Livres
C’est un univers de fantasmes, de délires d’ombres et de faisceaux tranchants comme des rasoirs que ce carrousel des ombres.
L’homme, solitaire, aussi bien par tempérament que par méthode, s’est assez mal accommodé d’un système entièrement captif, in fine, des turpitudes, bassesses et autres médiocrités de ses acteurs…
Chez ce précautionneux Harpagon des Lettres, le verbe se fait tellement cher, qu’il n’en réserve l’usage qu’aux grandes occasions.
264 notices, 107 contributeurs de 12 nationalités différentes, 1.213 pages feront, assurément, de ce monumental ouvrage une des sommes incontournables sur cette question aussi délicate
Et nous ne serons pas étonnés d’apprendre que les familles d’un bon niveau d’instruction refusent l’accès à l’outil numérique à leurs jeunes enfants, vont jusqu’à les envoyer dans des écoles privées…
Un livre clair et accessible sur un sujet fondamental : la révolution des robots.
Puis, il y a le gauchisme ambiant, ce qui explique qu’il faille attendre 1992 pour avoir le Diên Biên Phu, de Pierre Schoendoerffer…
Un essai très intéressant consacré au populisme, ou plutôt aux populismes, tant il est évident que les mouvements dits populistes véhiculent des idées très diverses en dépit de ce qu’ils partagent.
En signe de soutien à Éric Zemmour, et parce que la liberté d’expression est au cœur du combat de Boulevard Voltaire, nous avons choisi de
Que savons-nous de Salvini ? Peu de choses, essentiellement quelques clichés…
À rebours de la doxa dominante qui affirme que nous sommes ce que nous voulons être (ou le mythe narcissique de l’autoconstruction de soi) et des affirmations péremptoires de Simone de Beauvoir…
Quel titre ! Il est d’une violence sans aucun doute excessive. Mais le fond est tellement juste.
Julien Green confiait ne pas se reconnaître dans l’étiquette « romancier catholique ». Pas sûr qu’il se retrouverait dans celle d’écrivain LGBT que lui colle aujourd’hui l’auteur de Sodoma…
C’est sans doute une des plus belles surprises de la rentrée…
Notre benjamin de l’Académie française nous offre là un remarquable roman d’aventures qui est aussi un hymne à la nature.
Drieu demeure toujours, malgré tout, un « infréquentable ».
Pennacchi raconte ainsi l’histoire de sa propre famille. Il le fait dans un style aux accents céliniens,
La Terreur n’est pas apparue en 1793 à la faveur des graves difficultés intérieures et extérieures auxquelles était confronté le gouvernement révolutionnaire, mais dès le 14 juillet 1789…
Les philosophes défrichent les voies obscures de la vérité du monde. La tâche est ingrate, parfois herculéenne…
Ce livre est bref et poignant ; il n’a pas d’autre prétention que celle de parler des millions d’invisibles de cette « France de l’envers »…
En phase avec cette approche instruite de ce condensé de civilisation, l’appel à la « défense du vin contre les pisse-vinaigre » est une cause nationale.
En un mot, il propose d’accorder un statut coranique à des enclaves musulmanes sur le territoire français, sans partition ni apartheid.
Cet essai est un parfait mode d’emploi pour bien comprendre les enjeux de civilisation qui se cachent derrière ce qu’il est convenu d’appeler des progrès sociétaux.
Boucaud-Victoire reste animé par un souci quasi obsessionnel de laver Michéa de tout soupçon de « droitisme » réactionnaire. Vaine entreprise…
C’est que Jean Raspail, c’est bien connu, n’a jamais eu peur de mettre sa lampe frontale et ses mains dans le charbon pour descendre au fond de la mine.
François Jonquères n’hésite pas à être politiquement très incorrect : « Il est grand temps d’ouvrir nos yeux et de faire revivre une œuvre bien digne d’être chérie. »
C’est notre Cyrandré de Bercoffac, un roc qui garde le cap et ne ménage pas ses piques…
Ils étaient 1.038, les compagnons de la Libération, au lendemain de la guerre. Ils ne sont plus que quatre, aujourd’hui.
