Cinéma

Un film émouvant, bien construit et qui ne donne pas exagérément dans les poncifs d’aujourd’hui sur cette époque.

Un joli pied de nez à certaines idées reçues…

À croire que la foi n’a droit de cité qu’à condition de prendre ses distances avec l’institution religieuse…

Il est gros et laid, donc « he has no sex ». Du reste, il vit avec sa mère. En plus, il s’appelle Bijou (Jewell) !

Personne n’est obligé d’aller voir les films de Woody Allen ni de lire ses mémoires, mais il est honteux de vouloir les interdire.

Ce soir-là, à l’ombre des ors rutilants du cinéma français et au pied de l’échafaud où finissait de rouler la tête d’un grand cinéaste et peut-être grand salaud, la toute grande classe a fini par trouver son parangon.

Avec Le Fils d’un roi, disponible dès à présent en DVD, la réalisatrice se penche enfin sur la pièce maîtresse qui sous-tend ses idées politiques et sans laquelle la France, depuis deux cents ans, n’est plus tout à fait la France : la monarchie.

Interrogé, à la fin de l’entretien, sur l’attribution du César du meilleur réalisateur à Roman Polanski, Jean-Michel Blanquer a osé prendre une position en rupture avec la bien-pensance et recadrer, au passage, Frank Riester.

Dès son monologue de début de soirée, Florence Foresti le confesse à son public : « Je suis très courageuse d’être là. »

Tout cela a accouché dans la douleur, façon césarienne.

La véritable cible de François Ozon n’est pas le père Preynat mais son supérieur, le cardinal Barbarin.

Ladj Ly, cet ancien condamné pour des faits graves, a trouvé la réinsertion la plus chic qui soit : un César. Pourquoi pas ?

Ah bon ? Omar Sy, acteur préféré des Français, serait donc blanc ?

Clint Eastwood réitère son éloge de l’héroïsme et pointe les failles d’une institution nationale sans pour autant renier son patriotisme.

Bernard-Henri Lévy a l’habitude de voir ses films quitter l’affiche avant même que la colle n’ait fini de sécher.

James Bond est aujourd’hui une sorte de pithécanthrope, même si assagi depuis quelques décennies…

En attente de son procès depuis deux ans, Lise est accusée d’avoir assassiné sa meilleure amie de lycée…

Rien n’est plus détestable que le corporatisme, cet enfermement sur soi pour interdire l’irruption d’intrus et vous donner à bon compte l’impression d’un savoir irrécusable.

Comme il est surprenant de voir débarquer sur les écrans, à un mois des élections municipales, un documentaire sur le FN tourné trois ans auparavant…

Abdel Raouf Dafri, scénariste de Mesrine, Un prophète et Braquo, réalise son premier film, Qu’un sang impur, sur la guerre d’Algérie. Il a accordé un

Assez logiquement, Gérard Depardieu ne faisait pas partie des invités à ce joyeux festin, pas plus à la carte qu’au menu. Le saint homme que voilà.

Hollywood en rabattrait-il donc sur ses dingueries passées ?

L’acteur américain Kirk Douglas vient de s’éteindre à l’âge de 103 ans. Au micro de Boulevard Voltaire, Laurent Dandrieu évoque cette véritable légende du cinéma

Avec la mort de Kirk Douglas, le 5 février 2020, s’en va le dernier des géants d’Hollywood…

Le résultat final est une vaste bouffonnade dans laquelle le cinéaste tient à tout prix à faire cohabiter en chacun, quel que soit son bord, le bien et le mal, la morale et la torture, la bonté et le sadisme, avec l’air de ne jamais prendre parti…

On ne peut que saluer le travail de l’acteur qui parvient modestement à s’effacer derrière ce personnage rustaud.

Un militaire peut-il vraiment agir en héros en faisant l’impasse sur tout sentiment patriotique ? La réponse affirmative apportée par Sam Mendes pointe les limites du film…

Il y a une sorte de dinguerie chez nos meilleurs ennemis britanniques…

Un film émouvant, bien construit et qui ne donne pas exagérément dans les poncifs d’aujourd’hui sur cette époque.

