Cinéma
L’Histoire abonde de femmes ayant aimé jusqu’au déshonneur ou la mort des bandits et des assassins.
Georges Brassens, dont l’œil s’égarait parfois en direction des jupons des filles et qui prenait lui aussi quelques privautés avec les pieds et les vers (toujours galants), aurait sûrement adoré.
Goldorak est né hors-sol. Il est de partout, donc de nulle part.
Nous vivons dans un pays qui marche sur la tête, ou plutôt dans un pays où ceux qui sont à sa tête marchent sur les nôtres…
L’évasion spectaculaire de Redoine Faïd en hélicoptère de la prison de Réau, dimanche dernier, occupe l’espace médiatique. Ce braqueur multirécidiviste, condamné à de multiples reprises
Tout est bon pour culpabiliser les peuples européens…
Bruno Podalydès y met pourtant en scène une Bécassine pleine de charme et évite les clichés d’antagonisme de classe ou de dichotomie Paris/Province.
Et le voilà qui tourne de plateau en studio, s’invite dans les rédactions, pose pour les photographes. À les en croire tous, Faïd est devenu un charmant jeune homme, presque un gendre idéal pour belle-mère en mal de frissons.
Mon Dieu, comment est-ce possible ? Mais il y a mieux encore : il paraît que le prince héritier va maintenant s’attaquer au harcèlement sexuel.
Les politiques sont comme les acteurs de cinéma : ils doivent envoyer du rêve. Et force est de constater que les dernières productions, à droite, sont plutôt des navets.
Laure, 23 ans, jeune fille issue de la bourgeoisie parisienne bien-pensante et « Charlie », décide du jour au lendemain de rejoindre la Marine nationale.
C’est la pyramide de Ponzi, façon subprime sur grand écran, qui serait à deux doigts de s’écrouler, pour peu qu’un film de ce genre ne rentre pas dans ses frais.
Très loin des grands discours et des grandes théories, des luttes engagées et des ayatollahs du politiquement correct, ce film est à ne pas manquer.
On s’inquiète aussi chez nous d’une possible contagion des barbus moralisateurs. Et s’il faut fermer toutes les salles où l’on projette des films licencieux, il ne va pas rester grand-chose d’ouvert…
En 1991, Michel Houellebecq publiait aux éditions de la Différence un court essai intitulé Rester vivant, sorte de manuel de survie à l’usage des solitaires, introvertis et dépressifs en tous genres, victimes collatérales de la postmodernité, comme des rapports humains en règle générale.
Un cauchemar, une caricature. Dans quelque temps on exigera que le public soit composé à parité de femmes et d’hommes.
Stéphane Bern, OBE, s’extasiera sur la capacité de la monarchie britannique à épouser – le mot est de circonstance – notre époque.
La classe.
Cédric Herrou, l’agriculteur engagé, qui, après les marches du palais de justice, gravira celles du palais des Festivals.
En d’autres termes, the show must go on…
Devant la 23e chambre correctionnelle, le profil de ces activistes était édifiant. Aucun n’était en rupture avec la société. Une jeunesse issue de milieu sociaux privilégiés.
C’est devenu très clair : l’aigle américain après avoir colonisé l’Europe, veut la peau du vieil ours russe.
Il est vrai que de ces deux côtés de l’Atlantique, le culte des victimes a peu à peu supplanté celui des héros.
Soit certains journalistes parisiens vivent sur une autre planète, soit ils nous prennent vraiment pour des imbéciles.
Le fameux « logeur de Daech », vient de faire son grand retour sous les feux de la rampe ; enfin, ceux du tribunal de Bobigny,
Il va sans dire que les “professeurs” dispensateurs de ces cours mirobolants sont des personnalités très marquées à gauche.
Un film-hommage à la Légion, et plus largement à l’abnégation des soldats et à l’esprit de discipline et de camaraderie qui règnent au sein de l’armée.
Il faut former des enseignants au franglais : avis aux syndicats et aux huiles du ministère. Non plus la langue de Shakespeare, mais celle de Zuckerberg.
