Cinéma

Les Banshees d’Inisherin, véritable western irlandais, ravira, à coup sûr, les amoureux de la verte Érin, ne serait-ce que par ses paysages magnifiques et son humour typique, pince-sans-rire.

Signé Michele Placido, ce long-métrage s’inscrit à merveille dans la carrière d’un cinéaste-comédien qui n’a jamais caché sa fascination pour les scélérats et marginaux de tous poils.

Éloge de la nature, des grands espaces et du temps long, Les Huit Montagnes est à appréhender avant toute chose comme la célébration de la nostalgie, des liens durables, de la parole donnée et des vertus de l’amitié inconditionnelle.

Ou comment un woke se voit reprocher de ne pas l’être suffisamment par les autres et se confond en excuses.

À l’heure où Disney revoit ses prétentions wokistes à la baisse, le cinéma français persiste dans ses projections de messages idéologiques.

Ce qu’a réalisé Marvel Studios avec Wakanda Forever sur le plan de la désinformation géopolitique est inédit.

Sur le fond, les discours idéologiques n’ont pas changé : on a droit à cette espèce de fausse mauvaise conscience narcissique de l’homme blanc occidental…

En interview, le cinéaste confiait : « je voulais que le film puisse clairement signifier que chaque naissance compte, que chaque vie a sa place »

Vaincre ou mourir est au rendez-vous de la légende et de l’Histoire !

Le film est passionnant d’un point de vue anthropologique. Il nous donne à voir un milieu qui, par essence, privilégie l’émotion et les sentiments sur la raison.

C’est possible que des films plus contemporains voient le jour.

Elle vient de dépasser les 70 printemps, mais demeure belle comme jamais, tout en demeurant au sommet de son art, poignante qu’elle se dévoile en Laurette Pic, épouse de son Jacky de mari, inoubliable Claude Brasseur en vieux schnock atrabilaire.

Le film est une synthèse appréciable sur l’affaire Weinstein, revenant de long en large sur le système mis en place par le producteur pour attirer ses proies à l’hôtel, abuser d’elles et acheter leur silence via sa société de production

Un film un peu curieux mais malin dans son dispositif.

Pour le pilonnage de l’idéologie moralisatrice de gauche, il est vrai que le téléspectateur préfère la gratuité de BFM.

Couleurs d’incendie s’inscrit avec humilité dans la pure tradition du cinéma classique français des années 30 aux années 50, époque où les cinéastes savaient encore s’effacer devant leurs œuvres…

Gad Elmaleh était bien conscient de la prise de risque qu’il prenait à se livrer aussi intimement. Reconnaissons qu’il faut une certaine dose d’audace pour clamer, sur LCI, que « la vraie star du film, c’est la Vierge Marie »…

Le cinéaste et les producteurs se prêtent au même jeu malsain que les journalistes du Monde ou de France Info : ils focalisent sur la résilience de Leiris, à grand coups de plans démonstratifs, de dialogues larmoyants et de moments de joie calculés, nous privent de toute réflexion sur l’état de la société et nous dissuadent d’employer notre colère la plus saine.

Le réalisateur imagine une intrigue policière au sein de l’université al-Azhar, mettant aux prises les autorités religieuses et les autorités politiques du pays.

Avec humour et délicatesse, les deux réalisateurs retracent au rythme du jazz les moments forts de quelque huit nouvelles du Petit Nicolas.

Portrait hagiographique d’une personnalité de gauche qui s’ignorait, le film d’Olivier Dahan se refuse absolument à tout regard critique sur le parcours politique de Simone Veil…

Qu’il s’agisse des enregistrements vidéo des caméras de surveillance, des écoutes, des filatures, des fausses pistes, des interrogatoires qui ne mènent à rien, des coups de bluff et des coups de chance, tout nous est raconté.

Avec Sans filtre (Triangle of Sadness, en version originale), Ruben Östlund s’en prend aux profiteurs et parvenus de tous poils, ces happy few qui gangrènent la société et jouissent de ses bienfaits.

On ne sert pas au public ce dont il a envie : on part du principe que ces idiots de spectateurs achèteront ce qu’on leur vend. Sauf qu’ils n’achètent plus.

L’artiste militant ressort les ficelles de l’intimidation morale, puisque « tous ceux qui ne sont pas homophobes devraient aller voir ce film »

Le film revient sur les conséquences d’un attentat (fictif) survenu dans une brasserie parisienne où la plupart des clients et une partie du personnel ont été froidement assassinés par un djihadiste.

Pour les vieillards qui nous sont montrés à l’écran, c’est donc une question de civisme.

« Sonia » a porté plainte contre la production du film Novembre, de Cédric Jimenez, qui raconte cette nuit de carnage.

