Cinéma

Le film brille par ses à-côtés, par ses dialogues ciselés et par ses petites trouvailles scénaristiques.

Une réalité effrayante en France, où un enfant disparaît toutes les 12 minutes.

La famille Traoré, c’est un peu comme le sparadrap du capitaine Haddock. Elle nous colle aux basques.

2023 oblige, le scénario a dû céder aux injonctions multiculturalistes et interconfessionnelles.

Dupontel nous prouve par son universalisme qu’il sera toujours du côté du manche.

En France, la production indépendante hors subventions et influence de gauche est encore balbutiante.

Une belle leçon de dignité, à chaque instant, dans le jeu magique des acteurs.

Le film de Thomas Cailley martèle l’idée d’une frontière ténue entre l’homme et l’animal.

Cédric Kahn propose un film de prétoire épuré de tout effet dramatique, sans flash-back ni musique.

Michel Gondry célèbre l’imagination débridée et la folie créatrice.

Laurent Lafitte campe à l’écran un Bernard Tapie grande gueule, bluffeur, faiseur et magouilleur.

Comme une de ces communions se faisant aujourd’hui de plus en plus rares.

Ces professeurs sont rendus responsables systématiquement de chaque difficulté qu’ils rencontrent.

Pourquoi soudain Guillaume Canet n’assume-t-il plus ses engagements militants tonitruants ?

L’allégorie sur l’immigration, évidente, élude les questions identitaires et leur violence corollaire.

La Beauté du geste, de Sho Miyake, s’affiche comme un anti-Rocky, une synthèse revendiquée de « Million Dollar Baby »

Reality est le premier film au cinéma à aborder de près ou de loin le fameux « Russiagate ».

Le récit se propose de faire « l’anatomie » d’un couple suite au décès du père de famille, tombé mystérieusement.

Sophie se confronte directement au mépris de classe, aux bizutages en tous genres, aux beuveries.

Le chantier de révision des classiques s’annonce immense.

Outre sa dimension idéologique, Barbie est pratiquement un sans-faute sur le plan de la mise en scène.

Le film vaut principalement pour son éloge de l’amitié fusionnelle et inconditionnelle.

Pertinent dans sa critique du théâtre bobo, mais bourré de longueurs, le film est sauvé par Raphaël Quenard.

Des dialogues souvent manichéens, mais reconnaissons-lui néanmoins le mérite de sensibiliser le public.

Le renouveau fait débat entre ceux qui voient un espoir féministe exemplaire et ceux qui dénoncent un film de propagande

Le grotesque n’est jamais bien loin, mais les qualités d’image confèrent à l’ensemble un certain charme.

Disons-le d’emblée : l’annonce initiale d’un projet de film sur l’invention de la bombe atomique, par Christopher Nolan, nous avait mis l’eau à la bouche.

Si ce projet de feuilleton risque de frustrer bien des nostalgiques, le scénariste nous offre des dialogues bien sentis.

Le film brille par ses à-côtés, par ses dialogues ciselés et par ses petites trouvailles scénaristiques.

Une réalité effrayante en France, où un enfant disparaît toutes les 12 minutes.

La famille Traoré, c’est un peu comme le sparadrap du capitaine Haddock. Elle nous colle aux basques.

2023 oblige, le scénario a dû céder aux injonctions multiculturalistes et interconfessionnelles.

Dupontel nous prouve par son universalisme qu’il sera toujours du côté du manche.

En France, la production indépendante hors subventions et influence de gauche est encore balbutiante.

Une belle leçon de dignité, à chaque instant, dans le jeu magique des acteurs.

Le film de Thomas Cailley martèle l’idée d’une frontière ténue entre l’homme et l’animal.

Cédric Kahn propose un film de prétoire épuré de tout effet dramatique, sans flash-back ni musique.

Michel Gondry célèbre l’imagination débridée et la folie créatrice.

Laurent Lafitte campe à l’écran un Bernard Tapie grande gueule, bluffeur, faiseur et magouilleur.

Comme une de ces communions se faisant aujourd’hui de plus en plus rares.

Ces professeurs sont rendus responsables systématiquement de chaque difficulté qu’ils rencontrent.

Pourquoi soudain Guillaume Canet n’assume-t-il plus ses engagements militants tonitruants ?

L’allégorie sur l’immigration, évidente, élude les questions identitaires et leur violence corollaire.

La Beauté du geste, de Sho Miyake, s’affiche comme un anti-Rocky, une synthèse revendiquée de « Million Dollar Baby »

Reality est le premier film au cinéma à aborder de près ou de loin le fameux « Russiagate ».

Le récit se propose de faire « l’anatomie » d’un couple suite au décès du père de famille, tombé mystérieusement.

Sophie se confronte directement au mépris de classe, aux bizutages en tous genres, aux beuveries.

Le chantier de révision des classiques s’annonce immense.

Outre sa dimension idéologique, Barbie est pratiquement un sans-faute sur le plan de la mise en scène.

Le film vaut principalement pour son éloge de l’amitié fusionnelle et inconditionnelle.

Pertinent dans sa critique du théâtre bobo, mais bourré de longueurs, le film est sauvé par Raphaël Quenard.

Des dialogues souvent manichéens, mais reconnaissons-lui néanmoins le mérite de sensibiliser le public.

Le renouveau fait débat entre ceux qui voient un espoir féministe exemplaire et ceux qui dénoncent un film de propagande

Le grotesque n’est jamais bien loin, mais les qualités d’image confèrent à l’ensemble un certain charme.

Disons-le d’emblée : l’annonce initiale d’un projet de film sur l’invention de la bombe atomique, par Christopher Nolan, nous avait mis l’eau à la bouche.

Si ce projet de feuilleton risque de frustrer bien des nostalgiques, le scénariste nous offre des dialogues bien sentis.
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