Coronavirus
Robert Ménard a décidé le couvre-feu à Béziers. Il s’en explique au micro de Boulevard Voltaire. https://www.youtube.com/watch?v=NLGFgTdMplE&=&feature=youtu.be Un couvre-feu est instauré depuis ce samedi 21
On les applaudit chaque soir à 20 heures mais je vais finir par croire qu’on s’applaudit soi-même.
L’enfermement conjurera le mal et le fera fuir. Il faut des sacrifices.
Il paraît que ce temps devrait nous conduire à l’altruisme… Pas sûr qu’on en prenne le chemin.
La crise du coronavirus pourrait être l’occasion de révolutionner l’enseignement : pour le meilleur ou pour le pire ?
Comble de l’humiliation pour Bruxelles : Cuba vient, à son tour, de dépêcher cinquante-deux médecins et infirmiers.
« Pour vous protéger, soyez assidu aux invocations. » C’est tout chaud, ça vient de sortir.
Morale de la fable : si nous ne saisissons par ce coup de la Fortune qui frappe presque toute la planète, et jette à bas nos inconséquences et nos vanités, alors, c’est presque à désespérer.
En fait, le confinement, c’est notre ligne Maginot. Cela peut bloquer l’ennemi, le ralentir, mais cela ne peut le vaincre.
Les citadins en bavent dans leur cage d’escalier. Pas de raison que toi aussi tu n’en baves pas aussi à la campagne !
L’Europe est une belle et puissante construction commune. La preuve par l’Italie !
À des fins de profit personnel, alors même que des millions de personnes ont perdu tout ou partie de leur revenu, certains n’hésitent pas à ne pas respecter les plus élémentaires règles sociales.
Nous n’y sommes plus… C’est panique à bord, de tous les côtés !
Un kit de modification a été lancé en fabrication par une entreprise de Mirandola et pourra approvisionner tous les hôpitaux italiens et également étrangers qui en feront la demande.
Le Français a désappris à se défendre quelle que soit la menace : cela s’appelle la décadence.
Quand tout cela sera fini, mes amis, la pastille rouge sera pour eux, bien visible sur le nez : celle de Bozo le clown. Et tout leur cirque sera fini.
Premier médecin en exercice décédé des suites de l’épidémie, il s’appelait Jean-Jacques Razafindranazy, était urgentiste à l’hôpital de Compiègne…
Les mesures de dépistage seront donc les bienvenues, mais encore faut-il avoir les tests !
Edicter le couvre-feu partout est une chose. Faire appliquer le couvre-feu par tous en est une autre.
Hier encore, il partait pour se faire réélire en novembre, fort de sa « croissance-économique-assise-sur-la-bulle-du-schiste », mais aussi du fait d’une opinion publique fatiguée de
Le résultat est là : en février 2020, plus de réserves !
Au-delà de la crise sanitaire effrayante qui risque malheureusement de conduire à la mort de nombreux Français se profile une crise économique d’envergure provoquée par le confinement et l’arrêt de la production des marchandises non essentielles.
Le coronavirus ne fait que précipiter la crise, annoncée depuis longtemps, de la bulle des actions et de l’hyperendettement
La présence du Covid-19 est officiellement déclarée dans la majorité des cinquante-cinq pays africains…
La crise sanitaire signe la mort de la mondialisation, valeur dominante d’une élite qui, toutes tendances confondues, reste obnubilée par un marché sans limite, sans frontière où, là encore, l’objet prévaut sur le sujet, le matériel sur le spirituel.
Le coronavirus est tel la peste qui, dans Camus, était une allégorie du fascisme ; il symbolise la faillite du monde mondialisé, celui des migrations, du tourisme de masse, de la partouze généralisée.
C’est davantage dans l’approche de la maladie, voire de la mort, que les Orientaux et les Occidentaux se séparent…
Robert Ménard a décidé le couvre-feu à Béziers. Il s’en explique au micro de Boulevard Voltaire. https://www.youtube.com/watch?v=NLGFgTdMplE&=&feature=youtu.be Un couvre-feu est instauré depuis ce samedi 21
On les applaudit chaque soir à 20 heures mais je vais finir par croire qu’on s’applaudit soi-même.
L’enfermement conjurera le mal et le fera fuir. Il faut des sacrifices.
Il paraît que ce temps devrait nous conduire à l’altruisme… Pas sûr qu’on en prenne le chemin.
La crise du coronavirus pourrait être l’occasion de révolutionner l’enseignement : pour le meilleur ou pour le pire ?
Comble de l’humiliation pour Bruxelles : Cuba vient, à son tour, de dépêcher cinquante-deux médecins et infirmiers.
« Pour vous protéger, soyez assidu aux invocations. » C’est tout chaud, ça vient de sortir.
Morale de la fable : si nous ne saisissons par ce coup de la Fortune qui frappe presque toute la planète, et jette à bas nos inconséquences et nos vanités, alors, c’est presque à désespérer.
En fait, le confinement, c’est notre ligne Maginot. Cela peut bloquer l’ennemi, le ralentir, mais cela ne peut le vaincre.
Les citadins en bavent dans leur cage d’escalier. Pas de raison que toi aussi tu n’en baves pas aussi à la campagne !
L’Europe est une belle et puissante construction commune. La preuve par l’Italie !
À des fins de profit personnel, alors même que des millions de personnes ont perdu tout ou partie de leur revenu, certains n’hésitent pas à ne pas respecter les plus élémentaires règles sociales.
Nous n’y sommes plus… C’est panique à bord, de tous les côtés !
Un kit de modification a été lancé en fabrication par une entreprise de Mirandola et pourra approvisionner tous les hôpitaux italiens et également étrangers qui en feront la demande.
Le Français a désappris à se défendre quelle que soit la menace : cela s’appelle la décadence.
Quand tout cela sera fini, mes amis, la pastille rouge sera pour eux, bien visible sur le nez : celle de Bozo le clown. Et tout leur cirque sera fini.
Premier médecin en exercice décédé des suites de l’épidémie, il s’appelait Jean-Jacques Razafindranazy, était urgentiste à l’hôpital de Compiègne…
Les mesures de dépistage seront donc les bienvenues, mais encore faut-il avoir les tests !
Edicter le couvre-feu partout est une chose. Faire appliquer le couvre-feu par tous en est une autre.
Hier encore, il partait pour se faire réélire en novembre, fort de sa « croissance-économique-assise-sur-la-bulle-du-schiste », mais aussi du fait d’une opinion publique fatiguée de
Le résultat est là : en février 2020, plus de réserves !
Au-delà de la crise sanitaire effrayante qui risque malheureusement de conduire à la mort de nombreux Français se profile une crise économique d’envergure provoquée par le confinement et l’arrêt de la production des marchandises non essentielles.
Le coronavirus ne fait que précipiter la crise, annoncée depuis longtemps, de la bulle des actions et de l’hyperendettement
La présence du Covid-19 est officiellement déclarée dans la majorité des cinquante-cinq pays africains…
La crise sanitaire signe la mort de la mondialisation, valeur dominante d’une élite qui, toutes tendances confondues, reste obnubilée par un marché sans limite, sans frontière où, là encore, l’objet prévaut sur le sujet, le matériel sur le spirituel.
Le coronavirus est tel la peste qui, dans Camus, était une allégorie du fascisme ; il symbolise la faillite du monde mondialisé, celui des migrations, du tourisme de masse, de la partouze généralisée.
C’est davantage dans l’approche de la maladie, voire de la mort, que les Orientaux et les Occidentaux se séparent…
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