cMULQ&feature=youtu.be Boulevard Voltaire était présent, ce matin, avec plusieurs centaines de Français sur le pont Alexandre-III à Paris pour rendre hommage aux deux officiers mariniers
Le succès de ces opérations découle d’une seule problématique : l’effet de surprise.
On aimerait que les hommes qui décident du destin des autres aient, dans leur vie, montré qu’ils étaient à la hauteur des sacrifices qu’ils réclament des autres.
Pour chaque otage enlevé, plusieurs centaines d’hommes travaillent dans des bureaux ou sur le terrain pour récolter du renseignement, le recouper et monter des opérations.
Nouveau jour de deuil pour l’armée française ; donc pour la France…
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