Coronavirus
Donc, le masque chirurgical, qui ne protégeait soi-disant pas les individus en bonne santé, est officiellement devenu protecteur.
Le chef de l’État bouleverse son agenda pour « se consacrer sur la gestion de la crise » du coronavirus : il va, enfin, faire l’unanimité autour de sa personne !
On ne sait plus trop où donner de la respiration !
Subitement, l’homme retrouve sa simple condition de mortel, sa vulnérabilité face à la nature.
Mieux vaut s’en prendre aux revendeurs, qui ne font qu’appliquer la plus simple, la plus évidente, la plus incontournable des lois économiques : celle de l’offre et de la demande.
La source miraculeuse de la grotte qui a guéri 70 personnes incurables est soudain devenue, par décision épiscopale, un dangereux réservoir à coronavirus SARS-CoV-2 qu’il fallait à tout prix fermer.
Les hôpitaux manquent de l’indispensable, infirmiers et solution hydroalcoolique, par exemple.
Ma confiance dans les « autorités » remonte ce matin. Je viens en effet d’entendre qu’Emmanuel Macron a dit qu’on n’en a pas fini avec le coronavirus.
Si l’on en croit les historiens, cette épidémie aurait fait au moins 50 millions de morts dans le monde, soit 2,5 à 5 % de la population mondiale, et ce, en un temps très limité…
Le Dr Legrand fait cet angoissant constat : sans masque de protection FFP2, les soignants des malades contaminés par le coronavirus deviendront, au mieux, des
Faut-il envisager la fermeture du métro dans lequel circulent pas moins de 4.100.000 passagers par jour ? Mais encore : que sont devenus les 200 millions de masques FFP2 promis, il y a quelques jours, par Édouard Philippe ?
Lundi 2 mars est tombé le communiqué du diocèse de Vannes qui interdit que des messes publiques soient dites.
Samuel Pruvot, rédacteur en chef à Famille chrétienne, réagit au micro de Boulevard Voltaire après que l’évêque de Beauvais (Oise) a interdit les messes publiques
La politique ne se fait peut-être pas à la corbeille, comme disait de Gaulle, mais désormais, nos politiques nous expliquent comment jeter notre mouchoir en papier après usage.
Ce n’est pas parce qu’un masque ne protège pas du virus à 100 % qu’il est inutile d’en porter, de même que ce n’est pas parce que les contrôles aux frontières ne préviennent pas toujours entièrement la diffusion d’une épidémie qu’il faut y renoncer par principe.
Dans la frénésie actuelle, nos évêques français font du zèle : sans que personne ne leur demande rien, ils ferment leurs églises…
Heureusement, une bonne nouvelle. Les fabricants de masques et de gels désinfectants voyaient la vie en coronarose…
Le coronavirus pourrait être l’étincelle, le cygne noir de la prochaine crise économique. C’est moins la gravité sanitaire de l’épidémie qui inquiète que ses conséquences pour l’économie.
Dieu merci – on ne croit pas si bien dire -, il n’est pas encore recommandé aux prêtres de dire la messe avec un masque de protection.
« Ce n’est pas très dangereux, mais il faut prendre des mesures de protection très strictes », même s’il s’agit de mesures d’hygiène élémentaire. Le tout accompagné de conseils d’une terrifiante infantilisation…
Environ 300 passagers, en provenance de toutes les villes d’Asie. À l’arrivée à Roissy, aucun contrôle médical, ni blouse blanche, ni thermomètre. Une simple affichette…
Tel est l’engrenage de l’angoisse : le drame ultime de notre modernité.
L’Homo festivus, grand consommateur, grand voyageur et grand festoyeur, est prié de prendre garde à ce qu’il touche, à qui il rencontre, à veiller avec précaution à l’utilité et la destination de ses déplacements.
Que se passerait-il, en effet, s’il fallait confiner la population au sein d’un foyer émergent de Covid-19 sur un périmètre comprenant une zone de non-droit ?
Entre la classe politique, la presse et la Lombardie, le climat se tend.
Alors qu’on vient d’apprendre la mort du premier Français – l’enseignant d’un collège de l’Oise de 60 ans – atteint par le coronavirus, Boulevard Voltaire
L’impact de l’épidémie sur la « croissance » va être important.
