Armées

Il n’est pas acceptable que le président de la République aille les accueillir à l’aérodrome de Vélizy-Villacoublay

Cela nous dépasse, nous, d’envoyer au casse-pipe deux brillants officiers mariniers du prestigieux commando Hubert, et cela, pour récupérer deux touristes en mal d’aventure…

Deux militaires des forces spéciales ont sacrifié leur vie durant la nuit de jeudi à vendredi dans l’opération visant à libérer les deux otages français enlevés au Bénin.

Un ami et contributeur de Boulevard Voltaire dont la présence faisait honneur à notre site vient de partir. Le 8 mai, au Chesnay (78), s’est

Notre reporter a rencontré le major Pierre Flamen, parachuté à Ðiện Biên Phủ en mars 1954. Le témoignage poignant d’un vétéran qui fut fait prisonnier,

Pourquoi commémorer le 8 mai 1945 ? Faut-il, comme l’avait envisagé Valéry Giscard d’Estaing, suprimer cet anniversaire pour le remplacer par une célébration de l’Europe

Aujourd’hui 7 mai, c’est l’anniversaire de la bataille de Ðiện Biên Phủ, en Indochine. Il y a 65 ans, après 56 jours et 55 nuits

Jean-Pax Méfret ne croyait pas si bien dire lorsqu’il chantait « Aujourd’hui tout le monde s’en fout de Diên Biên Phu ».

Dès qu’il y a le feu, vite, un général !

La presse a relaté un incident maritime franco-chinois impliquant une frégate de la Marine nationale, Le Vendémiaire, dans le détroit de Taïwan. Pour Boulevard Voltaire,
Les gendarmes mobiles, grâce à leur déontologie et leur savoir-faire, ont une attitude qui minore notablement dans les manifs les risques de bavures.

Voilà le vrai problème, là où le bât blesse. L’armée française est restée trop catholique et pas assez diverse aux yeux du politique.

Ils servent deux fois : parce que médecins et parce que militaires.

C’est l’éternelle parabole de la paille et de la poutre…
Si c’est Castaner qui trinque au Noto, ce sont les familles qui en bavent, touchées de plein fouet par ces absences répétées.

Après tout, on sait bien faire appel à l’armée pour ramasser les poubelles…

Le dernier militaire de carrière à avoir été ministre, ce fut le général Marcel Bigeard.

Plusieurs centaines de soldats étaient mobilisés, ce samedi 23 mars, pour protéger des sites officiels lors des manifestations des gilets jaunes. Certains haut gradés, fort justement, n’y sont pas favorables…

Chaque soldat, quelle que soit sa place dans la pyramide hiérarchique, est conscient que ce type d’intervention ne rentre pas dans son domaine de compétence.

Face à des hordes, ils n’auront que l’alternative de laisser passer les émeutiers, ou de tirer. Dans les deux cas ils risquent le discrédit.

En décidant de faire appel aux militaires de l’opération Sentinelle à l’occasion de l’acte XIX des gilets jaunes, l’exécutif vient de franchir un nouveau palier qui est, incontestablement, celui de tous les dangers.

Que risquent de retenir les Français dans cette décision ? Au pire, que ce gouvernement est prêt à faire tirer l’armée sur les plus extrêmes des gilets jaunes.

Étonnamment, le porte-avions Charles-de-Gaulle, habituellement objet de toutes les attentions médiatiques, a quitté Toulon le mardi 5 mars sans tambour ni biniou…

Pourquoi l’ancien chargé de mission de l’Élysée a-t-il fait l’objet d’un tel avancement ?

Pourquoi donc ce pataquès ?..

Reste à savoir lequel, désormais, est le vrai « Master » de cette grande ambition ?
Pour une fois, un réalisateur français semble avoir compris, à l’instar de ce qui se fait depuis des décennies outre-Atlantique, l’importance de filmer l’héroïsme national.

Le drame absolu, l’insupportable, parce qu’il n’a jusqu’ici reçu aucune explication, c’est celui de La Minerve, disparu au large de Toulon le 27 janvier 1968.

