Cinéma
Parents, soyez vigilants. Surveillez les écrans et encouragez le ministre quand il veut supprimer les portables en cours de récréation !
Espérons que ces chers enfants ont pu assister à la messe de minuit pour connaître la fin de ce conte de fées qui n’en était pas un !
Son fiel peut être étincelant mais surtout très aigre.
Elle n’aime rien ni personne et, globalement, tout l’emmerde.
Le film est appréciable en cela qu’il met les femmes en valeur sans pour autant s’encombrer d’un féminisme crétin, hystérique et revanchard.
J’imaginais bien la multitude, l’hommage populaire, les larmes et la nostalgie. Mais pas à ce point.
Pour lui, seule l’immense émotion populaire suscitée, jadis, par la disparition d’Edith Piaf est comparable à celle qu’éprouvent les Français aujourd’hui.
Sur Johnny dont les rythmes et les chansons ont ému plusieurs générations, tout a été dit.
C’était un grand chanteur qui restera dans les mémoires et qu’on entendra longtemps, longtemps après qu’il a disparu.
On le sait, il n’y a pas de demi-mesure sur les réseaux sociaux : ou l’on conspue, ou l’on encense.
Cet homme, qui venait du bas, n’a jamais oublié, arrivé en haut, que ceux d’en bas existaient toujours et méritaient le respect.
Johnny Hallyday était un monument national, qu’on ait acheté ses disques ou non.
Il s’était introduit dans notre cercle de famille, dans notre univers amical.
Une fois n’est pas coutume, il est des soirs où l’on ne regrette pas de ne s’être pas couché, même devant Laurent Ruquier.
On se demande ce que le pauvre Fabrizio Rongione, comédien remarquable et fidèle des frères Dardenne, est allé faire dans cette galère.
Au grand dam de la famille et de son avocate, l’enseignant n’a été condamné qu’à 18 mois de prison avec sursis et deux ans de mise à l’épreuve.
A.D.G. est essentiellement connu pour sa qualité d’auteur de romans policiers dans la célèbre « Série Noire ».
Si rien n’arrête le flot destructeur, dans quelques années, en dehors des lieux sanctuarisés, les chrétiens auront disparu.
Le plus passionnant du film concerne la réflexion sur l’éloquence et l’éducation par le langage.
Non seulement Adeline d’Hermy crève l’écran à chaque séquence, mais le film semble avoir été écrit spécialement pour elle.
Une histoire américaine.
Ces gens-là sont fous. Complètement dingues. Déjantés. Dangereux.
Violence, droits bafoués : du « grand cinéma »…
Sans sourciller, Yves Calvi laissa se développer l’idée que Macron incarnerait le gaullisme…
Le récit tourne autour de Christian, célèbre conservateur de musée, un brin tête à claque, mondain mais de bonne foi.
Pourquoi les Français ont-ils supporté tant de souffrances avec rage et courage jusqu’à la victoire ?
Le problème du film est qu’il en vient, hélas, à défendre une certaine forme de discrimination positive à l’anglo-saxonne.
Pauvres petites actrices si malheureuses d’être désirées, c’est la bouillie dans leur tête.
Parents, soyez vigilants. Surveillez les écrans et encouragez le ministre quand il veut supprimer les portables en cours de récréation !
Espérons que ces chers enfants ont pu assister à la messe de minuit pour connaître la fin de ce conte de fées qui n’en était pas un !
Son fiel peut être étincelant mais surtout très aigre.
Elle n’aime rien ni personne et, globalement, tout l’emmerde.
Le film est appréciable en cela qu’il met les femmes en valeur sans pour autant s’encombrer d’un féminisme crétin, hystérique et revanchard.
J’imaginais bien la multitude, l’hommage populaire, les larmes et la nostalgie. Mais pas à ce point.
Pour lui, seule l’immense émotion populaire suscitée, jadis, par la disparition d’Edith Piaf est comparable à celle qu’éprouvent les Français aujourd’hui.
Sur Johnny dont les rythmes et les chansons ont ému plusieurs générations, tout a été dit.
C’était un grand chanteur qui restera dans les mémoires et qu’on entendra longtemps, longtemps après qu’il a disparu.
On le sait, il n’y a pas de demi-mesure sur les réseaux sociaux : ou l’on conspue, ou l’on encense.
Cet homme, qui venait du bas, n’a jamais oublié, arrivé en haut, que ceux d’en bas existaient toujours et méritaient le respect.
Johnny Hallyday était un monument national, qu’on ait acheté ses disques ou non.
Il s’était introduit dans notre cercle de famille, dans notre univers amical.
Une fois n’est pas coutume, il est des soirs où l’on ne regrette pas de ne s’être pas couché, même devant Laurent Ruquier.
On se demande ce que le pauvre Fabrizio Rongione, comédien remarquable et fidèle des frères Dardenne, est allé faire dans cette galère.
Au grand dam de la famille et de son avocate, l’enseignant n’a été condamné qu’à 18 mois de prison avec sursis et deux ans de mise à l’épreuve.
A.D.G. est essentiellement connu pour sa qualité d’auteur de romans policiers dans la célèbre « Série Noire ».
Si rien n’arrête le flot destructeur, dans quelques années, en dehors des lieux sanctuarisés, les chrétiens auront disparu.
Le plus passionnant du film concerne la réflexion sur l’éloquence et l’éducation par le langage.
Non seulement Adeline d’Hermy crève l’écran à chaque séquence, mais le film semble avoir été écrit spécialement pour elle.
Une histoire américaine.
Ces gens-là sont fous. Complètement dingues. Déjantés. Dangereux.
Violence, droits bafoués : du « grand cinéma »…
Sans sourciller, Yves Calvi laissa se développer l’idée que Macron incarnerait le gaullisme…
Le récit tourne autour de Christian, célèbre conservateur de musée, un brin tête à claque, mondain mais de bonne foi.
Pourquoi les Français ont-ils supporté tant de souffrances avec rage et courage jusqu’à la victoire ?
Le problème du film est qu’il en vient, hélas, à défendre une certaine forme de discrimination positive à l’anglo-saxonne.
Pauvres petites actrices si malheureuses d’être désirées, c’est la bouillie dans leur tête.
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