Un joli pied de nez à certaines idées reçues…

À croire que la foi n’a droit de cité qu’à condition de prendre ses distances avec l’institution religieuse…

Il est gros et laid, donc « he has no sex ». Du reste, il vit avec sa mère. En plus, il s’appelle Bijou (Jewell) !

Personne n’est obligé d’aller voir les films de Woody Allen ni de lire ses mémoires, mais il est honteux de vouloir les interdire.

Ce soir-là, à l’ombre des ors rutilants du cinéma français et au pied de l’échafaud où finissait de rouler la tête d’un grand cinéaste et peut-être grand salaud, la toute grande classe a fini par trouver son parangon.

Avec Le Fils d’un roi, disponible dès à présent en DVD, la réalisatrice se penche enfin sur la pièce maîtresse qui sous-tend ses idées politiques et sans laquelle la France, depuis deux cents ans, n’est plus tout à fait la France : la monarchie.

Interrogé, à la fin de l’entretien, sur l’attribution du César du meilleur réalisateur à Roman Polanski, Jean-Michel Blanquer a osé prendre une position en rupture avec la bien-pensance et recadrer, au passage, Frank Riester.

Dès son monologue de début de soirée, Florence Foresti le confesse à son public : « Je suis très courageuse d’être là. »

Tout cela a accouché dans la douleur, façon césarienne.

La véritable cible de François Ozon n’est pas le père Preynat mais son supérieur, le cardinal Barbarin.

Ladj Ly, cet ancien condamné pour des faits graves, a trouvé la réinsertion la plus chic qui soit : un César. Pourquoi pas ?

Ah bon ? Omar Sy, acteur préféré des Français, serait donc blanc ?

Clint Eastwood réitère son éloge de l’héroïsme et pointe les failles d’une institution nationale sans pour autant renier son patriotisme.

Bernard-Henri Lévy a l’habitude de voir ses films quitter l’affiche avant même que la colle n’ait fini de sécher.

James Bond est aujourd’hui une sorte de pithécanthrope, même si assagi depuis quelques décennies…

En attente de son procès depuis deux ans, Lise est accusée d’avoir assassiné sa meilleure amie de lycée…

Rien n’est plus détestable que le corporatisme, cet enfermement sur soi pour interdire l’irruption d’intrus et vous donner à bon compte l’impression d’un savoir irrécusable.

Comme il est surprenant de voir débarquer sur les écrans, à un mois des élections municipales, un documentaire sur le FN tourné trois ans auparavant…

Abdel Raouf Dafri, scénariste de Mesrine, Un prophète et Braquo, réalise son premier film, Qu’un sang impur, sur la guerre d’Algérie. Il a accordé un

Assez logiquement, Gérard Depardieu ne faisait pas partie des invités à ce joyeux festin, pas plus à la carte qu’au menu. Le saint homme que voilà.

Hollywood en rabattrait-il donc sur ses dingueries passées ?

L’acteur américain Kirk Douglas vient de s’éteindre à l’âge de 103 ans. Au micro de Boulevard Voltaire, Laurent Dandrieu évoque cette véritable légende du cinéma

Avec la mort de Kirk Douglas, le 5 février 2020, s’en va le dernier des géants d’Hollywood…

Le résultat final est une vaste bouffonnade dans laquelle le cinéaste tient à tout prix à faire cohabiter en chacun, quel que soit son bord, le bien et le mal, la morale et la torture, la bonté et le sadisme, avec l’air de ne jamais prendre parti…

On ne peut que saluer le travail de l’acteur qui parvient modestement à s’effacer derrière ce personnage rustaud.

Un militaire peut-il vraiment agir en héros en faisant l’impasse sur tout sentiment patriotique ? La réponse affirmative apportée par Sam Mendes pointe les limites du film…

Il y a une sorte de dinguerie chez nos meilleurs ennemis britanniques…
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