Cinéma

La mobilisation s’organise sur Internet pour réclamer une version du film « Maman j’ai raté l’avion » expurgée de la courte scène où apparaît l’ancien magnat de l’immobilier.

La question d’une éventuelle ascendance africaine de la reine Charlotte agite les spécialistes depuis deux siècles.

À Hollywood, une nouvelle obsession woke a vu le jour : l’addiction à l’héroïne.

Il y a, décidément, une exception cinématographique italienne, confirmée par les artisans d’Artus Films qui parviennent, encore et toujours, à exhumer de petits joyaux transalpins.

S’il y en avait bien un qui incarnait le jazz à la française, si ce n’est le jazz français tout court, c’était lui : Claude Bolling, parti à quatre-vingt-dix ans, ce 30 décembre dernier.

Résumer une si longue et si éclectique réussite tient de la gageure.

Le cinéaste nous livre un film intelligent et perspicace ; qui plus est, doté d’une photographie extrêmement soignée.

Il était le dernier survivant de la joyeuse bande de copains d’Un éléphant ça trompe énormément (1976) d’Yves Robert…

Le journal Madmoizelle, tout en finesse, tire à bout portant : « L’annonce d’une femme noire dans le rôle de James Bond déplaît aux cons. »

Caroline Cellier est morte ? On refuse de le croire.

Un beau film sur le dévouement.

Le chagrin avait alors ses élégances. À l’instar du défunt Robert Castel qui, tout au long de sa longue carrière, privilégia toujours plus la poilade que la jérémiade. Un exemple à aujourd’hui méditer ?

Avec Sauver ou périr, le réalisateur Frédéric Tellier, nous propose un film-hommage à ces soldats du feu

On dira encore que, si l’amour du cinéma n’est que vulgaire posture chez tant de cuistres, elle n’est ici qu’offrande. Décidément, le religieux n’est jamais loin, chez Michel Marmin.
Alors, Omar Sy, pourquoi pas, encore une fois ? Seulement voilà, il n’est pas besoin d’être grand clerc pour y voir clair, sachant que c’est le même brouet antiraciste qu’on nous ressort déjà.

Un film détesté par Première (« consternant de bêtise »), Télérama (« rien à sauver ») et Slate (« propagande ») ne peut pas être tout à fait mauvais. J’avoue même

Au final, un petit classique du cinéma de genre italien qui enchantera les petits comme les grands.

Hollywood a produit près de deux cents films, tous genres confondus, souvent réalisés par des Noirs et dans lesquels Noires et Noirs tiennent le haut de l’affiche. Cela a même un nom : la « blaxploitation ». En revanche, cette dernière était naguère pétrie de fierté assumée, à rebours de l’actuelle pleurnicherie généralisée.

Ensemble, les huit nageurs et leurs deux entraîneurs, au fil de cocasses péripéties, accompliront l’impossible.

James Bond était Sean Connery, et vice versa.

Le film impressionnera surtout pour la composition de ses cadres (tournés au format 1.33) et pour ces séquences mémorables où les ouvriers de Carrare parviennent à extraire de la roche, puis à véhiculer, un « monstre » de marbre commandé par le maître.

Un garçon se lie d’amitié avec un braconnier du coin, Totoche, qui lui apprendra peu à peu à apprivoiser la nature.

À l’occasion de l’été, BV vous propose de redécouvrir les films que nous avions aimés lors de leur sortie au cinéma. Aujourd’hui, First Man, l’histoire

avec une allégresse tranquille et une brutalité souriante, elle démolit les poncifs prétendument progressistes de ce nouveau féminisme qui rêve de faire sexe à part…

Le film est à envisager d’abord comme une célébration des plaisirs de la vie…

Il s’agit là du plus grand hommage que des cinéastes puissent rendre à la peinture.

Avec une certaine grâce, Maura Delpero nous livre un beau film sur l’abnégation et sur la difficulté de tenir son rang.
Les cinéphiles auront sûrement de quoi se réjouir ; les amateurs d’Histoire peut-être un peu moins…

La mobilisation s’organise sur Internet pour réclamer une version du film « Maman j’ai raté l’avion » expurgée de la courte scène où apparaît l’ancien magnat de l’immobilier.