Il n’est pas acceptable que le président de la République aille les accueillir à l’aérodrome de Vélizy-Villacoublay

Cela nous dépasse, nous, d’envoyer au casse-pipe deux brillants officiers mariniers du prestigieux commando Hubert, et cela, pour récupérer deux touristes en mal d’aventure…

Deux militaires des forces spéciales ont sacrifié leur vie durant la nuit de jeudi à vendredi dans l’opération visant à libérer les deux otages français enlevés au Bénin.

Un ami et contributeur de Boulevard Voltaire dont la présence faisait honneur à notre site vient de partir. Le 8 mai, au Chesnay (78), s’est

Notre reporter a rencontré le major Pierre Flamen, parachuté à Ðiện Biên Phủ en mars 1954. Le témoignage poignant d’un vétéran qui fut fait prisonnier,

Pourquoi commémorer le 8 mai 1945 ? Faut-il, comme l’avait envisagé Valéry Giscard d’Estaing, suprimer cet anniversaire pour le remplacer par une célébration de l’Europe

Aujourd’hui 7 mai, c’est l’anniversaire de la bataille de Ðiện Biên Phủ, en Indochine. Il y a 65 ans, après 56 jours et 55 nuits

Jean-Pax Méfret ne croyait pas si bien dire lorsqu’il chantait « Aujourd’hui tout le monde s’en fout de Diên Biên Phu ».

Dès qu’il y a le feu, vite, un général !

La presse a relaté un incident maritime franco-chinois impliquant une frégate de la Marine nationale, Le Vendémiaire, dans le détroit de Taïwan. Pour Boulevard Voltaire,
Les gendarmes mobiles, grâce à leur déontologie et leur savoir-faire, ont une attitude qui minore notablement dans les manifs les risques de bavures.

Voilà le vrai problème, là où le bât blesse. L’armée française est restée trop catholique et pas assez diverse aux yeux du politique.

Ils servent deux fois : parce que médecins et parce que militaires.

C’est l’éternelle parabole de la paille et de la poutre…
Si c’est Castaner qui trinque au Noto, ce sont les familles qui en bavent, touchées de plein fouet par ces absences répétées.

Après tout, on sait bien faire appel à l’armée pour ramasser les poubelles…

Le dernier militaire de carrière à avoir été ministre, ce fut le général Marcel Bigeard.

Plusieurs centaines de soldats étaient mobilisés, ce samedi 23 mars, pour protéger des sites officiels lors des manifestations des gilets jaunes. Certains haut gradés, fort justement, n’y sont pas favorables…

Chaque soldat, quelle que soit sa place dans la pyramide hiérarchique, est conscient que ce type d’intervention ne rentre pas dans son domaine de compétence.

Face à des hordes, ils n’auront que l’alternative de laisser passer les émeutiers, ou de tirer. Dans les deux cas ils risquent le discrédit.

En décidant de faire appel aux militaires de l’opération Sentinelle à l’occasion de l’acte XIX des gilets jaunes, l’exécutif vient de franchir un nouveau palier qui est, incontestablement, celui de tous les dangers.

Que risquent de retenir les Français dans cette décision ? Au pire, que ce gouvernement est prêt à faire tirer l’armée sur les plus extrêmes des gilets jaunes.

Étonnamment, le porte-avions Charles-de-Gaulle, habituellement objet de toutes les attentions médiatiques, a quitté Toulon le mardi 5 mars sans tambour ni biniou…

Pourquoi l’ancien chargé de mission de l’Élysée a-t-il fait l’objet d’un tel avancement ?

Pourquoi donc ce pataquès ?..

Reste à savoir lequel, désormais, est le vrai « Master » de cette grande ambition ?
Pour une fois, un réalisateur français semble avoir compris, à l’instar de ce qui se fait depuis des décennies outre-Atlantique, l’importance de filmer l’héroïsme national.

Le drame absolu, l’insupportable, parce qu’il n’a jusqu’ici reçu aucune explication, c’est celui de La Minerve, disparu au large de Toulon le 27 janvier 1968.
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