Livres
Samuel Fitoussi analyse analyse avec précision « l’asservissement de la fiction à l’idéologie woke ».
Un livre efficace et salvateur dans l’agitation et le bruit du quotidien.
Le nouveau mouvement antiraciste est en effet une aubaine pour les tenants de l’islam politique.
Cette autobiographie est l’occasion d’entendre, comme dans tout procès équitable, ce que dit l’accusé pour sa défense.
La mouvante tolérance a laissé la place au sectarisme le plus rigide.
Une lecture jeunesse de premier choix pour les vacances d’été.
Ce grand détournement du droit d’asile est le fruit d’années de travail d’associations d’extrême-gauche subventionnées.
Ce témoignage magnifique, très simple et très humain, fait chaud au cœur.
L’auteur relate l’impact des changements climatiques sur l’évolution des Sapiens, de -230 000 ans jusqu’à nous.
Sa liberté sur ces sujets délicats n’est donc pas celle du fou mais celle du savant. Il a le courage d’en user en conscience dans un domaine (un de plus) dans lequel le moindre écart, la moindre erreur, la moindre divergence vous vaut aussitôt l’enfer médiatique.
Avec beaucoup de sens didactique, et même de patience, Alexis Rostand dédiabolise la finance, explique que la pratique des vertus peut la faire avancer dans le bon sens…
Avec Roselyne Bachelot, le désastre culturel prend un tour jubilatoire.
Patrick Besson n’aura pas le Nobel. Il n’aura que des lecteurs.
En plus d’une écriture enlevée, souvent drôle, et d’un certain nombre de péripéties qui se lisent d’une traite, l’auteur soulève des questions philosophiques centrales pour notre civilisation moderne.
Néanmoins, on voit et on comprend à quel point le combat des idées n’est pas « une défaite à nuancer », pour reprendre les termes de l’auteur, mais bel et bien une victoire.
À la fin de la lecture, que reste-t-il ? Pas grand-chose. Ce livre qui se voulait être un manifeste politique ne restera dans les esprits que comme une collection de slogans et de formules plus ou moins bien tournées.
Ce roman, qui connut un immense succès, est une petite merveille. L’intrigue est haletante, parfaitement construite et les pages se tournent de plus en plus vite.
Certains se demanderont s’il faut vraiment lire ces 1.600 pages (en Folio) alors qu’ils connaissent l’histoire grâce au film. Oui, sans hésiter…
Une délicieuse détente littéraire.
Le marais change. Des jeunes s’en vont.
Ce petit roman s’attaque résolument au modernisme et à ses multiples travers.
Andreï Makine a écrit un beau livre sur le malheur arménien. Il a choisi un ton intimiste, tout en retenue, qui donne au roman une douceur apaisante malgré la dureté du contexte.
Considéré par les Anglais comme l’inventeur du roman policier, Wilkie Collins connut un grand succès et sa redécouverte récente est particulièrement heureuse.
L’auteur analyse brillamment les fondements du nouveau pouvoir russe et nous fait comprendre comment et pourquoi l’arrivée de Poutine correspondait à une attente du peuple.
Une belle réussite romanesque aux rebondissements garantis mais aussi d’une profondeur impressionnante.
Cette année encore, notre contributeur Antoine de Lacoste nous propose quelques lectures pour l’été. Souvent hors des chemins battus… Zouleikha est une Tatare, non de
Praron regarde avec un œil vrai les soubresauts de l’époque, ses déviances, ses renoncements, ses faux-semblants, ses destructions et le cortège des misères qui l’accompagne.
« Aujourd’hui, la question principale n’est plus de savoir si un attentat sera commis sur le territoire national, mais quand. »
Samuel Fitoussi analyse analyse avec précision « l’asservissement de la fiction à l’idéologie woke ».
Un livre efficace et salvateur dans l’agitation et le bruit du quotidien.
Le nouveau mouvement antiraciste est en effet une aubaine pour les tenants de l’islam politique.
Cette autobiographie est l’occasion d’entendre, comme dans tout procès équitable, ce que dit l’accusé pour sa défense.
La mouvante tolérance a laissé la place au sectarisme le plus rigide.
Une lecture jeunesse de premier choix pour les vacances d’été.
Ce grand détournement du droit d’asile est le fruit d’années de travail d’associations d’extrême-gauche subventionnées.
Ce témoignage magnifique, très simple et très humain, fait chaud au cœur.
L’auteur relate l’impact des changements climatiques sur l’évolution des Sapiens, de -230 000 ans jusqu’à nous.
Sa liberté sur ces sujets délicats n’est donc pas celle du fou mais celle du savant. Il a le courage d’en user en conscience dans un domaine (un de plus) dans lequel le moindre écart, la moindre erreur, la moindre divergence vous vaut aussitôt l’enfer médiatique.
Avec beaucoup de sens didactique, et même de patience, Alexis Rostand dédiabolise la finance, explique que la pratique des vertus peut la faire avancer dans le bon sens…
Avec Roselyne Bachelot, le désastre culturel prend un tour jubilatoire.
Patrick Besson n’aura pas le Nobel. Il n’aura que des lecteurs.
En plus d’une écriture enlevée, souvent drôle, et d’un certain nombre de péripéties qui se lisent d’une traite, l’auteur soulève des questions philosophiques centrales pour notre civilisation moderne.
Néanmoins, on voit et on comprend à quel point le combat des idées n’est pas « une défaite à nuancer », pour reprendre les termes de l’auteur, mais bel et bien une victoire.
À la fin de la lecture, que reste-t-il ? Pas grand-chose. Ce livre qui se voulait être un manifeste politique ne restera dans les esprits que comme une collection de slogans et de formules plus ou moins bien tournées.
Ce roman, qui connut un immense succès, est une petite merveille. L’intrigue est haletante, parfaitement construite et les pages se tournent de plus en plus vite.
Certains se demanderont s’il faut vraiment lire ces 1.600 pages (en Folio) alors qu’ils connaissent l’histoire grâce au film. Oui, sans hésiter…
Une délicieuse détente littéraire.
Le marais change. Des jeunes s’en vont.
Ce petit roman s’attaque résolument au modernisme et à ses multiples travers.
Andreï Makine a écrit un beau livre sur le malheur arménien. Il a choisi un ton intimiste, tout en retenue, qui donne au roman une douceur apaisante malgré la dureté du contexte.
Considéré par les Anglais comme l’inventeur du roman policier, Wilkie Collins connut un grand succès et sa redécouverte récente est particulièrement heureuse.
L’auteur analyse brillamment les fondements du nouveau pouvoir russe et nous fait comprendre comment et pourquoi l’arrivée de Poutine correspondait à une attente du peuple.
Une belle réussite romanesque aux rebondissements garantis mais aussi d’une profondeur impressionnante.
Cette année encore, notre contributeur Antoine de Lacoste nous propose quelques lectures pour l’été. Souvent hors des chemins battus… Zouleikha est une Tatare, non de
Praron regarde avec un œil vrai les soubresauts de l’époque, ses déviances, ses renoncements, ses faux-semblants, ses destructions et le cortège des misères qui l’accompagne.
« Aujourd’hui, la question principale n’est plus de savoir si un attentat sera commis sur le territoire national, mais quand. »
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