Donc, le masque chirurgical, qui ne protégeait soi-disant pas les individus en bonne santé, est officiellement devenu protecteur.
Le chef de l’État bouleverse son agenda pour « se consacrer sur la gestion de la crise » du coronavirus : il va, enfin, faire l’unanimité autour de sa personne !
On ne sait plus trop où donner de la respiration !
Subitement, l’homme retrouve sa simple condition de mortel, sa vulnérabilité face à la nature.
Mieux vaut s’en prendre aux revendeurs, qui ne font qu’appliquer la plus simple, la plus évidente, la plus incontournable des lois économiques : celle de l’offre et de la demande.
La source miraculeuse de la grotte qui a guéri 70 personnes incurables est soudain devenue, par décision épiscopale, un dangereux réservoir à coronavirus SARS-CoV-2 qu’il fallait à tout prix fermer.
Les hôpitaux manquent de l’indispensable, infirmiers et solution hydroalcoolique, par exemple.
Ma confiance dans les « autorités » remonte ce matin. Je viens en effet d’entendre qu’Emmanuel Macron a dit qu’on n’en a pas fini avec le coronavirus.
Si l’on en croit les historiens, cette épidémie aurait fait au moins 50 millions de morts dans le monde, soit 2,5 à 5 % de la population mondiale, et ce, en un temps très limité…
Le Dr Legrand fait cet angoissant constat : sans masque de protection FFP2, les soignants des malades contaminés par le coronavirus deviendront, au mieux, des
Faut-il envisager la fermeture du métro dans lequel circulent pas moins de 4.100.000 passagers par jour ? Mais encore : que sont devenus les 200 millions de masques FFP2 promis, il y a quelques jours, par Édouard Philippe ?
Lundi 2 mars est tombé le communiqué du diocèse de Vannes qui interdit que des messes publiques soient dites.
Samuel Pruvot, rédacteur en chef à Famille chrétienne, réagit au micro de Boulevard Voltaire après que l’évêque de Beauvais (Oise) a interdit les messes publiques
La politique ne se fait peut-être pas à la corbeille, comme disait de Gaulle, mais désormais, nos politiques nous expliquent comment jeter notre mouchoir en papier après usage.
Ce n’est pas parce qu’un masque ne protège pas du virus à 100 % qu’il est inutile d’en porter, de même que ce n’est pas parce que les contrôles aux frontières ne préviennent pas toujours entièrement la diffusion d’une épidémie qu’il faut y renoncer par principe.
Dans la frénésie actuelle, nos évêques français font du zèle : sans que personne ne leur demande rien, ils ferment leurs églises…
Heureusement, une bonne nouvelle. Les fabricants de masques et de gels désinfectants voyaient la vie en coronarose…
Le coronavirus pourrait être l’étincelle, le cygne noir de la prochaine crise économique. C’est moins la gravité sanitaire de l’épidémie qui inquiète que ses conséquences pour l’économie.
Dieu merci – on ne croit pas si bien dire -, il n’est pas encore recommandé aux prêtres de dire la messe avec un masque de protection.
« Ce n’est pas très dangereux, mais il faut prendre des mesures de protection très strictes », même s’il s’agit de mesures d’hygiène élémentaire. Le tout accompagné de conseils d’une terrifiante infantilisation…
Environ 300 passagers, en provenance de toutes les villes d’Asie. À l’arrivée à Roissy, aucun contrôle médical, ni blouse blanche, ni thermomètre. Une simple affichette…
Tel est l’engrenage de l’angoisse : le drame ultime de notre modernité.
L’Homo festivus, grand consommateur, grand voyageur et grand festoyeur, est prié de prendre garde à ce qu’il touche, à qui il rencontre, à veiller avec précaution à l’utilité et la destination de ses déplacements.
Que se passerait-il, en effet, s’il fallait confiner la population au sein d’un foyer émergent de Covid-19 sur un périmètre comprenant une zone de non-droit ?
Entre la classe politique, la presse et la Lombardie, le climat se tend.
Alors qu’on vient d’apprendre la mort du premier Français – l’enseignant d’un collège de l’Oise de 60 ans – atteint par le coronavirus, Boulevard Voltaire
L’impact de l’épidémie sur la « croissance » va être important.
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