C’est un univers de fantasmes, de délires d’ombres et de faisceaux tranchants comme des rasoirs que ce carrousel des ombres.
L’homme, solitaire, aussi bien par tempérament que par méthode, s’est assez mal accommodé d’un système entièrement captif, in fine, des turpitudes, bassesses et autres médiocrités de ses acteurs…
Chez ce précautionneux Harpagon des Lettres, le verbe se fait tellement cher, qu’il n’en réserve l’usage qu’aux grandes occasions.
264 notices, 107 contributeurs de 12 nationalités différentes, 1.213 pages feront, assurément, de ce monumental ouvrage une des sommes incontournables sur cette question aussi délicate
Et nous ne serons pas étonnés d’apprendre que les familles d’un bon niveau d’instruction refusent l’accès à l’outil numérique à leurs jeunes enfants, vont jusqu’à les envoyer dans des écoles privées…
Un livre clair et accessible sur un sujet fondamental : la révolution des robots.
Puis, il y a le gauchisme ambiant, ce qui explique qu’il faille attendre 1992 pour avoir le Diên Biên Phu, de Pierre Schoendoerffer…
Un essai très intéressant consacré au populisme, ou plutôt aux populismes, tant il est évident que les mouvements dits populistes véhiculent des idées très diverses en dépit de ce qu’ils partagent.
En signe de soutien à Éric Zemmour, et parce que la liberté d’expression est au cœur du combat de Boulevard Voltaire, nous avons choisi de
Que savons-nous de Salvini ? Peu de choses, essentiellement quelques clichés…
À rebours de la doxa dominante qui affirme que nous sommes ce que nous voulons être (ou le mythe narcissique de l’autoconstruction de soi) et des affirmations péremptoires de Simone de Beauvoir…
Quel titre ! Il est d’une violence sans aucun doute excessive. Mais le fond est tellement juste.
Julien Green confiait ne pas se reconnaître dans l’étiquette « romancier catholique ». Pas sûr qu’il se retrouverait dans celle d’écrivain LGBT que lui colle aujourd’hui l’auteur de Sodoma…
C’est sans doute une des plus belles surprises de la rentrée…
Notre benjamin de l’Académie française nous offre là un remarquable roman d’aventures qui est aussi un hymne à la nature.
Drieu demeure toujours, malgré tout, un « infréquentable ».
Pennacchi raconte ainsi l’histoire de sa propre famille. Il le fait dans un style aux accents céliniens,
La Terreur n’est pas apparue en 1793 à la faveur des graves difficultés intérieures et extérieures auxquelles était confronté le gouvernement révolutionnaire, mais dès le 14 juillet 1789…
Les philosophes défrichent les voies obscures de la vérité du monde. La tâche est ingrate, parfois herculéenne…
Ce livre est bref et poignant ; il n’a pas d’autre prétention que celle de parler des millions d’invisibles de cette « France de l’envers »…
En phase avec cette approche instruite de ce condensé de civilisation, l’appel à la « défense du vin contre les pisse-vinaigre » est une cause nationale.
En un mot, il propose d’accorder un statut coranique à des enclaves musulmanes sur le territoire français, sans partition ni apartheid.
Cet essai est un parfait mode d’emploi pour bien comprendre les enjeux de civilisation qui se cachent derrière ce qu’il est convenu d’appeler des progrès sociétaux.
Boucaud-Victoire reste animé par un souci quasi obsessionnel de laver Michéa de tout soupçon de « droitisme » réactionnaire. Vaine entreprise…
C’est que Jean Raspail, c’est bien connu, n’a jamais eu peur de mettre sa lampe frontale et ses mains dans le charbon pour descendre au fond de la mine.
François Jonquères n’hésite pas à être politiquement très incorrect : « Il est grand temps d’ouvrir nos yeux et de faire revivre une œuvre bien digne d’être chérie. »
C’est notre Cyrandré de Bercoffac, un roc qui garde le cap et ne ménage pas ses piques…
Ils étaient 1.038, les compagnons de la Libération, au lendemain de la guerre. Ils ne sont plus que quatre, aujourd’hui.
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