COUP DE GRIFFE
Jusque-là, on était dans des disputes intestines, voire intestinales, au sein d’un PS devenu crépusculaire et groupusculaire.
Si cet accueil est exceptionnel et provisoire, comme on nous le dit à la télé, je ne vois pas ce qu’il y aurait de mal à utiliser les domaines présidentiels pour participer à l’effort…
Sandrine Rousseau, en vérité, n’a pas commis de faute de français… pour une fois.
Boyard, cela devenait évident, était venu faire un coup médiatique.
La visite du réseau RATP sur le toit d’une rame de métro suivie d’un saut à l’élastique depuis le perchoir de l’Assemblée nationale clôturera une année 2022 riche en fanfaronnades diverses.
« Ce projet n’a jamais été validé par la hiérarchie. Produit interne d’un service, il n’a aucune valeur officielle. » C’est ce qui s’appelle couvrir ses subordonnés.
En matière de lutte contre l’immigration légale comme clandestine, ni le député RN, ni Marine Le Pen, ni son père n’ont innové en la matière… La preuve par trois présidents de la République.
En brandissant cette menace, Macron fait de la dissuasion, il espère n’avoir pas besoin de s’en servir, car l’issue d’un nouveau scrutin ne lui serait pas a priori favorable.
Quatre mois qu’elle est au gouvernement, il était donc temps qu’elle fasse son épiphanie, si elle veut éviter de basculer dans la catégorie des ministres qui n’impriment pas.
Comme en pareil cas, Yannick Jadot appelle le Numéro Vert « Sandrine Assistance ».
Devons-nous nous attendre ensuite au contrôle technique des vélos ou des trottinettes ?
Carton plein, en tout cas, pour Sandrine Rousseau, qui a de nouveau réussi à enflammer la Toile en à peine quelques heures.
« Oh la boulette ! » Qui ne se souvient de François Pignon, interprété par le regretté Jacques Villeret, dans Le Dîner de cons ?
Une famille, c’est quoi, alors ? Un agrégat de gens qui se définissent comme famille. Et puis voilà.
Ce qui est intéressant, c’est que le voile de fiction qui avait été jeté sur le Covid, le faux sérieux des attestations, des slogans neuneus, etc., ce voile commence à se soulever.
Avoir avoir salué les employés, il éteint lumière et chauffage, ferme portes à double tour et rentre chez lui boire un bon vin chaud à la santé de ses gardiens de nuit bénévoles.
À l’heure où nos compatriotes faisaient des heures de queue pour pouvoir seulement aller travailler, cet optimisme a dû être apprécié à sa juste mesure.
Le rôle du politique, ce n’est pas de philosopher sur le « pourquoi » mais de se poser la question du « comment ». Comment faire pour qu’une telle horreur soit évitée…
Le temps des voitures débonnaires semble révolu.
Finalement, on se retrouve un peu dans les ambiances de fin de gilets Jaunes, épuisés après deux ans de mobilisation. Sauf qu’en l’occurrence, on n’est qu’au début.
Ce paradoxe religieux définit à lui seul l’action de la Libre Pensée qui, loin de lutter contre les atteintes à la laïcité comme le promet son manifeste, mène un combat résolument anticatholique.
Ne pas confondre assignation raciale et mauvaise éducation. Ensuite, ne pas essayer d’importer chez nous la guerre civile raciale qui fait partie de l’ADN américain. Est-ce trop demander à un ancien ministre ?
Il reste quelques Gaulois dans ce pays qui sont obligés de prendre leur bagnole pour aller bosser et conduire leurs enfants à l’école. On ne le leur a pas dit ?
Mariages éruptifs, éclats de voix et tapages divers ne sont que manifestations d’identités que le blanc-bec fermé au « vivre ensemble » rejette.
Quelques semaines seulement après l’assassinat de Mahsa Amini, ces lignes résonnent de manière plus profonde, plus étrange aussi. Certaines y ont laissé leur vie…
Au fait, cela ne vous a sans doute pas échappé qu’Agnès Pannier-Runacher a trouvé une nouvelle expression pour qualifier les pauvres : « Ceux qui sont en situation de sobriété subie. »
Dans une ultime tentative de déconstruction, Paul organisa une réunion Tupperware. En vain.
