Cinéma
Le comédien livre une interprétation crédible et emporte notre adhésion.
L’histoire se déroule en Alsace à la veille des événements de mai 68, lorsque le personnel enseignant d’une école ménagère accueille ses nouvelles pensionnaires.
Un film où passion, retenue, honneur, courage, élégance et fraternité sont mis en avant
Les salles de cinéma enfin rouvertes, nous avons décidé, aujourd’hui, de célébrer la chose par la recension d’un film historique de la talentueuse Agnieszka Holland…
Le spectateur passe un bon moment et c’est l’essentiel.
On sort de la salle avec l’envie de revoir le film pour mieux en analyser toutes les subtilités.
Le film suit la trajectoire de Nicola, un jeune Napolitain des quartiers pauvres dont la mère commerçante subit régulièrement le racket des bandes organisées…
Des petits malins ont eu l’idée, un peu partout sur le territoire, de jouer la carte de la nostalgie en organisant des séances de ciné-parc.
Avec la mort de Michel Piccoli, à 94 ans, c’est véritablement la fin d’un certain cinéma français.
Un film discutable mais à voir tout de même.
Il témoigne d’une Europe qui n’a pas totalement abandonné sa foi chrétienne face aux injonctions de la modernité
L’actualité cinématographique remet en avant cette figure de l’Histoire de France. Qui était-elle ?
Touche-à-tout, journaliste et poète à sa façon.
Des lycéens se voient refuser l’accès au bac pour avoir rendu hommage aux victimes de Budapest.
Un film résolument réactionnaire qui désavoue l’anti-héros sans foi ni loi.
Le Vent de la liberté, un film populaire et plaisant à suivre, original, qui nous raconte un bout d’Histoire
Nous sommes tous des Louis de Funès.
France 2, bouleversant son programme, se propose d’égayer ces temps difficiles en diffusant de grands films du patrimoine français, juste après le journal de 13 heures.
Pour le reste, et à lire les extraits dévoilés dans la presse, que ressort-il de ce livre ? Rien que de très banal, finalement. De tristes histoires de famille, comme il y en a tant de par le vaste monde…
Son dernier rôle marquant ? Celui de Madame Pivert, dentiste passablement survoltée et épouse de Louis de Funès, dans Les Aventures de Rabbi Jacob, de Gérard Oury.
Un film émouvant, bien construit et qui ne donne pas exagérément dans les poncifs d’aujourd’hui sur cette époque.
Un joli pied de nez à certaines idées reçues…
À croire que la foi n’a droit de cité qu’à condition de prendre ses distances avec l’institution religieuse…
Il est gros et laid, donc « he has no sex ». Du reste, il vit avec sa mère. En plus, il s’appelle Bijou (Jewell) !
Personne n’est obligé d’aller voir les films de Woody Allen ni de lire ses mémoires, mais il est honteux de vouloir les interdire.
Ce soir-là, à l’ombre des ors rutilants du cinéma français et au pied de l’échafaud où finissait de rouler la tête d’un grand cinéaste et peut-être grand salaud, la toute grande classe a fini par trouver son parangon.
Avec Le Fils d’un roi, disponible dès à présent en DVD, la réalisatrice se penche enfin sur la pièce maîtresse qui sous-tend ses idées politiques et sans laquelle la France, depuis deux cents ans, n’est plus tout à fait la France : la monarchie.
Interrogé, à la fin de l’entretien, sur l’attribution du César du meilleur réalisateur à Roman Polanski, Jean-Michel Blanquer a osé prendre une position en rupture avec la bien-pensance et recadrer, au passage, Frank Riester.
Le comédien livre une interprétation crédible et emporte notre adhésion.
L’histoire se déroule en Alsace à la veille des événements de mai 68, lorsque le personnel enseignant d’une école ménagère accueille ses nouvelles pensionnaires.
Un film où passion, retenue, honneur, courage, élégance et fraternité sont mis en avant
Les salles de cinéma enfin rouvertes, nous avons décidé, aujourd’hui, de célébrer la chose par la recension d’un film historique de la talentueuse Agnieszka Holland…
Le spectateur passe un bon moment et c’est l’essentiel.
On sort de la salle avec l’envie de revoir le film pour mieux en analyser toutes les subtilités.
Le film suit la trajectoire de Nicola, un jeune Napolitain des quartiers pauvres dont la mère commerçante subit régulièrement le racket des bandes organisées…
Des petits malins ont eu l’idée, un peu partout sur le territoire, de jouer la carte de la nostalgie en organisant des séances de ciné-parc.
Avec la mort de Michel Piccoli, à 94 ans, c’est véritablement la fin d’un certain cinéma français.
Un film discutable mais à voir tout de même.
Il témoigne d’une Europe qui n’a pas totalement abandonné sa foi chrétienne face aux injonctions de la modernité
L’actualité cinématographique remet en avant cette figure de l’Histoire de France. Qui était-elle ?
Touche-à-tout, journaliste et poète à sa façon.
Des lycéens se voient refuser l’accès au bac pour avoir rendu hommage aux victimes de Budapest.
Un film résolument réactionnaire qui désavoue l’anti-héros sans foi ni loi.
Le Vent de la liberté, un film populaire et plaisant à suivre, original, qui nous raconte un bout d’Histoire
Nous sommes tous des Louis de Funès.
France 2, bouleversant son programme, se propose d’égayer ces temps difficiles en diffusant de grands films du patrimoine français, juste après le journal de 13 heures.
Pour le reste, et à lire les extraits dévoilés dans la presse, que ressort-il de ce livre ? Rien que de très banal, finalement. De tristes histoires de famille, comme il y en a tant de par le vaste monde…
Son dernier rôle marquant ? Celui de Madame Pivert, dentiste passablement survoltée et épouse de Louis de Funès, dans Les Aventures de Rabbi Jacob, de Gérard Oury.
Un film émouvant, bien construit et qui ne donne pas exagérément dans les poncifs d’aujourd’hui sur cette époque.
Un joli pied de nez à certaines idées reçues…
À croire que la foi n’a droit de cité qu’à condition de prendre ses distances avec l’institution religieuse…
Il est gros et laid, donc « he has no sex ». Du reste, il vit avec sa mère. En plus, il s’appelle Bijou (Jewell) !
Personne n’est obligé d’aller voir les films de Woody Allen ni de lire ses mémoires, mais il est honteux de vouloir les interdire.
Ce soir-là, à l’ombre des ors rutilants du cinéma français et au pied de l’échafaud où finissait de rouler la tête d’un grand cinéaste et peut-être grand salaud, la toute grande classe a fini par trouver son parangon.
Avec Le Fils d’un roi, disponible dès à présent en DVD, la réalisatrice se penche enfin sur la pièce maîtresse qui sous-tend ses idées politiques et sans laquelle la France, depuis deux cents ans, n’est plus tout à fait la France : la monarchie.
Interrogé, à la fin de l’entretien, sur l’attribution du César du meilleur réalisateur à Roman Polanski, Jean-Michel Blanquer a osé prendre une position en rupture avec la bien-pensance et recadrer, au passage, Frank Riester.
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