Cinéma
« Ce n’est que dans les tribunaux que la Justice se rend », et pas dans les salles de cinéma, clame l’avocat du père Bernard Preynat.
Le film My Beautiful Boy, d’un réalisateur d’origine belge, se déroule aux USA. Il relate la descente dans l’enfer des drogues du jeune Nicolas Steff
Antoine Raimbault nous propose une réécriture habile et inattendue du procès en appel de Jacques Viguier.
Pour une fois, un réalisateur français semble avoir compris, à l’instar de ce qui se fait depuis des décennies outre-Atlantique, l’importance de filmer l’héroïsme national.
Avec Salafistes, François Margolin et Lemine Ould Mohamed Salem ont au moins le mérite, aujourd’hui, de proposer un film lucide quant à la nature du danger islamiste…
Non content de vider une figure historique et littéraire de son intérêt, le cinéaste entreprend un véritable détournement biographique à des fins militantes pour le moins douteuses et anachroniques.
Ici, tout sonne faux, du casting au récit…
Les journalistes bien élevés et rompus aux arts du métier savent que Catherine Deneuve répugne à répondre aux questions relatives à sa vie privée. C’est son droit et son honneur.
Tandis que les journalistes de tous bords font du zèle à dénoncer la pédophilie au sein de l’Église – alors même que le taux de
Bohemian Rhapsody sent le film de commande à plein nez, calibré selon un cahier des charges.
« Il faut à la fois sauver le monde et ne pas arriver en retard au rendez-vous fixé avec sa fiancée. Que feriez-vous, à sa place ? »
Francis Lai participait donc de cette glorieuse filiation grâce à laquelle des musiciens d’exception ont fait rayonner une indubitable forme de génie français.
L’acquisition de ces films, à la fois hors du commun, vraiment pas chers et qui donnent à penser, ne pourra faire que le bonheur des cinéphiles éclairés…
En 2018, un pareil film ferait presque figure d’anomalie. Une comédie pétillante et intelligente, sans vulgarité ni pathos.
Si l’homme était italien, c’est dans un film éminemment français, Les Tontons flingueurs, qu’il aura à jamais marqué les mémoires.
Pierre Schoeller, en bon jacobin, réduit le peuple français à une poignée de Parisiens des faubourgs excités par les discours grandiloquents de la Convention.
Ces immenses artistes, aujourd’hui donnés pour Français emblématiques, ne l’étaient pas à la naissance.
« Aujourd’hui, je le dis : je m’appelle Hapsatou Nyssen. »
Un film de combat qui voit triompher les valeurs de loyauté, d’empathie, de bienveillance, et s’achève magnifiquement dans le don de soi.
En attendant, l’œuvre de Dario Argento n’en finit plus d’être rééditée…
Jean Piat, c’était une certaine idée de la France !
Le mardi 14 septembre 1982, il y a 36 ans jour pour jour, un voile de deuil recouvrait la riante et prospère principauté de Monaco.
Un romantisme magnifiquement porté par le lyrisme de la bande originale, la grandiloquence des dialogues…
À gauche, Gian Maria Volonté, professeur humaniste tout imprégné de culture progressiste. À droite, Tomás Milián, petit voyou de grand chemin.
Cette œuvre hors du commun, longtemps ignorée ou méprisée, a commencé à être remise à l’honneur il y a plus de dix ans.
À voir sans modération aucune, donc, sachant que ceux qui se moquent le mieux de la France sont généralement ceux qui la détestent le moins.
Michel Bouquet, 92 ans, élevé à la dignité de grand-croix de la Légion d’honneur.
Je fais preuve de partialité dans ces personnalités choisies par le gouvernement ? Mais le gouvernement se montre-t-il systématiquement impartial en retenant ses futurs décorés ?
« Ce n’est que dans les tribunaux que la Justice se rend », et pas dans les salles de cinéma, clame l’avocat du père Bernard Preynat.
Le film My Beautiful Boy, d’un réalisateur d’origine belge, se déroule aux USA. Il relate la descente dans l’enfer des drogues du jeune Nicolas Steff
Antoine Raimbault nous propose une réécriture habile et inattendue du procès en appel de Jacques Viguier.
Pour une fois, un réalisateur français semble avoir compris, à l’instar de ce qui se fait depuis des décennies outre-Atlantique, l’importance de filmer l’héroïsme national.
Avec Salafistes, François Margolin et Lemine Ould Mohamed Salem ont au moins le mérite, aujourd’hui, de proposer un film lucide quant à la nature du danger islamiste…
Non content de vider une figure historique et littéraire de son intérêt, le cinéaste entreprend un véritable détournement biographique à des fins militantes pour le moins douteuses et anachroniques.
Ici, tout sonne faux, du casting au récit…
Les journalistes bien élevés et rompus aux arts du métier savent que Catherine Deneuve répugne à répondre aux questions relatives à sa vie privée. C’est son droit et son honneur.
Tandis que les journalistes de tous bords font du zèle à dénoncer la pédophilie au sein de l’Église – alors même que le taux de
Bohemian Rhapsody sent le film de commande à plein nez, calibré selon un cahier des charges.
« Il faut à la fois sauver le monde et ne pas arriver en retard au rendez-vous fixé avec sa fiancée. Que feriez-vous, à sa place ? »
Francis Lai participait donc de cette glorieuse filiation grâce à laquelle des musiciens d’exception ont fait rayonner une indubitable forme de génie français.
L’acquisition de ces films, à la fois hors du commun, vraiment pas chers et qui donnent à penser, ne pourra faire que le bonheur des cinéphiles éclairés…
En 2018, un pareil film ferait presque figure d’anomalie. Une comédie pétillante et intelligente, sans vulgarité ni pathos.
Si l’homme était italien, c’est dans un film éminemment français, Les Tontons flingueurs, qu’il aura à jamais marqué les mémoires.
Pierre Schoeller, en bon jacobin, réduit le peuple français à une poignée de Parisiens des faubourgs excités par les discours grandiloquents de la Convention.
Ces immenses artistes, aujourd’hui donnés pour Français emblématiques, ne l’étaient pas à la naissance.
« Aujourd’hui, je le dis : je m’appelle Hapsatou Nyssen. »
Un film de combat qui voit triompher les valeurs de loyauté, d’empathie, de bienveillance, et s’achève magnifiquement dans le don de soi.
En attendant, l’œuvre de Dario Argento n’en finit plus d’être rééditée…
Jean Piat, c’était une certaine idée de la France !
Le mardi 14 septembre 1982, il y a 36 ans jour pour jour, un voile de deuil recouvrait la riante et prospère principauté de Monaco.
Un romantisme magnifiquement porté par le lyrisme de la bande originale, la grandiloquence des dialogues…
À gauche, Gian Maria Volonté, professeur humaniste tout imprégné de culture progressiste. À droite, Tomás Milián, petit voyou de grand chemin.
Cette œuvre hors du commun, longtemps ignorée ou méprisée, a commencé à être remise à l’honneur il y a plus de dix ans.
À voir sans modération aucune, donc, sachant que ceux qui se moquent le mieux de la France sont généralement ceux qui la détestent le moins.
Michel Bouquet, 92 ans, élevé à la dignité de grand-croix de la Légion d’honneur.
Je fais preuve de partialité dans ces personnalités choisies par le gouvernement ? Mais le gouvernement se montre-t-il systématiquement impartial en retenant ses futurs décorés ?
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