Cinéma
Une comédie inoffensive de Carine Tardieu soulignant la nécessité, pour chacun, de connaître son père biologique.
Puisse-il avoir rejoint Celui en qui il s’efforçait de croire. Nous ne doutons pas que Lui croyait en Michael.
La voix de Kaa veille toujours sur nous !
Le cinéma doit se soucier un minimum de représentation du peuple…
Les auteurs nous vendent le Tigre mais, au fond, Clemenceau n’est là que pour mettre en valeur Deschanel.
Un film malin, un film de terroir.
Cette croqueuse d’hommes, élevée par la reine, en 1994, à la distinction de « Dame Commander », n’avait pas exactement besoin de féministes énervées pour se faire respecter.
Le pari du film de Zabou Breitman et d’Eléa Gobbé-Mévellec repose sur le contraste entre la dureté de ce qui nous est ra
Le progressisme progresse chaque jour un peu plus dans le monde…
Affublé d’un titre dépourvu d’inspiration, Police ne brille pas non plus par la richesse de sa mise en scène.
Un régime de liberté conditionnelle qui sied mal à la notion de créativité !
J’ai bien réfléchi avec les copains et je me suis dit, tiens, si on racontait une nouvelle histoire aux grandes personnes et à leurs enfants pour leur changer un peu les idées ? On imaginerait une chasse au trésor…
Entretien exclusif avec cet « anar de droite » qui veut représenter le « beauf franchouillard » !
Un film d’une rare profondeur, à la mise en scène éloquente et humble à la fois. Les amoureux du thé et de la pensée orientale auraient tort de passer à côté.
L’hypersexualisation d’une grande part de la jeunesse issue de l’immigration, sous l’influence de l’imaginaire racaille et de la société de consommation, est un sujet majeur dans le phénomène de déculturation des masses.
Le film de Thierry de Peretti a pour intérêt de s’inspirer de personnages réels, tous abattus en 2001.
Kate Winslet et Leonardo DiCaprio ? Une énigme. Mais pourquoi, diantre, ce bipède tombe-t-il amoureux de cet autre bipède ?
Soulagé, enfin, que, par la grâce d’un semblable avertissement, ce film subversif ne soit pas poursuivi devant la justice pour discrimination et incitation à la haine gendarmesque…
Si l’on met de côté la toile de fond idéologique d’Enragé, les incohérences de son propos et sa violence un peu trop graphique et complaisante, il demeure un bon thriller psychologique de série B, soutenu et captivant, porté par une brochette d’acteurs au diapason.
La mise en scène du film, sobre et distanciée, et les talents d’actrice de Mariko Tsutsui dans le rôle de l’infirmière rattrapent le tout.
Olivia de Havilland, c’était une grande histoire d’amour avec la France, pays dans lequel elle posa ses valises dans les années 50.
On est donc dans une espèce de confusion mentale totale où évoquer l’activité d’un artiste serait validé par l’ensemble des opinions qu’il a émises en dehors de son activité d’artiste.
Les trente premières minutes du récit passent en revue les principaux arguments de la pensée royaliste !
Il est toujours désagréable d’admettre le talent d’un adversaire idéologique…
L’imbrication de la petite Histoire dans la grande est désormais un classique du cinéma et ne manque pas d’efficacité.
Un film anti-communautaire, qui exprime le malaise au sein de la société française mais qui n’apporte d’autre solution que le statu quo…
Exit l’outrance, exit la pleurniche féministe et son ressentiment…
Célébré de son vivant, il devrait l’être plus encore une fois venu le temps du repos éternel, comme souvent les très grands.
Une comédie inoffensive de Carine Tardieu soulignant la nécessité, pour chacun, de connaître son père biologique.
Puisse-il avoir rejoint Celui en qui il s’efforçait de croire. Nous ne doutons pas que Lui croyait en Michael.
La voix de Kaa veille toujours sur nous !
Le cinéma doit se soucier un minimum de représentation du peuple…
Les auteurs nous vendent le Tigre mais, au fond, Clemenceau n’est là que pour mettre en valeur Deschanel.
Un film malin, un film de terroir.
Cette croqueuse d’hommes, élevée par la reine, en 1994, à la distinction de « Dame Commander », n’avait pas exactement besoin de féministes énervées pour se faire respecter.
Le pari du film de Zabou Breitman et d’Eléa Gobbé-Mévellec repose sur le contraste entre la dureté de ce qui nous est ra
Le progressisme progresse chaque jour un peu plus dans le monde…
Affublé d’un titre dépourvu d’inspiration, Police ne brille pas non plus par la richesse de sa mise en scène.
Un régime de liberté conditionnelle qui sied mal à la notion de créativité !
J’ai bien réfléchi avec les copains et je me suis dit, tiens, si on racontait une nouvelle histoire aux grandes personnes et à leurs enfants pour leur changer un peu les idées ? On imaginerait une chasse au trésor…
Entretien exclusif avec cet « anar de droite » qui veut représenter le « beauf franchouillard » !
Un film d’une rare profondeur, à la mise en scène éloquente et humble à la fois. Les amoureux du thé et de la pensée orientale auraient tort de passer à côté.
L’hypersexualisation d’une grande part de la jeunesse issue de l’immigration, sous l’influence de l’imaginaire racaille et de la société de consommation, est un sujet majeur dans le phénomène de déculturation des masses.
Le film de Thierry de Peretti a pour intérêt de s’inspirer de personnages réels, tous abattus en 2001.
Kate Winslet et Leonardo DiCaprio ? Une énigme. Mais pourquoi, diantre, ce bipède tombe-t-il amoureux de cet autre bipède ?
Soulagé, enfin, que, par la grâce d’un semblable avertissement, ce film subversif ne soit pas poursuivi devant la justice pour discrimination et incitation à la haine gendarmesque…
Si l’on met de côté la toile de fond idéologique d’Enragé, les incohérences de son propos et sa violence un peu trop graphique et complaisante, il demeure un bon thriller psychologique de série B, soutenu et captivant, porté par une brochette d’acteurs au diapason.
La mise en scène du film, sobre et distanciée, et les talents d’actrice de Mariko Tsutsui dans le rôle de l’infirmière rattrapent le tout.
Olivia de Havilland, c’était une grande histoire d’amour avec la France, pays dans lequel elle posa ses valises dans les années 50.
On est donc dans une espèce de confusion mentale totale où évoquer l’activité d’un artiste serait validé par l’ensemble des opinions qu’il a émises en dehors de son activité d’artiste.
Les trente premières minutes du récit passent en revue les principaux arguments de la pensée royaliste !
Il est toujours désagréable d’admettre le talent d’un adversaire idéologique…
L’imbrication de la petite Histoire dans la grande est désormais un classique du cinéma et ne manque pas d’efficacité.
Un film anti-communautaire, qui exprime le malaise au sein de la société française mais qui n’apporte d’autre solution que le statu quo…
Exit l’outrance, exit la pleurniche féministe et son ressentiment…
Célébré de son vivant, il devrait l’être plus encore une fois venu le temps du repos éternel, comme souvent les très grands.
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