Cinéma
Il était le dernier survivant de la joyeuse bande de copains d’Un éléphant ça trompe énormément (1976) d’Yves Robert…
Le journal Madmoizelle, tout en finesse, tire à bout portant : « L’annonce d’une femme noire dans le rôle de James Bond déplaît aux cons. »
Caroline Cellier est morte ? On refuse de le croire.
Un beau film sur le dévouement.
Le chagrin avait alors ses élégances. À l’instar du défunt Robert Castel qui, tout au long de sa longue carrière, privilégia toujours plus la poilade que la jérémiade. Un exemple à aujourd’hui méditer ?
Avec Sauver ou périr, le réalisateur Frédéric Tellier, nous propose un film-hommage à ces soldats du feu
On dira encore que, si l’amour du cinéma n’est que vulgaire posture chez tant de cuistres, elle n’est ici qu’offrande. Décidément, le religieux n’est jamais loin, chez Michel Marmin.
Alors, Omar Sy, pourquoi pas, encore une fois ? Seulement voilà, il n’est pas besoin d’être grand clerc pour y voir clair, sachant que c’est le même brouet antiraciste qu’on nous ressort déjà.
Un film détesté par Première (« consternant de bêtise »), Télérama (« rien à sauver ») et Slate (« propagande ») ne peut pas être tout à fait mauvais. J’avoue même
Au final, un petit classique du cinéma de genre italien qui enchantera les petits comme les grands.
Hollywood a produit près de deux cents films, tous genres confondus, souvent réalisés par des Noirs et dans lesquels Noires et Noirs tiennent le haut de l’affiche. Cela a même un nom : la « blaxploitation ». En revanche, cette dernière était naguère pétrie de fierté assumée, à rebours de l’actuelle pleurnicherie généralisée.
Ensemble, les huit nageurs et leurs deux entraîneurs, au fil de cocasses péripéties, accompliront l’impossible.
James Bond était Sean Connery, et vice versa.
Le film impressionnera surtout pour la composition de ses cadres (tournés au format 1.33) et pour ces séquences mémorables où les ouvriers de Carrare parviennent à extraire de la roche, puis à véhiculer, un « monstre » de marbre commandé par le maître.
Un garçon se lie d’amitié avec un braconnier du coin, Totoche, qui lui apprendra peu à peu à apprivoiser la nature.
À l’occasion de l’été, BV vous propose de redécouvrir les films que nous avions aimés lors de leur sortie au cinéma. Aujourd’hui, First Man, l’histoire
avec une allégresse tranquille et une brutalité souriante, elle démolit les poncifs prétendument progressistes de ce nouveau féminisme qui rêve de faire sexe à part…
Le film est à envisager d’abord comme une célébration des plaisirs de la vie…
Il s’agit là du plus grand hommage que des cinéastes puissent rendre à la peinture.
Avec une certaine grâce, Maura Delpero nous livre un beau film sur l’abnégation et sur la difficulté de tenir son rang.
Les cinéphiles auront sûrement de quoi se réjouir ; les amateurs d’Histoire peut-être un peu moins…
Un film qui rappelle innocemment que les maris savent parfois prendre leurs responsabilités.
Preuve vivante qu’Israël possède la bombe atomique !
Le réalisateur Marc Fitoussi plonge dans le drame bourgeois pour croquer avec ironie l’habitus de ceux qui s’affichent bien trop souvent en société comme les porte-étendard de la vertu, de la générosité et de l’ouverture sur le monde.
Distraire le public et promouvoir le patrimoine, l’histoire et la culture française, c’est l’objectif poursuivi par Saint Louis Studio.
Reste un beau film sur la paysannerie et sur les relations père-fils.
La réussite du film revient en partie à Ana Girardot, qui porte le récit sur ses épaules.
Ingrat, odieux, ridicule, Godard, par peur de rater le train de la modernité, achèvera de se déconnecter du peuple.
