Cinéma

Loin de célébrer le « parler-cash », ou le « toute vérité doit être dite » au nom de la lutte contre « les hypocrisies », L’Adieu fait avec finesse et humour l’éloge du mensonge pieux…

Spike Lee président du jury pour sa filmographie, oui, bien sûr. Mais Spike Lee président du jury parce qu’il est noir, non !

Sébastien Marnier nous livre une œuvre très particulière, à l’ambiance provinciale et à la chaleur moite…

On sort du dernier Terrence Malick bouleversé.

Célèbre roman féminin paru en deux volumes entre 1868 et 1869, Little Women, de Louisa May Alcott, en est aujourd’hui à sa cinquième adaptation au

Ce week-end, c’était la grand-messe des Golden Globes, un apéritif avant le plat de consistance, les Oscars…

De nos jours, souhaiter un « Joyeux Noël » étant devenu un acte de résistance, viendra celui où décliner son hétérosexualité vaudra le maquis.

Symbole d’espoir pour marins en perdition, ou bien cap de moralité à suivre pour ne point se laisser charmer par de perfides sirènes aux voix

Dans la version projetée l’autre soir sur CBC, pas de Donald Trump !

Dans l’entreprise révisionnisto-moralisatrice qui caractérise notre temps, il est apparu, l’an passé, que Mary Poppins était raciste.

Un nouveau thriller qui prend pour cadre les terres enneigées du Causse comme la chaleur étouffante de Côte d’Ivoire.

Pauvres de nous, donc, avec notre pluriel médiocre et nos combinaisons d’épiciers…

Le metteur en scène franco-polonais qu’on sait, assez malmené par les médias depuis des décennies, serait-il devenu, à son corps défendant, symbole d’une époque révolue et figure emblématique – expiatoire, voire – de celle en train d’advenir ?

À voir pour la prestation de Karin Viard et de Leïla Bekhti.

Rares sont les événements culturels à pouvoir réunir les classes moyennes supérieures métropolitaines et les populations des cités. Les victoires de Coupe du monde de

Douce France… Doux Ladj Ly…

L’exercice est insuffisant. Heureusement, les acteurs sauvent l’ensemble.

Demain, peut-être, le courageux reporter s’envolera vers la Lune à bord d’une fusée photovoltaïque qui respectera le bilan carbone…

Résolument dépassionné, évitant sciemment tout lyrisme, le film de Roman Polanski captive d’un bout à l’autre du récit et fait preuve, comme à l’accoutumée, d’un sens du cadre peu commun.

Aujourd’hui, c’est la pression qui paye, la censure brute et brutale. Pas de temps pour la réflexion, encore moins pour la justice. Juste l’impulsion.

Un film maîtrisé, rugueux, documenté et sobrement interprété, qui ne cède rien au cynisme gratuit ni à la complaisance, un peu à l’image de ces grands polars italiens des années 70.

Le Franco-Grec Costa-Gavras qui, arrivé au bout de l’alphabet, renoue avec le cinéma militant… subventionné !

Ne cherchez pas, dans le dernier long-métrage de Nicolas Pariser, les recettes du cinéma hollywoodien…

Un film à voir en famille.

Ce succès au box-office est aussi un cri d’angoisse. Et de révolte. Un de plus.

Qui peut décemment faire confiance à un Superman tellement nigaud qu’il enfile son slip par-dessus son pantalon ?

Puis, il y a le gauchisme ambiant, ce qui explique qu’il faille attendre 1992 pour avoir le Diên Biên Phu, de Pierre Schoendoerffer…

Dans la parfaite lignée du feuilleton, le film joue habilement entre le drame et l’humour, soigne ses dialogues, réserve à chaque personnage son moment de gloire et instille par petites touches quelques idées qui ne plairont pas aux esprits sectaires…

Loin de célébrer le « parler-cash », ou le « toute vérité doit être dite » au nom de la lutte contre « les hypocrisies », L’Adieu fait avec finesse et humour l’éloge du mensonge pieux…

Spike Lee président du jury pour sa filmographie, oui, bien sûr. Mais Spike Lee président du jury parce qu’il est noir, non !

Sébastien Marnier nous livre une œuvre très particulière, à l’ambiance provinciale et à la chaleur moite…

On sort du dernier Terrence Malick bouleversé.

Célèbre roman féminin paru en deux volumes entre 1868 et 1869, Little Women, de Louisa May Alcott, en est aujourd’hui à sa cinquième adaptation au

Ce week-end, c’était la grand-messe des Golden Globes, un apéritif avant le plat de consistance, les Oscars…

De nos jours, souhaiter un « Joyeux Noël » étant devenu un acte de résistance, viendra celui où décliner son hétérosexualité vaudra le maquis.

Symbole d’espoir pour marins en perdition, ou bien cap de moralité à suivre pour ne point se laisser charmer par de perfides sirènes aux voix

Dans la version projetée l’autre soir sur CBC, pas de Donald Trump !

Dans l’entreprise révisionnisto-moralisatrice qui caractérise notre temps, il est apparu, l’an passé, que Mary Poppins était raciste.

Un nouveau thriller qui prend pour cadre les terres enneigées du Causse comme la chaleur étouffante de Côte d’Ivoire.

Pauvres de nous, donc, avec notre pluriel médiocre et nos combinaisons d’épiciers…

Le metteur en scène franco-polonais qu’on sait, assez malmené par les médias depuis des décennies, serait-il devenu, à son corps défendant, symbole d’une époque révolue et figure emblématique – expiatoire, voire – de celle en train d’advenir ?

À voir pour la prestation de Karin Viard et de Leïla Bekhti.

Rares sont les événements culturels à pouvoir réunir les classes moyennes supérieures métropolitaines et les populations des cités. Les victoires de Coupe du monde de

Douce France… Doux Ladj Ly…

L’exercice est insuffisant. Heureusement, les acteurs sauvent l’ensemble.

Demain, peut-être, le courageux reporter s’envolera vers la Lune à bord d’une fusée photovoltaïque qui respectera le bilan carbone…

Résolument dépassionné, évitant sciemment tout lyrisme, le film de Roman Polanski captive d’un bout à l’autre du récit et fait preuve, comme à l’accoutumée, d’un sens du cadre peu commun.

Aujourd’hui, c’est la pression qui paye, la censure brute et brutale. Pas de temps pour la réflexion, encore moins pour la justice. Juste l’impulsion.

Un film maîtrisé, rugueux, documenté et sobrement interprété, qui ne cède rien au cynisme gratuit ni à la complaisance, un peu à l’image de ces grands polars italiens des années 70.

Le Franco-Grec Costa-Gavras qui, arrivé au bout de l’alphabet, renoue avec le cinéma militant… subventionné !

Ne cherchez pas, dans le dernier long-métrage de Nicolas Pariser, les recettes du cinéma hollywoodien…

Un film à voir en famille.

Ce succès au box-office est aussi un cri d’angoisse. Et de révolte. Un de plus.

Qui peut décemment faire confiance à un Superman tellement nigaud qu’il enfile son slip par-dessus son pantalon ?

Puis, il y a le gauchisme ambiant, ce qui explique qu’il faille attendre 1992 pour avoir le Diên Biên Phu, de Pierre Schoendoerffer…

Dans la parfaite lignée du feuilleton, le film joue habilement entre le drame et l’humour, soigne ses dialogues, réserve à chaque personnage son moment de gloire et instille par petites touches quelques idées qui ne plairont pas aux esprits sectaires…
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