Les Banshees d’Inisherin, véritable western irlandais, ravira, à coup sûr, les amoureux de la verte Érin, ne serait-ce que par ses paysages magnifiques et son humour typique, pince-sans-rire.

Signé Michele Placido, ce long-métrage s’inscrit à merveille dans la carrière d’un cinéaste-comédien qui n’a jamais caché sa fascination pour les scélérats et marginaux de tous poils.

Éloge de la nature, des grands espaces et du temps long, Les Huit Montagnes est à appréhender avant toute chose comme la célébration de la nostalgie, des liens durables, de la parole donnée et des vertus de l’amitié inconditionnelle.

Ou comment un woke se voit reprocher de ne pas l’être suffisamment par les autres et se confond en excuses.

À l’heure où Disney revoit ses prétentions wokistes à la baisse, le cinéma français persiste dans ses projections de messages idéologiques.

Ce qu’a réalisé Marvel Studios avec Wakanda Forever sur le plan de la désinformation géopolitique est inédit.

Sur le fond, les discours idéologiques n’ont pas changé : on a droit à cette espèce de fausse mauvaise conscience narcissique de l’homme blanc occidental…

En interview, le cinéaste confiait : « je voulais que le film puisse clairement signifier que chaque naissance compte, que chaque vie a sa place »

Vaincre ou mourir est au rendez-vous de la légende et de l’Histoire !

Le film est passionnant d’un point de vue anthropologique. Il nous donne à voir un milieu qui, par essence, privilégie l’émotion et les sentiments sur la raison.

C’est possible que des films plus contemporains voient le jour.

Elle vient de dépasser les 70 printemps, mais demeure belle comme jamais, tout en demeurant au sommet de son art, poignante qu’elle se dévoile en Laurette Pic, épouse de son Jacky de mari, inoubliable Claude Brasseur en vieux schnock atrabilaire.

Le film est une synthèse appréciable sur l’affaire Weinstein, revenant de long en large sur le système mis en place par le producteur pour attirer ses proies à l’hôtel, abuser d’elles et acheter leur silence via sa société de production

Un film un peu curieux mais malin dans son dispositif.

Pour le pilonnage de l’idéologie moralisatrice de gauche, il est vrai que le téléspectateur préfère la gratuité de BFM.

Couleurs d’incendie s’inscrit avec humilité dans la pure tradition du cinéma classique français des années 30 aux années 50, époque où les cinéastes savaient encore s’effacer devant leurs œuvres…

Gad Elmaleh était bien conscient de la prise de risque qu’il prenait à se livrer aussi intimement. Reconnaissons qu’il faut une certaine dose d’audace pour clamer, sur LCI, que « la vraie star du film, c’est la Vierge Marie »…

Le cinéaste et les producteurs se prêtent au même jeu malsain que les journalistes du Monde ou de France Info : ils focalisent sur la résilience de Leiris, à grand coups de plans démonstratifs, de dialogues larmoyants et de moments de joie calculés, nous privent de toute réflexion sur l’état de la société et nous dissuadent d’employer notre colère la plus saine.

Le réalisateur imagine une intrigue policière au sein de l’université al-Azhar, mettant aux prises les autorités religieuses et les autorités politiques du pays.

Avec humour et délicatesse, les deux réalisateurs retracent au rythme du jazz les moments forts de quelque huit nouvelles du Petit Nicolas.

Portrait hagiographique d’une personnalité de gauche qui s’ignorait, le film d’Olivier Dahan se refuse absolument à tout regard critique sur le parcours politique de Simone Veil…

Qu’il s’agisse des enregistrements vidéo des caméras de surveillance, des écoutes, des filatures, des fausses pistes, des interrogatoires qui ne mènent à rien, des coups de bluff et des coups de chance, tout nous est raconté.

Avec Sans filtre (Triangle of Sadness, en version originale), Ruben Östlund s’en prend aux profiteurs et parvenus de tous poils, ces happy few qui gangrènent la société et jouissent de ses bienfaits.

On ne sert pas au public ce dont il a envie : on part du principe que ces idiots de spectateurs achèteront ce qu’on leur vend. Sauf qu’ils n’achètent plus.

L’artiste militant ressort les ficelles de l’intimidation morale, puisque « tous ceux qui ne sont pas homophobes devraient aller voir ce film »

Le film revient sur les conséquences d’un attentat (fictif) survenu dans une brasserie parisienne où la plupart des clients et une partie du personnel ont été froidement assassinés par un djihadiste.

Pour les vieillards qui nous sont montrés à l’écran, c’est donc une question de civisme.

« Sonia » a porté plainte contre la production du film Novembre, de Cédric Jimenez, qui raconte cette nuit de carnage.
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