Armées
Objectif : 25 % de femmes dans les armées. La méthode : fermer le recrutement aux hommes et baisser les barèmes de sélection.
Des milliers de migrants prennent d’assaut la métropole québécoise et le stade olympique a dû être réquisitionné.
Si l’on en croit la presse, Robert Lee serait un odieux raciste, fier partisan de l’esclavage. Or, rien n’est plus faux.
La réaction tweet tardive du Président douze heures après l’attentat islamiste contre les soldats de Sentinelle pose un certain nombre de questions.
Les dictatures militaires, la plupart du temps, ne durent pas. Elles assurent le plus souvent le retour à une démocratie apaisée.
Lui, le chef des armées, a mis 12 heures 40 minutes pour réagir.
La nation doit se rassembler et soutenir l’armée de façon à exiger du pouvoir politique les moyens nécessaires pour mener ces actions de guerre.
La réponse au terrorisme, c’est le renseignement, et l’élimination du danger à la source.
Comme toujours quand les choses deviennent sérieuses, on s’est tourné vers l’Armée et elle a accepté. Accepté de prendre
Jean-Marie Beuzelin nous donne en deux articles, que nous publierons sur deux jours, les sept clefs pour comprendre la situation au Venezuela.
Le général Desportes analyse les répercussions de la crise politico-militaire de la démission du général de Villiers.
Il ne faut pas rêver : quand l’art n’exalte plus l’héroïsme ou la grandeur d’âme, la nation se meurt.
Tonnerre de Zeus ! Il arrive donc à Jupiter d’être grossier.
Tout au long du mois d’août, Boulevard Voltaire nous emmène, via ses lecteurs, visiter les régions méconnues de notre pays…
Le « parti universel » dirige aujourd’hui la ploutocratie américaine…
Il est plus facile d’avoir l’oreille des puissants lorsque l’on brille soi-même de mille feux…
La lettre au président de la République sur les conséquences de la coupe de plus de 370 millions d’euros sur la sécurité, est restée à ce jour sans réponse.
Les people sont moins encombrants que les syndicalistes…
L’honneur du général de Villiers est celui, tout simple, de la cohérence, chose assez rare aujourd’hui.
Le président a décidé d’employer un « tueur »…
Les tensions redoublent, non seulement à Caracas, mais aussi dans tout le pays qui est, depuis le 1er avril, en situation de guérilla permanente.
Emmanuel Macron n’a rien de militaire. Le chef de l’État a géré cette crise seul, sans écouter ses conseillers.
Une chute de 10 points, ce n’est pas rien. Surtout après deux mois de communication régalienne non-stop.
Notre jeune Président essaie, à l’évidence, de se servir des institutions alors que sa tâche serait de les servir.
65 % des Français estiment qu’il y a trop d’étrangers en France. Mais M. Macron est bien décidé à en accueillir davantage.
Quand quelqu’un est obligé de rappeler publiquement qu’il est le chef, cela signifie clairement qu’il ne l’est pas et ne le sera jamais.
Une telle attaque venant d’un tel héros n’est pas bien dangereuse.
En faisant fi des mises en garde du CEMA, M. Macron a pensé asseoir une autorité absolue.
Objectif : 25 % de femmes dans les armées. La méthode : fermer le recrutement aux hommes et baisser les barèmes de sélection.
Des milliers de migrants prennent d’assaut la métropole québécoise et le stade olympique a dû être réquisitionné.
Si l’on en croit la presse, Robert Lee serait un odieux raciste, fier partisan de l’esclavage. Or, rien n’est plus faux.
La réaction tweet tardive du Président douze heures après l’attentat islamiste contre les soldats de Sentinelle pose un certain nombre de questions.
Les dictatures militaires, la plupart du temps, ne durent pas. Elles assurent le plus souvent le retour à une démocratie apaisée.
Lui, le chef des armées, a mis 12 heures 40 minutes pour réagir.
La nation doit se rassembler et soutenir l’armée de façon à exiger du pouvoir politique les moyens nécessaires pour mener ces actions de guerre.
La réponse au terrorisme, c’est le renseignement, et l’élimination du danger à la source.
Comme toujours quand les choses deviennent sérieuses, on s’est tourné vers l’Armée et elle a accepté. Accepté de prendre
Jean-Marie Beuzelin nous donne en deux articles, que nous publierons sur deux jours, les sept clefs pour comprendre la situation au Venezuela.
Le général Desportes analyse les répercussions de la crise politico-militaire de la démission du général de Villiers.
Il ne faut pas rêver : quand l’art n’exalte plus l’héroïsme ou la grandeur d’âme, la nation se meurt.
Tonnerre de Zeus ! Il arrive donc à Jupiter d’être grossier.
Tout au long du mois d’août, Boulevard Voltaire nous emmène, via ses lecteurs, visiter les régions méconnues de notre pays…
Le « parti universel » dirige aujourd’hui la ploutocratie américaine…
Il est plus facile d’avoir l’oreille des puissants lorsque l’on brille soi-même de mille feux…
La lettre au président de la République sur les conséquences de la coupe de plus de 370 millions d’euros sur la sécurité, est restée à ce jour sans réponse.
Les people sont moins encombrants que les syndicalistes…
L’honneur du général de Villiers est celui, tout simple, de la cohérence, chose assez rare aujourd’hui.
Le président a décidé d’employer un « tueur »…
Les tensions redoublent, non seulement à Caracas, mais aussi dans tout le pays qui est, depuis le 1er avril, en situation de guérilla permanente.
Emmanuel Macron n’a rien de militaire. Le chef de l’État a géré cette crise seul, sans écouter ses conseillers.
Une chute de 10 points, ce n’est pas rien. Surtout après deux mois de communication régalienne non-stop.
Notre jeune Président essaie, à l’évidence, de se servir des institutions alors que sa tâche serait de les servir.
65 % des Français estiment qu’il y a trop d’étrangers en France. Mais M. Macron est bien décidé à en accueillir davantage.
Quand quelqu’un est obligé de rappeler publiquement qu’il est le chef, cela signifie clairement qu’il ne l’est pas et ne le sera jamais.
Une telle attaque venant d’un tel héros n’est pas bien dangereuse.
En faisant fi des mises en garde du CEMA, M. Macron a pensé asseoir une autorité absolue.
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