L’Histoire abonde de femmes ayant aimé jusqu’au déshonneur ou la mort des bandits et des assassins.
Georges Brassens, dont l’œil s’égarait parfois en direction des jupons des filles et qui prenait lui aussi quelques privautés avec les pieds et les vers (toujours galants), aurait sûrement adoré.
Goldorak est né hors-sol. Il est de partout, donc de nulle part.
Nous vivons dans un pays qui marche sur la tête, ou plutôt dans un pays où ceux qui sont à sa tête marchent sur les nôtres…
L’évasion spectaculaire de Redoine Faïd en hélicoptère de la prison de Réau, dimanche dernier, occupe l’espace médiatique. Ce braqueur multirécidiviste, condamné à de multiples reprises
Tout est bon pour culpabiliser les peuples européens…
Bruno Podalydès y met pourtant en scène une Bécassine pleine de charme et évite les clichés d’antagonisme de classe ou de dichotomie Paris/Province.
Et le voilà qui tourne de plateau en studio, s’invite dans les rédactions, pose pour les photographes. À les en croire tous, Faïd est devenu un charmant jeune homme, presque un gendre idéal pour belle-mère en mal de frissons.
Mon Dieu, comment est-ce possible ? Mais il y a mieux encore : il paraît que le prince héritier va maintenant s’attaquer au harcèlement sexuel.
Les politiques sont comme les acteurs de cinéma : ils doivent envoyer du rêve. Et force est de constater que les dernières productions, à droite, sont plutôt des navets.
Laure, 23 ans, jeune fille issue de la bourgeoisie parisienne bien-pensante et « Charlie », décide du jour au lendemain de rejoindre la Marine nationale.
C’est la pyramide de Ponzi, façon subprime sur grand écran, qui serait à deux doigts de s’écrouler, pour peu qu’un film de ce genre ne rentre pas dans ses frais.
Très loin des grands discours et des grandes théories, des luttes engagées et des ayatollahs du politiquement correct, ce film est à ne pas manquer.
On s’inquiète aussi chez nous d’une possible contagion des barbus moralisateurs. Et s’il faut fermer toutes les salles où l’on projette des films licencieux, il ne va pas rester grand-chose d’ouvert…
En 1991, Michel Houellebecq publiait aux éditions de la Différence un court essai intitulé Rester vivant, sorte de manuel de survie à l’usage des solitaires, introvertis et dépressifs en tous genres, victimes collatérales de la postmodernité, comme des rapports humains en règle générale.
Un cauchemar, une caricature. Dans quelque temps on exigera que le public soit composé à parité de femmes et d’hommes.
Stéphane Bern, OBE, s’extasiera sur la capacité de la monarchie britannique à épouser – le mot est de circonstance – notre époque.
La classe.
Cédric Herrou, l’agriculteur engagé, qui, après les marches du palais de justice, gravira celles du palais des Festivals.
En d’autres termes, the show must go on…
Devant la 23e chambre correctionnelle, le profil de ces activistes était édifiant. Aucun n’était en rupture avec la société. Une jeunesse issue de milieu sociaux privilégiés.
C’est devenu très clair : l’aigle américain après avoir colonisé l’Europe, veut la peau du vieil ours russe.
Il est vrai que de ces deux côtés de l’Atlantique, le culte des victimes a peu à peu supplanté celui des héros.
Soit certains journalistes parisiens vivent sur une autre planète, soit ils nous prennent vraiment pour des imbéciles.
Le fameux « logeur de Daech », vient de faire son grand retour sous les feux de la rampe ; enfin, ceux du tribunal de Bobigny,
Il va sans dire que les “professeurs” dispensateurs de ces cours mirobolants sont des personnalités très marquées à gauche.
Un film-hommage à la Légion, et plus largement à l’abnégation des soldats et à l’esprit de discipline et de camaraderie qui règnent au sein de l’armée.
Il faut former des enseignants au franglais : avis aux syndicats et aux huiles du ministère. Non plus la langue de Shakespeare, mais celle de Zuckerberg.
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