Coronavirus
Et c’est de la sorte que semble se conclure la parenthèse libérale initiée, de l’autre côté de la Manche et de l’Atlantique, par Margaret Thatcher et poursuivie par Ronald Reagan…
Plus prosaïquement, la politique du gouvernement fédéral américain pourrait se résumer d’une phrase : quand les événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs.
Le sens des frontières plutôt que le courant d’air…
Tout est fermé, conformément au couvre feu…
Madame Lagarde, patronne de la BCE, a revêtu les habits de pompier, à défaut d’infirmière, pour tenter de calmer les marchés qui s’emballent sur une dangereuse pente.
Réaction de Nicolas Dupont-Aignan à l’allocution d’Emmanuel Macron sur la gestion de la crise du coronavirus. Vous avez écouté Emmanuel Macron. Qu’avez-vous pensé de la
Au micro de Boulevard Voltaire, réaction de Guillaume Bernard à la suite de l’allocution d’Emmanuel Macron sur la crise sanitaire du coronavirus. Vous avez écouté
Emmanuel Macron vient de s’exprimer lors d’une allocution télévisée sur le coronavirus. Plusieurs mesures ont été annoncées : maintien des élections municipales, fermetures des établissements
Cette pimprenelle exporte ses talents à l’international, puisque se mêlant de la manière qu’ont les autorités italiennes de gérer l’actuelle épidémie.
La totalité du territoire italien a été mise en quarantaine pour lutter contre l’expansion de l’épidémie de coronavirus. Témoignage d’Arthur Herlin, qui vit et travaille
La décision prise par Trump de stopper, pendant un mois, tout vol en provenance de l’Europe se décode ainsi…
Dans ce contexte éprouvant, il faut soutenir les équipes médicales mais aussi des troupes, le moral.
Nos prisons sont pleines, surchargées, prêtes à exploser. Leur population n’a plus rien à voir avec celle du XIXe siècle, ni même avec celle des années 70.
Faute de mesures et faute de la moindre anticipation, c’est donc la panique qui s’installe sur tout le territoire.
Le monde est incapable de vivre dans l’incertitude. L’inconnu nous terrifie. L’homme moderne ne supporte pas l’agresseur anonyme et imprévisible, ce qu’autrefois on aurait appelé le destin, mais contre lequel on ne se serait pas résigné.
300.000 élèves scolarisés dans l’Oise, le Haut-Rhin et Ajaccio sont déjà concernés par ces mesures de sécurité.
Puisqu’en partant de l’hypothèse selon laquelle la chauve-souris n’est pas étrangère à cette affaire, on peut imaginer que ce monde globalisé risque de produire des vampires standardisés…
Frank Riester connaît, aujourd’hui, sa semaine de gloire.
La contamination guettait, il fallait fournir un parachute à l’éructant et lui montrer la porte.
Comment ne pas mesurer la fragilité de tout ce château de cartes que constitue notre double aliénation productivité/consommation ?
Nous vivons actuellement la même hystérie médiatique que celle qui a entouré l’épidémie de grippe H1N1, il y a dix ans.
Ce virus n’est-il pas une des armes utiles de dame Nature pour défendre notre planète malade et remettre l’homme à sa place ?
Les gouvernants n’aiment rien tant que de surfer sur la trouille de leurs contemporains.
Qui ne se souvient pas de son « premier baiser » ?
Prenez, par exemple, l’affaire Griveaux. Au départ, la petite affaire devait se dérouler aussi dans la plus stricte intimité.
Faut-il donc s’attendre, en France, à son extension à grande échelle ?
Le coronavirus a fait sortir de sa cachette le monstre caché dans ce Système de pacotille.
Qu’il est loin, le temps du virus de la réforme des retraites, guéri en quelques heures grâce à une injection de 49.3…
Et c’est de la sorte que semble se conclure la parenthèse libérale initiée, de l’autre côté de la Manche et de l’Atlantique, par Margaret Thatcher et poursuivie par Ronald Reagan…
Plus prosaïquement, la politique du gouvernement fédéral américain pourrait se résumer d’une phrase : quand les événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs.
Le sens des frontières plutôt que le courant d’air…
Tout est fermé, conformément au couvre feu…
Madame Lagarde, patronne de la BCE, a revêtu les habits de pompier, à défaut d’infirmière, pour tenter de calmer les marchés qui s’emballent sur une dangereuse pente.
Réaction de Nicolas Dupont-Aignan à l’allocution d’Emmanuel Macron sur la gestion de la crise du coronavirus. Vous avez écouté Emmanuel Macron. Qu’avez-vous pensé de la
Au micro de Boulevard Voltaire, réaction de Guillaume Bernard à la suite de l’allocution d’Emmanuel Macron sur la crise sanitaire du coronavirus. Vous avez écouté
Emmanuel Macron vient de s’exprimer lors d’une allocution télévisée sur le coronavirus. Plusieurs mesures ont été annoncées : maintien des élections municipales, fermetures des établissements
Cette pimprenelle exporte ses talents à l’international, puisque se mêlant de la manière qu’ont les autorités italiennes de gérer l’actuelle épidémie.
La totalité du territoire italien a été mise en quarantaine pour lutter contre l’expansion de l’épidémie de coronavirus. Témoignage d’Arthur Herlin, qui vit et travaille
La décision prise par Trump de stopper, pendant un mois, tout vol en provenance de l’Europe se décode ainsi…
Dans ce contexte éprouvant, il faut soutenir les équipes médicales mais aussi des troupes, le moral.
Nos prisons sont pleines, surchargées, prêtes à exploser. Leur population n’a plus rien à voir avec celle du XIXe siècle, ni même avec celle des années 70.
Faute de mesures et faute de la moindre anticipation, c’est donc la panique qui s’installe sur tout le territoire.
Le monde est incapable de vivre dans l’incertitude. L’inconnu nous terrifie. L’homme moderne ne supporte pas l’agresseur anonyme et imprévisible, ce qu’autrefois on aurait appelé le destin, mais contre lequel on ne se serait pas résigné.
300.000 élèves scolarisés dans l’Oise, le Haut-Rhin et Ajaccio sont déjà concernés par ces mesures de sécurité.
Puisqu’en partant de l’hypothèse selon laquelle la chauve-souris n’est pas étrangère à cette affaire, on peut imaginer que ce monde globalisé risque de produire des vampires standardisés…
Frank Riester connaît, aujourd’hui, sa semaine de gloire.
La contamination guettait, il fallait fournir un parachute à l’éructant et lui montrer la porte.
Comment ne pas mesurer la fragilité de tout ce château de cartes que constitue notre double aliénation productivité/consommation ?
Nous vivons actuellement la même hystérie médiatique que celle qui a entouré l’épidémie de grippe H1N1, il y a dix ans.
Ce virus n’est-il pas une des armes utiles de dame Nature pour défendre notre planète malade et remettre l’homme à sa place ?
Les gouvernants n’aiment rien tant que de surfer sur la trouille de leurs contemporains.
Qui ne se souvient pas de son « premier baiser » ?
Prenez, par exemple, l’affaire Griveaux. Au départ, la petite affaire devait se dérouler aussi dans la plus stricte intimité.
Faut-il donc s’attendre, en France, à son extension à grande échelle ?
Le coronavirus a fait sortir de sa cachette le monstre caché dans ce Système de pacotille.
Qu’il est loin, le temps du virus de la réforme des retraites, guéri en quelques heures grâce à une injection de 49.3…
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