COUP DE GRIFFE
Ne serait-il pas plus prudent d’enfermer tous les Blancs hétéros à titre préventif ?
Olivier Véran incarne la faillite de la crise du Covid, la suspension des soignants non vaccinés et la mise en place d’une politique des plus répressives avec le vote du passe sanitaire et du passe vaccinal.
Tout cela est consternant mais, fait rassurant (ou pas), la fonction présidentielle paraît soudain à la portée de n’importe quel bateleur.
Deux bien belles journées de remise en cause des « paradigmes patriarcal, hétéronormatif, capitaliste, colonial et suprémaciste » !
Pap Ndiaye a trouvé la cause de tous les maux de la société éducative et le sens profond de son action : il doit combattre avant tout le Rassemblement national, parti dans la République mais pas républicain.
Le comble, c’est que ces mouvements couvrant la quasi-totalité de l’échiquier politique ont tous appelé à voter Emmanuel Macron au second tour de la présidentielle pour sauver le même « arc républicain ».
Lors du G7 qui se tenait en Allemagne, le plaisant Boris Johnson suggère à la cantonade d’apparaître en chemise sur la photo de famille officielle afin de rivaliser avec la virilité de celui qu’ils souhaitent affaiblir.
J’en prends le pari, basé sur un agenda inversé aussi stupide qu’irréaliste : le green deal européen se soldera par un échec total comparable à celui de l’Energiewende allemand.
Autant que l’avis de ce germanopratin nous intéresse, c’est-à-dire peu ou prou, mettons-le tout de même face à ses contradictions lorsqu’il renvoie « les deux extrêmes » dos à dos.
Au fil de l’avancée du progressisme, le délayage verbal vient semer le trouble entre la réalité et le mot simple censé la décrire.
La première phrase de la députée Sandrine Rousseau sera le signe annonciateur d’une révolution syntaxique broyant l’antique masculin-féminin en une formule qui fera date : « Bravo à vous pour la magnifique campagne que vous avez fait et faite.
On pourrait presque reprendre la formule de René Coty : aujourd’hui, le premier des Français n’est plus vraiment le premier en France !
Grande semaine d’examens que cette semaine, disions-nous. Pour les lycéens mais aussi pour les Français. Examen de conscience dans l’isoloir.
Franchement, de bien belles images cinématographiques pour les actualités.
Quelle importance, l’essentiel est que l’école reste ludique pour les élèves, c’est bien l’objectif de nos pédagogistes, épigones de Bourdieu, depuis des dizaines d’années.
Le carrosse LFI se transforma en citrouille. Le courtisé de la veille avait mené sa campagne tambour battant et menaçait maintenant d’envahir l’Assemblée nationale.
Le parti se veut officiellement un peu plus nuancé, annonçant qu’en cas de duel NUPES/RN, les consignes de vote seront données au cas par cas. Mais pas pour le RN…
Donc, pour Bergoglio, porter un surplis dentelé serait porter atteinte au fameux esprit du Concile…
Jean-Luc Mélenchon a peur. À tout moment, un fou, un fanatique d’extrême droite ou un jobard de l’ultra-méga-extrême droite peut surgir et le faire passer de vie à trépas d’une quelconque manière.
Hélas ! Malgré toutes ces déclarations ébouriffantes, la France continue, année après année, de dégringoler au classement PISA.
En des temps voulant qu’on aboutisse aux simplifications administratives et à tailler dans le mille-feuilles bureaucratique, il n’est pas sûr qu’y surajouter une énième couche de ronds-de-cuir puisse faire figure d’initiative intelligible par le commun.
Le Rhône arrivait de la droite, la Marne ne l’a pas vu venir. Tout s’est mélangé. En réalité, la candidate est victime d’un dégât des eaux.
Alors ? Alors, on apprend aujourd’hui qu’il va y avoir des trous dans le bouclier tarifaire.
L’avalanche de plaintes, ainsi que la création d’une cellule de soutien psychologique par le club anglais qui semble ne pas désemplir, ne sont pas tout à fait « raccord » avec la façon dont le gouvernement français raconte l’histoire.
Il reste une semaine et demie pour sortir les Français de la salle de réanimation…
Au son des « peuchère », « en carette » et autres « boudiou », l’automobiliste parisien qui n’aura pas vraiment compris le sens des indications revivra les affres de ses parents.
Un dysfonctionnement, c’est technique, c’est dans les manuels qu’on a étudiés sur les bancs de l’ENA et de Science Po.
Une campagne électorale en cache toujours une autre. Celle qui vient avec l’élection des députés sera-t-elle perturbée par cette nouvelle étape du dossier McKinsey ?