La question d’une éventuelle ascendance africaine de la reine Charlotte agite les spécialistes depuis deux siècles.

À Hollywood, une nouvelle obsession woke a vu le jour : l’addiction à l’héroïne.

Il y a, décidément, une exception cinématographique italienne, confirmée par les artisans d’Artus Films qui parviennent, encore et toujours, à exhumer de petits joyaux transalpins.

S’il y en avait bien un qui incarnait le jazz à la française, si ce n’est le jazz français tout court, c’était lui : Claude Bolling, parti à quatre-vingt-dix ans, ce 30 décembre dernier.

Résumer une si longue et si éclectique réussite tient de la gageure.

Le cinéaste nous livre un film intelligent et perspicace ; qui plus est, doté d’une photographie extrêmement soignée.

Il était le dernier survivant de la joyeuse bande de copains d’Un éléphant ça trompe énormément (1976) d’Yves Robert…

Le journal Madmoizelle, tout en finesse, tire à bout portant : « L’annonce d’une femme noire dans le rôle de James Bond déplaît aux cons. »

Caroline Cellier est morte ? On refuse de le croire.

Un beau film sur le dévouement.

Le chagrin avait alors ses élégances. À l’instar du défunt Robert Castel qui, tout au long de sa longue carrière, privilégia toujours plus la poilade que la jérémiade. Un exemple à aujourd’hui méditer ?

Avec Sauver ou périr, le réalisateur Frédéric Tellier, nous propose un film-hommage à ces soldats du feu

On dira encore que, si l’amour du cinéma n’est que vulgaire posture chez tant de cuistres, elle n’est ici qu’offrande. Décidément, le religieux n’est jamais loin, chez Michel Marmin.
Alors, Omar Sy, pourquoi pas, encore une fois ? Seulement voilà, il n’est pas besoin d’être grand clerc pour y voir clair, sachant que c’est le même brouet antiraciste qu’on nous ressort déjà.

Un film détesté par Première (« consternant de bêtise »), Télérama (« rien à sauver ») et Slate (« propagande ») ne peut pas être tout à fait mauvais. J’avoue même

Au final, un petit classique du cinéma de genre italien qui enchantera les petits comme les grands.

Hollywood a produit près de deux cents films, tous genres confondus, souvent réalisés par des Noirs et dans lesquels Noires et Noirs tiennent le haut de l’affiche. Cela a même un nom : la « blaxploitation ». En revanche, cette dernière était naguère pétrie de fierté assumée, à rebours de l’actuelle pleurnicherie généralisée.

Ensemble, les huit nageurs et leurs deux entraîneurs, au fil de cocasses péripéties, accompliront l’impossible.

James Bond était Sean Connery, et vice versa.

Le film impressionnera surtout pour la composition de ses cadres (tournés au format 1.33) et pour ces séquences mémorables où les ouvriers de Carrare parviennent à extraire de la roche, puis à véhiculer, un « monstre » de marbre commandé par le maître.

Un garçon se lie d’amitié avec un braconnier du coin, Totoche, qui lui apprendra peu à peu à apprivoiser la nature.

À l’occasion de l’été, BV vous propose de redécouvrir les films que nous avions aimés lors de leur sortie au cinéma. Aujourd’hui, First Man, l’histoire

avec une allégresse tranquille et une brutalité souriante, elle démolit les poncifs prétendument progressistes de ce nouveau féminisme qui rêve de faire sexe à part…

Le film est à envisager d’abord comme une célébration des plaisirs de la vie…

Il s’agit là du plus grand hommage que des cinéastes puissent rendre à la peinture.

Avec une certaine grâce, Maura Delpero nous livre un beau film sur l’abnégation et sur la difficulté de tenir son rang.
Les cinéphiles auront sûrement de quoi se réjouir ; les amateurs d’Histoire peut-être un peu moins…
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