Cinéma
En interview, le cinéaste confiait : « je voulais que le film puisse clairement signifier que chaque naissance compte, que chaque vie a sa place »
Vaincre ou mourir est au rendez-vous de la légende et de l’Histoire !
Le film est passionnant d’un point de vue anthropologique. Il nous donne à voir un milieu qui, par essence, privilégie l’émotion et les sentiments sur la raison.
C’est possible que des films plus contemporains voient le jour.
Elle vient de dépasser les 70 printemps, mais demeure belle comme jamais, tout en demeurant au sommet de son art, poignante qu’elle se dévoile en Laurette Pic, épouse de son Jacky de mari, inoubliable Claude Brasseur en vieux schnock atrabilaire.
Le film est une synthèse appréciable sur l’affaire Weinstein, revenant de long en large sur le système mis en place par le producteur pour attirer ses proies à l’hôtel, abuser d’elles et acheter leur silence via sa société de production
Un film un peu curieux mais malin dans son dispositif.
Pour le pilonnage de l’idéologie moralisatrice de gauche, il est vrai que le téléspectateur préfère la gratuité de BFM.
Couleurs d’incendie s’inscrit avec humilité dans la pure tradition du cinéma classique français des années 30 aux années 50, époque où les cinéastes savaient encore s’effacer devant leurs œuvres…
Gad Elmaleh était bien conscient de la prise de risque qu’il prenait à se livrer aussi intimement. Reconnaissons qu’il faut une certaine dose d’audace pour clamer, sur LCI, que « la vraie star du film, c’est la Vierge Marie »…
Le cinéaste et les producteurs se prêtent au même jeu malsain que les journalistes du Monde ou de France Info : ils focalisent sur la résilience de Leiris, à grand coups de plans démonstratifs, de dialogues larmoyants et de moments de joie calculés, nous privent de toute réflexion sur l’état de la société et nous dissuadent d’employer notre colère la plus saine.
Le réalisateur imagine une intrigue policière au sein de l’université al-Azhar, mettant aux prises les autorités religieuses et les autorités politiques du pays.
Avec humour et délicatesse, les deux réalisateurs retracent au rythme du jazz les moments forts de quelque huit nouvelles du Petit Nicolas.
Portrait hagiographique d’une personnalité de gauche qui s’ignorait, le film d’Olivier Dahan se refuse absolument à tout regard critique sur le parcours politique de Simone Veil…
Qu’il s’agisse des enregistrements vidéo des caméras de surveillance, des écoutes, des filatures, des fausses pistes, des interrogatoires qui ne mènent à rien, des coups de bluff et des coups de chance, tout nous est raconté.
Avec Sans filtre (Triangle of Sadness, en version originale), Ruben Östlund s’en prend aux profiteurs et parvenus de tous poils, ces happy few qui gangrènent la société et jouissent de ses bienfaits.
On ne sert pas au public ce dont il a envie : on part du principe que ces idiots de spectateurs achèteront ce qu’on leur vend. Sauf qu’ils n’achètent plus.
L’artiste militant ressort les ficelles de l’intimidation morale, puisque « tous ceux qui ne sont pas homophobes devraient aller voir ce film »
Le film revient sur les conséquences d’un attentat (fictif) survenu dans une brasserie parisienne où la plupart des clients et une partie du personnel ont été froidement assassinés par un djihadiste.
Pour les vieillards qui nous sont montrés à l’écran, c’est donc une question de civisme.
« Sonia » a porté plainte contre la production du film Novembre, de Cédric Jimenez, qui raconte cette nuit de carnage.
Décédée à l’âge de 93 ans, Irène Papas restera sans nul doute, avec Melina Mercouri, l’une des actrices grecques les plus connues à l’étranger.
Tout le film de Lola Quivoron, à défaut de faire l’éloge du rodéo urbain, célèbre et glamourise le mode de vie des « cailleras »
Jean-Luc Godard aurait voulu se fâcher avec tout le monde qu’il ne s’y serait pas pris autrement.
Jean-Luc Godard est mort à 91 ans, le 13 septembre, à Rolle (Suisse), a annoncé sa famille par communiqué à l’AFP.
Récit dense et foisonnant, parfaitement agencé sur deux temporalités, passé et présent, Rebel offre un tour d’horizon inédit au cinéma de l’ambiance de mort qui règne en Syrie.
Si le cinéma, à l’instar de la publicité, est devenu partie intégrante de la propagande autorisée, il peut parfois révéler certaines bonnes surprises. Des nanars
Portrait acerbe d’une jeunesse occidentale de plus en plus individualiste, calculatrice et décadente, pourrie par le désir maladif de reconnaissance sociale, La Veronica est un bon film défouloir.