Ne serait-il pas plus prudent d’enfermer tous les Blancs hétéros à titre préventif ?
Olivier Véran incarne la faillite de la crise du Covid, la suspension des soignants non vaccinés et la mise en place d’une politique des plus répressives avec le vote du passe sanitaire et du passe vaccinal.
Tout cela est consternant mais, fait rassurant (ou pas), la fonction présidentielle paraît soudain à la portée de n’importe quel bateleur.
Deux bien belles journées de remise en cause des « paradigmes patriarcal, hétéronormatif, capitaliste, colonial et suprémaciste » !
Pap Ndiaye a trouvé la cause de tous les maux de la société éducative et le sens profond de son action : il doit combattre avant tout le Rassemblement national, parti dans la République mais pas républicain.
Le comble, c’est que ces mouvements couvrant la quasi-totalité de l’échiquier politique ont tous appelé à voter Emmanuel Macron au second tour de la présidentielle pour sauver le même « arc républicain ».
Lors du G7 qui se tenait en Allemagne, le plaisant Boris Johnson suggère à la cantonade d’apparaître en chemise sur la photo de famille officielle afin de rivaliser avec la virilité de celui qu’ils souhaitent affaiblir.
J’en prends le pari, basé sur un agenda inversé aussi stupide qu’irréaliste : le green deal européen se soldera par un échec total comparable à celui de l’Energiewende allemand.
Autant que l’avis de ce germanopratin nous intéresse, c’est-à-dire peu ou prou, mettons-le tout de même face à ses contradictions lorsqu’il renvoie « les deux extrêmes » dos à dos.
Au fil de l’avancée du progressisme, le délayage verbal vient semer le trouble entre la réalité et le mot simple censé la décrire.
La première phrase de la députée Sandrine Rousseau sera le signe annonciateur d’une révolution syntaxique broyant l’antique masculin-féminin en une formule qui fera date : « Bravo à vous pour la magnifique campagne que vous avez fait et faite.
On pourrait presque reprendre la formule de René Coty : aujourd’hui, le premier des Français n’est plus vraiment le premier en France !
Grande semaine d’examens que cette semaine, disions-nous. Pour les lycéens mais aussi pour les Français. Examen de conscience dans l’isoloir.
Franchement, de bien belles images cinématographiques pour les actualités.
Quelle importance, l’essentiel est que l’école reste ludique pour les élèves, c’est bien l’objectif de nos pédagogistes, épigones de Bourdieu, depuis des dizaines d’années.
Le carrosse LFI se transforma en citrouille. Le courtisé de la veille avait mené sa campagne tambour battant et menaçait maintenant d’envahir l’Assemblée nationale.
Le parti se veut officiellement un peu plus nuancé, annonçant qu’en cas de duel NUPES/RN, les consignes de vote seront données au cas par cas. Mais pas pour le RN…
Donc, pour Bergoglio, porter un surplis dentelé serait porter atteinte au fameux esprit du Concile…
Jean-Luc Mélenchon a peur. À tout moment, un fou, un fanatique d’extrême droite ou un jobard de l’ultra-méga-extrême droite peut surgir et le faire passer de vie à trépas d’une quelconque manière.
Hélas ! Malgré toutes ces déclarations ébouriffantes, la France continue, année après année, de dégringoler au classement PISA.
En des temps voulant qu’on aboutisse aux simplifications administratives et à tailler dans le mille-feuilles bureaucratique, il n’est pas sûr qu’y surajouter une énième couche de ronds-de-cuir puisse faire figure d’initiative intelligible par le commun.
Le Rhône arrivait de la droite, la Marne ne l’a pas vu venir. Tout s’est mélangé. En réalité, la candidate est victime d’un dégât des eaux.
Alors ? Alors, on apprend aujourd’hui qu’il va y avoir des trous dans le bouclier tarifaire.
L’avalanche de plaintes, ainsi que la création d’une cellule de soutien psychologique par le club anglais qui semble ne pas désemplir, ne sont pas tout à fait « raccord » avec la façon dont le gouvernement français raconte l’histoire.
Il reste une semaine et demie pour sortir les Français de la salle de réanimation…
Au son des « peuchère », « en carette » et autres « boudiou », l’automobiliste parisien qui n’aura pas vraiment compris le sens des indications revivra les affres de ses parents.
Un dysfonctionnement, c’est technique, c’est dans les manuels qu’on a étudiés sur les bancs de l’ENA et de Science Po.
Une campagne électorale en cache toujours une autre. Celle qui vient avec l’élection des députés sera-t-elle perturbée par cette nouvelle étape du dossier McKinsey ?
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