Armées
L’ambiance et l’humeur au sein des armées et cercles d’anciens était plutôt amère…
Jeudi, sur le pont Alexandre III, hommage était rendu à l’adjudant du 13e RDP mort au combat dans la région du Levant.
Il y a cent ans, le 11 septembre 1917, mourait Georges Guynemer. Qu’en reste-t-il au-delà de quelques rues portant son nom ?
Le naufrage du Lusitania, coulé par le U-20 en mai 1915, provoque la colère du président Woodrow Wilson.
Ils ne sont plus que dix. Dix Compagnons de la Libération.
Onze officiers généraux signent une tribune en exclusivité sur Boulevard Voltaire. Une première sans doute qui s’explique par la gravité de la situation.
Dans l’imaginaire médiatique, Aung San Suu Kyi était une sorte de madone de la démocratie.
Les policiers, les gendarmes et les militaires font déjà l’objet d’un «criblage»…
À l’Assemblée, il y a les députés qui font dans la grosse commission et ceux – de seconde zone, j’imagine – qui se contentent de la petite…
La prévision des dégâts matériels et des risques humains n’a manifestement pas été suffisante.
La version la plus probable est que Guynemer a été tué en combat.
Oui, les circonstances imposent au FN une autocritique exigeante et impartiale. Mais pas le FN bashing auquel se livre Robert Ménard.
Le terrorisme islamique, d’origine immigrée ou pas, a encore de beaux jours devant lui.
Trump sait que l’establishment républicain veut se faire réélire en 2018, tout en empêchant le président de gagner un deuxième mandat en 2020.
C’est peu dire que le ton monte entre Washington et Pyongyang.
La loi n’est plus appliquée dans ces cités, car la police, insuffisamment nombreuse, est inefficace. La seule solution est d’y faire intervenir l’Armée.
L’esprit de transgression souffle là où il veut, c’est-à-dire vers les écueils d’une diversité factice qui ne sert qu’à berner les simples d’esprit.
Comment réussir cette purge inédite depuis le gouvernement Laval en 1935 ?
Le mouvement qui a pour particularité de se détacher de toute formation syndicale ou de tout bord politique, entend donc réitérer son cri d’alarme.
Sur le plan politique, la situation est prérévolutionnaire.
Emmanuel Macron persiste et signe par ces propos humiliants qui sont indignes d’un chef des armées.
Je veux évoquer aujourd’hui des Français, nés sur la terre déchirée de Lorraine.
Le baromètre mensuel Ifop-JDD est formel : ce n’est plus un tassement ou une chute, c’est un effondrement.
« Au bal des faux cils », le maquillage est roi.
La question des moyens accordés aux forces armées est primordiale.
La situation sécuritaire est alarmante. Et nos forces ne peuvent plus subir cette fuite en avant des « reports de charge ».
Le Colonel J. Hogard pense que l’opération Sentinelle doit être revue car elle est inefficace, coûteuse et démoralisante pour les troupes.
Au début du mois d’août 1917, les Allemands reprennent des forces et tentent de contrecarrer l’offensive alliée lancée en juillet.
L’ambiance et l’humeur au sein des armées et cercles d’anciens était plutôt amère…
Jeudi, sur le pont Alexandre III, hommage était rendu à l’adjudant du 13e RDP mort au combat dans la région du Levant.
Il y a cent ans, le 11 septembre 1917, mourait Georges Guynemer. Qu’en reste-t-il au-delà de quelques rues portant son nom ?
Le naufrage du Lusitania, coulé par le U-20 en mai 1915, provoque la colère du président Woodrow Wilson.
Ils ne sont plus que dix. Dix Compagnons de la Libération.
Onze officiers généraux signent une tribune en exclusivité sur Boulevard Voltaire. Une première sans doute qui s’explique par la gravité de la situation.
Dans l’imaginaire médiatique, Aung San Suu Kyi était une sorte de madone de la démocratie.
Les policiers, les gendarmes et les militaires font déjà l’objet d’un «criblage»…
À l’Assemblée, il y a les députés qui font dans la grosse commission et ceux – de seconde zone, j’imagine – qui se contentent de la petite…
La prévision des dégâts matériels et des risques humains n’a manifestement pas été suffisante.
La version la plus probable est que Guynemer a été tué en combat.
Oui, les circonstances imposent au FN une autocritique exigeante et impartiale. Mais pas le FN bashing auquel se livre Robert Ménard.
Le terrorisme islamique, d’origine immigrée ou pas, a encore de beaux jours devant lui.
Trump sait que l’establishment républicain veut se faire réélire en 2018, tout en empêchant le président de gagner un deuxième mandat en 2020.
C’est peu dire que le ton monte entre Washington et Pyongyang.
La loi n’est plus appliquée dans ces cités, car la police, insuffisamment nombreuse, est inefficace. La seule solution est d’y faire intervenir l’Armée.
L’esprit de transgression souffle là où il veut, c’est-à-dire vers les écueils d’une diversité factice qui ne sert qu’à berner les simples d’esprit.
Comment réussir cette purge inédite depuis le gouvernement Laval en 1935 ?
Le mouvement qui a pour particularité de se détacher de toute formation syndicale ou de tout bord politique, entend donc réitérer son cri d’alarme.
Sur le plan politique, la situation est prérévolutionnaire.
Emmanuel Macron persiste et signe par ces propos humiliants qui sont indignes d’un chef des armées.
Je veux évoquer aujourd’hui des Français, nés sur la terre déchirée de Lorraine.
Le baromètre mensuel Ifop-JDD est formel : ce n’est plus un tassement ou une chute, c’est un effondrement.
« Au bal des faux cils », le maquillage est roi.
La question des moyens accordés aux forces armées est primordiale.
La situation sécuritaire est alarmante. Et nos forces ne peuvent plus subir cette fuite en avant des « reports de charge ».
Le Colonel J. Hogard pense que l’opération Sentinelle doit être revue car elle est inefficace, coûteuse et démoralisante pour les troupes.
Au début du mois d’août 1917, les Allemands reprennent des forces et tentent de contrecarrer l’offensive alliée lancée en juillet.
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