Musique
Le concours est élitiste, il sélectionne les meilleurs. C’est entendu. Faudrait-il faire une place dans l’élite aux médiocres ?
À l’heure où 80 % de Français adhèrent à une théorie du complot, il n’y a aucune raison de jeter la pierre à Mennel.
Cette femme aurait identifié son géniteur, Claude François, décédé en 1978. Elle sort de l’ombre à 40 ans et écrit à ses supposés deux demi-frères pour tenter de nouer, même tardivement, des liens familiaux.
Quand la laïcité devient folle, ce sont les écoliers qui en subissent les conséquences. L’histoire d’un instituteur du Berry illustre, malheureusement, cette dérive.
Elon Musk, génial créateur américain de nouveaux services, moyens et objets – tels PayPal, île artificielle et voitures électriques Tesla, en particulier -, vient de concrétiser son dernier rêve, extrêmement fou.
En dépit d’une intéressante reconstitution historique, le film, hélas, n’est pas d’une grande subtilité.
Samedi soir sur France 2 le duo « Madame Monsieur » a gagné le droit de représenter la France à l’Eurovision…
Une stupide légende urbaine tendrait à nous faire croire que tous les rockers seraient de gauche, fatalement de gauche.
On a tous plaisanté sur le nom de la chanteuse qui fleurait bon l’Ovalie et le Tournoi des Six Nations, sans que cela ne l’indispose, au contraire.
Au revoir, petite France, partie en même temps qu’un pan de notre adolescence.
Ouvrons les yeux. Admettons-le une fois pour toutes. La France n’est pas seulement déchristianisée, elle est déspiritualisée, ce qui est plus grave.
Ce qu’ils appellent liberté, nous l’appelons soumission.
Ainsi va la démocratie au pays des Lumières et de la liberté d’expression, en 2018, sous la présidence de M. Macron.
Parler vrai est la meilleure preuve de la considération due aux citoyens, et l’humilité reste la marque des plus grands.
L’orchestre symphonique de Boston vient d’être invité à diversifier sa programmation.
À nous de reprendre le flambeau si nous ne voulons pas être une génération « à blanc », qui n’aura rien à dire aux siècles futurs.
Je pense que le conservateur est aujourd’hui le seul vrai révolutionnaire !
Le 25 décembre, nous célébrerons le 124e anniversaire de sa mort.
S’il y a bien une frontière difficile à tracer, c’est celle qui sépare l’artisanat de l’art.
Dans le discours présidentiel en hommage à Johnny Hallyday, un oubli m’a frappé.
L’aide humanitaire est une tâche ingrate qui s’accorde mal avec la publicité personnelle.
J’imaginais bien la multitude, l’hommage populaire, les larmes et la nostalgie. Mais pas à ce point.
Johnny Halliday était – sans doute avec Alain Delon – l’un des derniers vrais mâles français admis dans le paysage médiatique.
Des milliers de « fans », une énorme escorte de « bikers », des « standards » à 150 décibels…
Pour lui, seule l’immense émotion populaire suscitée, jadis, par la disparition d’Edith Piaf est comparable à celle qu’éprouvent les Français aujourd’hui.
Sur Johnny dont les rythmes et les chansons ont ému plusieurs générations, tout a été dit.
C’était un grand chanteur qui restera dans les mémoires et qu’on entendra longtemps, longtemps après qu’il a disparu.
On le sait, il n’y a pas de demi-mesure sur les réseaux sociaux : ou l’on conspue, ou l’on encense.
Le concours est élitiste, il sélectionne les meilleurs. C’est entendu. Faudrait-il faire une place dans l’élite aux médiocres ?
À l’heure où 80 % de Français adhèrent à une théorie du complot, il n’y a aucune raison de jeter la pierre à Mennel.
Cette femme aurait identifié son géniteur, Claude François, décédé en 1978. Elle sort de l’ombre à 40 ans et écrit à ses supposés deux demi-frères pour tenter de nouer, même tardivement, des liens familiaux.
Quand la laïcité devient folle, ce sont les écoliers qui en subissent les conséquences. L’histoire d’un instituteur du Berry illustre, malheureusement, cette dérive.
Elon Musk, génial créateur américain de nouveaux services, moyens et objets – tels PayPal, île artificielle et voitures électriques Tesla, en particulier -, vient de concrétiser son dernier rêve, extrêmement fou.
En dépit d’une intéressante reconstitution historique, le film, hélas, n’est pas d’une grande subtilité.
Samedi soir sur France 2 le duo « Madame Monsieur » a gagné le droit de représenter la France à l’Eurovision…
Une stupide légende urbaine tendrait à nous faire croire que tous les rockers seraient de gauche, fatalement de gauche.
On a tous plaisanté sur le nom de la chanteuse qui fleurait bon l’Ovalie et le Tournoi des Six Nations, sans que cela ne l’indispose, au contraire.
Au revoir, petite France, partie en même temps qu’un pan de notre adolescence.
Ouvrons les yeux. Admettons-le une fois pour toutes. La France n’est pas seulement déchristianisée, elle est déspiritualisée, ce qui est plus grave.
Ce qu’ils appellent liberté, nous l’appelons soumission.
Ainsi va la démocratie au pays des Lumières et de la liberté d’expression, en 2018, sous la présidence de M. Macron.
Parler vrai est la meilleure preuve de la considération due aux citoyens, et l’humilité reste la marque des plus grands.
L’orchestre symphonique de Boston vient d’être invité à diversifier sa programmation.
À nous de reprendre le flambeau si nous ne voulons pas être une génération « à blanc », qui n’aura rien à dire aux siècles futurs.
Je pense que le conservateur est aujourd’hui le seul vrai révolutionnaire !
Le 25 décembre, nous célébrerons le 124e anniversaire de sa mort.
S’il y a bien une frontière difficile à tracer, c’est celle qui sépare l’artisanat de l’art.
Dans le discours présidentiel en hommage à Johnny Hallyday, un oubli m’a frappé.
L’aide humanitaire est une tâche ingrate qui s’accorde mal avec la publicité personnelle.
J’imaginais bien la multitude, l’hommage populaire, les larmes et la nostalgie. Mais pas à ce point.
Johnny Halliday était – sans doute avec Alain Delon – l’un des derniers vrais mâles français admis dans le paysage médiatique.
Des milliers de « fans », une énorme escorte de « bikers », des « standards » à 150 décibels…
Pour lui, seule l’immense émotion populaire suscitée, jadis, par la disparition d’Edith Piaf est comparable à celle qu’éprouvent les Français aujourd’hui.
Sur Johnny dont les rythmes et les chansons ont ému plusieurs générations, tout a été dit.
C’était un grand chanteur qui restera dans les mémoires et qu’on entendra longtemps, longtemps après qu’il a disparu.
On le sait, il n’y a pas de demi-mesure sur les réseaux sociaux : ou l’on conspue, ou l’on encense.
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