Cinéma

Un film qui rappelle innocemment que les maris savent parfois prendre leurs responsabilités.

Preuve vivante qu’Israël possède la bombe atomique !

Le réalisateur Marc Fitoussi plonge dans le drame bourgeois pour croquer avec ironie l’habitus de ceux qui s’affichent bien trop souvent en société comme les porte-étendard de la vertu, de la générosité et de l’ouverture sur le monde.

Distraire le public et promouvoir le patrimoine, l’histoire et la culture française, c’est l’objectif poursuivi par Saint Louis Studio.

Reste un beau film sur la paysannerie et sur les relations père-fils.

La réussite du film revient en partie à Ana Girardot, qui porte le récit sur ses épaules.

Ingrat, odieux, ridicule, Godard, par peur de rater le train de la modernité, achèvera de se déconnecter du peuple.

Là où le bât blesse, malgré tout, c’est que la lecture que font Delépine et Kervern du mouvement des gilets jaunes est erronée.
Une comédie inoffensive de Carine Tardieu soulignant la nécessité, pour chacun, de connaître son père biologique.

Puisse-il avoir rejoint Celui en qui il s’efforçait de croire. Nous ne doutons pas que Lui croyait en Michael.

La voix de Kaa veille toujours sur nous !

Le cinéma doit se soucier un minimum de représentation du peuple…

Les auteurs nous vendent le Tigre mais, au fond, Clemenceau n’est là que pour mettre en valeur Deschanel.

Un film malin, un film de terroir.

Cette croqueuse d’hommes, élevée par la reine, en 1994, à la distinction de « Dame Commander », n’avait pas exactement besoin de féministes énervées pour se faire respecter.

Le pari du film de Zabou Breitman et d’Eléa Gobbé-Mévellec repose sur le contraste entre la dureté de ce qui nous est ra
Le progressisme progresse chaque jour un peu plus dans le monde…

Affublé d’un titre dépourvu d’inspiration, Police ne brille pas non plus par la richesse de sa mise en scène.

Un régime de liberté conditionnelle qui sied mal à la notion de créativité !

J’ai bien réfléchi avec les copains et je me suis dit, tiens, si on racontait une nouvelle histoire aux grandes personnes et à leurs enfants pour leur changer un peu les idées ? On imaginerait une chasse au trésor…

Entretien exclusif avec cet « anar de droite » qui veut représenter le « beauf franchouillard » !

Un film d’une rare profondeur, à la mise en scène éloquente et humble à la fois. Les amoureux du thé et de la pensée orientale auraient tort de passer à côté.

L’hypersexualisation d’une grande part de la jeunesse issue de l’immigration, sous l’influence de l’imaginaire racaille et de la société de consommation, est un sujet majeur dans le phénomène de déculturation des masses.

Le film de Thierry de Peretti a pour intérêt de s’inspirer de personnages réels, tous abattus en 2001.

Kate Winslet et Leonardo DiCaprio ? Une énigme. Mais pourquoi, diantre, ce bipède tombe-t-il amoureux de cet autre bipède ?

Soulagé, enfin, que, par la grâce d’un semblable avertissement, ce film subversif ne soit pas poursuivi devant la justice pour discrimination et incitation à la haine gendarmesque…

Si l’on met de côté la toile de fond idéologique d’Enragé, les incohérences de son propos et sa violence un peu trop graphique et complaisante, il demeure un bon thriller psychologique de série B, soutenu et captivant, porté par une brochette d’acteurs au diapason.

La mise en scène du film, sobre et distanciée, et les talents d’actrice de Mariko Tsutsui dans le rôle de l’infirmière rattrapent le tout.

Un film qui rappelle innocemment que les maris savent parfois prendre leurs responsabilités.

Preuve vivante qu’Israël possède la bombe atomique !

Le réalisateur Marc Fitoussi plonge dans le drame bourgeois pour croquer avec ironie l’habitus de ceux qui s’affichent bien trop souvent en société comme les porte-étendard de la vertu, de la générosité et de l’ouverture sur le monde.

Distraire le public et promouvoir le patrimoine, l’histoire et la culture française, c’est l’objectif poursuivi par Saint Louis Studio.

Reste un beau film sur la paysannerie et sur les relations père-fils.

La réussite du film revient en partie à Ana Girardot, qui porte le récit sur ses épaules.

Ingrat, odieux, ridicule, Godard, par peur de rater le train de la modernité, achèvera de se déconnecter du peuple.

Là où le bât blesse, malgré tout, c’est que la lecture que font Delépine et Kervern du mouvement des gilets jaunes est erronée.
Une comédie inoffensive de Carine Tardieu soulignant la nécessité, pour chacun, de connaître son père biologique.

Puisse-il avoir rejoint Celui en qui il s’efforçait de croire. Nous ne doutons pas que Lui croyait en Michael.

La voix de Kaa veille toujours sur nous !

Le cinéma doit se soucier un minimum de représentation du peuple…

Les auteurs nous vendent le Tigre mais, au fond, Clemenceau n’est là que pour mettre en valeur Deschanel.

Un film malin, un film de terroir.

Cette croqueuse d’hommes, élevée par la reine, en 1994, à la distinction de « Dame Commander », n’avait pas exactement besoin de féministes énervées pour se faire respecter.

Le pari du film de Zabou Breitman et d’Eléa Gobbé-Mévellec repose sur le contraste entre la dureté de ce qui nous est ra
Le progressisme progresse chaque jour un peu plus dans le monde…

Affublé d’un titre dépourvu d’inspiration, Police ne brille pas non plus par la richesse de sa mise en scène.

Un régime de liberté conditionnelle qui sied mal à la notion de créativité !

J’ai bien réfléchi avec les copains et je me suis dit, tiens, si on racontait une nouvelle histoire aux grandes personnes et à leurs enfants pour leur changer un peu les idées ? On imaginerait une chasse au trésor…

Entretien exclusif avec cet « anar de droite » qui veut représenter le « beauf franchouillard » !

Un film d’une rare profondeur, à la mise en scène éloquente et humble à la fois. Les amoureux du thé et de la pensée orientale auraient tort de passer à côté.

L’hypersexualisation d’une grande part de la jeunesse issue de l’immigration, sous l’influence de l’imaginaire racaille et de la société de consommation, est un sujet majeur dans le phénomène de déculturation des masses.

Le film de Thierry de Peretti a pour intérêt de s’inspirer de personnages réels, tous abattus en 2001.

Kate Winslet et Leonardo DiCaprio ? Une énigme. Mais pourquoi, diantre, ce bipède tombe-t-il amoureux de cet autre bipède ?

Soulagé, enfin, que, par la grâce d’un semblable avertissement, ce film subversif ne soit pas poursuivi devant la justice pour discrimination et incitation à la haine gendarmesque…

Si l’on met de côté la toile de fond idéologique d’Enragé, les incohérences de son propos et sa violence un peu trop graphique et complaisante, il demeure un bon thriller psychologique de série B, soutenu et captivant, porté par une brochette d’acteurs au diapason.

La mise en scène du film, sobre et distanciée, et les talents d’actrice de Mariko Tsutsui dans le rôle de l’infirmière rattrapent le tout.
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