Jusque-là, on était dans des disputes intestines, voire intestinales, au sein d’un PS devenu crépusculaire et groupusculaire.
Si cet accueil est exceptionnel et provisoire, comme on nous le dit à la télé, je ne vois pas ce qu’il y aurait de mal à utiliser les domaines présidentiels pour participer à l’effort…
Sandrine Rousseau, en vérité, n’a pas commis de faute de français… pour une fois.
Boyard, cela devenait évident, était venu faire un coup médiatique.
La visite du réseau RATP sur le toit d’une rame de métro suivie d’un saut à l’élastique depuis le perchoir de l’Assemblée nationale clôturera une année 2022 riche en fanfaronnades diverses.
« Ce projet n’a jamais été validé par la hiérarchie. Produit interne d’un service, il n’a aucune valeur officielle. » C’est ce qui s’appelle couvrir ses subordonnés.
En matière de lutte contre l’immigration légale comme clandestine, ni le député RN, ni Marine Le Pen, ni son père n’ont innové en la matière… La preuve par trois présidents de la République.
En brandissant cette menace, Macron fait de la dissuasion, il espère n’avoir pas besoin de s’en servir, car l’issue d’un nouveau scrutin ne lui serait pas a priori favorable.
Quatre mois qu’elle est au gouvernement, il était donc temps qu’elle fasse son épiphanie, si elle veut éviter de basculer dans la catégorie des ministres qui n’impriment pas.
Comme en pareil cas, Yannick Jadot appelle le Numéro Vert « Sandrine Assistance ».
Devons-nous nous attendre ensuite au contrôle technique des vélos ou des trottinettes ?
Carton plein, en tout cas, pour Sandrine Rousseau, qui a de nouveau réussi à enflammer la Toile en à peine quelques heures.
« Oh la boulette ! » Qui ne se souvient de François Pignon, interprété par le regretté Jacques Villeret, dans Le Dîner de cons ?
Une famille, c’est quoi, alors ? Un agrégat de gens qui se définissent comme famille. Et puis voilà.
Ce qui est intéressant, c’est que le voile de fiction qui avait été jeté sur le Covid, le faux sérieux des attestations, des slogans neuneus, etc., ce voile commence à se soulever.
Avoir avoir salué les employés, il éteint lumière et chauffage, ferme portes à double tour et rentre chez lui boire un bon vin chaud à la santé de ses gardiens de nuit bénévoles.
À l’heure où nos compatriotes faisaient des heures de queue pour pouvoir seulement aller travailler, cet optimisme a dû être apprécié à sa juste mesure.
Le rôle du politique, ce n’est pas de philosopher sur le « pourquoi » mais de se poser la question du « comment ». Comment faire pour qu’une telle horreur soit évitée…
Le temps des voitures débonnaires semble révolu.
Finalement, on se retrouve un peu dans les ambiances de fin de gilets Jaunes, épuisés après deux ans de mobilisation. Sauf qu’en l’occurrence, on n’est qu’au début.
Ce paradoxe religieux définit à lui seul l’action de la Libre Pensée qui, loin de lutter contre les atteintes à la laïcité comme le promet son manifeste, mène un combat résolument anticatholique.
Ne pas confondre assignation raciale et mauvaise éducation. Ensuite, ne pas essayer d’importer chez nous la guerre civile raciale qui fait partie de l’ADN américain. Est-ce trop demander à un ancien ministre ?
Il reste quelques Gaulois dans ce pays qui sont obligés de prendre leur bagnole pour aller bosser et conduire leurs enfants à l’école. On ne le leur a pas dit ?
Mariages éruptifs, éclats de voix et tapages divers ne sont que manifestations d’identités que le blanc-bec fermé au « vivre ensemble » rejette.
Quelques semaines seulement après l’assassinat de Mahsa Amini, ces lignes résonnent de manière plus profonde, plus étrange aussi. Certaines y ont laissé leur vie…
Au fait, cela ne vous a sans doute pas échappé qu’Agnès Pannier-Runacher a trouvé une nouvelle expression pour qualifier les pauvres : « Ceux qui sont en situation de sobriété subie. »
Dans une ultime tentative de déconstruction, Paul organisa une réunion Tupperware. En vain.
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