En interview, le cinéaste confiait : « je voulais que le film puisse clairement signifier que chaque naissance compte, que chaque vie a sa place »
Vaincre ou mourir est au rendez-vous de la légende et de l’Histoire !
Le film est passionnant d’un point de vue anthropologique. Il nous donne à voir un milieu qui, par essence, privilégie l’émotion et les sentiments sur la raison.
C’est possible que des films plus contemporains voient le jour.
Elle vient de dépasser les 70 printemps, mais demeure belle comme jamais, tout en demeurant au sommet de son art, poignante qu’elle se dévoile en Laurette Pic, épouse de son Jacky de mari, inoubliable Claude Brasseur en vieux schnock atrabilaire.
Le film est une synthèse appréciable sur l’affaire Weinstein, revenant de long en large sur le système mis en place par le producteur pour attirer ses proies à l’hôtel, abuser d’elles et acheter leur silence via sa société de production
Un film un peu curieux mais malin dans son dispositif.
Pour le pilonnage de l’idéologie moralisatrice de gauche, il est vrai que le téléspectateur préfère la gratuité de BFM.
Couleurs d’incendie s’inscrit avec humilité dans la pure tradition du cinéma classique français des années 30 aux années 50, époque où les cinéastes savaient encore s’effacer devant leurs œuvres…
Gad Elmaleh était bien conscient de la prise de risque qu’il prenait à se livrer aussi intimement. Reconnaissons qu’il faut une certaine dose d’audace pour clamer, sur LCI, que « la vraie star du film, c’est la Vierge Marie »…
Le cinéaste et les producteurs se prêtent au même jeu malsain que les journalistes du Monde ou de France Info : ils focalisent sur la résilience de Leiris, à grand coups de plans démonstratifs, de dialogues larmoyants et de moments de joie calculés, nous privent de toute réflexion sur l’état de la société et nous dissuadent d’employer notre colère la plus saine.
Le réalisateur imagine une intrigue policière au sein de l’université al-Azhar, mettant aux prises les autorités religieuses et les autorités politiques du pays.
Avec humour et délicatesse, les deux réalisateurs retracent au rythme du jazz les moments forts de quelque huit nouvelles du Petit Nicolas.
Portrait hagiographique d’une personnalité de gauche qui s’ignorait, le film d’Olivier Dahan se refuse absolument à tout regard critique sur le parcours politique de Simone Veil…
Qu’il s’agisse des enregistrements vidéo des caméras de surveillance, des écoutes, des filatures, des fausses pistes, des interrogatoires qui ne mènent à rien, des coups de bluff et des coups de chance, tout nous est raconté.
Avec Sans filtre (Triangle of Sadness, en version originale), Ruben Östlund s’en prend aux profiteurs et parvenus de tous poils, ces happy few qui gangrènent la société et jouissent de ses bienfaits.
On ne sert pas au public ce dont il a envie : on part du principe que ces idiots de spectateurs achèteront ce qu’on leur vend. Sauf qu’ils n’achètent plus.
L’artiste militant ressort les ficelles de l’intimidation morale, puisque « tous ceux qui ne sont pas homophobes devraient aller voir ce film »
Le film revient sur les conséquences d’un attentat (fictif) survenu dans une brasserie parisienne où la plupart des clients et une partie du personnel ont été froidement assassinés par un djihadiste.
Pour les vieillards qui nous sont montrés à l’écran, c’est donc une question de civisme.
« Sonia » a porté plainte contre la production du film Novembre, de Cédric Jimenez, qui raconte cette nuit de carnage.
Décédée à l’âge de 93 ans, Irène Papas restera sans nul doute, avec Melina Mercouri, l’une des actrices grecques les plus connues à l’étranger.
Tout le film de Lola Quivoron, à défaut de faire l’éloge du rodéo urbain, célèbre et glamourise le mode de vie des « cailleras »
Jean-Luc Godard aurait voulu se fâcher avec tout le monde qu’il ne s’y serait pas pris autrement.
Jean-Luc Godard est mort à 91 ans, le 13 septembre, à Rolle (Suisse), a annoncé sa famille par communiqué à l’AFP.
Récit dense et foisonnant, parfaitement agencé sur deux temporalités, passé et présent, Rebel offre un tour d’horizon inédit au cinéma de l’ambiance de mort qui règne en Syrie.
Si le cinéma, à l’instar de la publicité, est devenu partie intégrante de la propagande autorisée, il peut parfois révéler certaines bonnes surprises. Des nanars
Portrait acerbe d’une jeunesse occidentale de plus en plus individualiste, calculatrice et décadente, pourrie par le désir maladif de reconnaissance sociale, La Veronica est un bon film défouloir.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
Un vert manteau de mosquées