Il était le dernier survivant de la joyeuse bande de copains d’Un éléphant ça trompe énormément (1976) d’Yves Robert…
Le journal Madmoizelle, tout en finesse, tire à bout portant : « L’annonce d’une femme noire dans le rôle de James Bond déplaît aux cons. »
Caroline Cellier est morte ? On refuse de le croire.
Un beau film sur le dévouement.
Le chagrin avait alors ses élégances. À l’instar du défunt Robert Castel qui, tout au long de sa longue carrière, privilégia toujours plus la poilade que la jérémiade. Un exemple à aujourd’hui méditer ?
Avec Sauver ou périr, le réalisateur Frédéric Tellier, nous propose un film-hommage à ces soldats du feu
On dira encore que, si l’amour du cinéma n’est que vulgaire posture chez tant de cuistres, elle n’est ici qu’offrande. Décidément, le religieux n’est jamais loin, chez Michel Marmin.
Alors, Omar Sy, pourquoi pas, encore une fois ? Seulement voilà, il n’est pas besoin d’être grand clerc pour y voir clair, sachant que c’est le même brouet antiraciste qu’on nous ressort déjà.
Un film détesté par Première (« consternant de bêtise »), Télérama (« rien à sauver ») et Slate (« propagande ») ne peut pas être tout à fait mauvais. J’avoue même
Au final, un petit classique du cinéma de genre italien qui enchantera les petits comme les grands.
Hollywood a produit près de deux cents films, tous genres confondus, souvent réalisés par des Noirs et dans lesquels Noires et Noirs tiennent le haut de l’affiche. Cela a même un nom : la « blaxploitation ». En revanche, cette dernière était naguère pétrie de fierté assumée, à rebours de l’actuelle pleurnicherie généralisée.
Ensemble, les huit nageurs et leurs deux entraîneurs, au fil de cocasses péripéties, accompliront l’impossible.
James Bond était Sean Connery, et vice versa.
Le film impressionnera surtout pour la composition de ses cadres (tournés au format 1.33) et pour ces séquences mémorables où les ouvriers de Carrare parviennent à extraire de la roche, puis à véhiculer, un « monstre » de marbre commandé par le maître.
Un garçon se lie d’amitié avec un braconnier du coin, Totoche, qui lui apprendra peu à peu à apprivoiser la nature.
À l’occasion de l’été, BV vous propose de redécouvrir les films que nous avions aimés lors de leur sortie au cinéma. Aujourd’hui, First Man, l’histoire
avec une allégresse tranquille et une brutalité souriante, elle démolit les poncifs prétendument progressistes de ce nouveau féminisme qui rêve de faire sexe à part…
Le film est à envisager d’abord comme une célébration des plaisirs de la vie…
Il s’agit là du plus grand hommage que des cinéastes puissent rendre à la peinture.
Avec une certaine grâce, Maura Delpero nous livre un beau film sur l’abnégation et sur la difficulté de tenir son rang.
Les cinéphiles auront sûrement de quoi se réjouir ; les amateurs d’Histoire peut-être un peu moins…
Un film qui rappelle innocemment que les maris savent parfois prendre leurs responsabilités.
Preuve vivante qu’Israël possède la bombe atomique !
Le réalisateur Marc Fitoussi plonge dans le drame bourgeois pour croquer avec ironie l’habitus de ceux qui s’affichent bien trop souvent en société comme les porte-étendard de la vertu, de la générosité et de l’ouverture sur le monde.
Distraire le public et promouvoir le patrimoine, l’histoire et la culture française, c’est l’objectif poursuivi par Saint Louis Studio.
Reste un beau film sur la paysannerie et sur les relations père-fils.
La réussite du film revient en partie à Ana Girardot, qui porte le récit sur ses épaules.
Ingrat, odieux, ridicule, Godard, par peur de rater le train de la modernité, achèvera de se déconnecter du peuple.
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