Culture
Le « cinéma de genre » hexagonal, de toute évidence, n’est donc pas encore mort et enterré.
Pour France Culture, toute culture n’est pas bonne. En l’espèce, toute musique ne l’est pas
Ce sont bien du pur Chana Orloff que ces têtes sculptées avec le parti pris d’aller à l’essentiel.
Et comme ont dit dans le métier, le public a toujours raison.
Il faut du courage pour affronter le « camp du bien » et ses « matons de Panurge », comme les appelait Muray.
Franck Leroy, à sa façon, a lui aussi compris l’importance du culturel… mais c’est pour acheter la paix à gauche.
Enki Bilal aura prouvé que l’on peut avoir le pinceau sûr et la cervelle bien affûtée.
La ligne est claire : « Nous ne voulons pas qu’on touche à nos boîtes. »
La France ne s’intéresse plus à ses héros ; en tout cas, pas suffisamment.
De petits non-dits à la troncature de pans complets, tout est fait pour accréditer la culpabilité de l’homme blanc.
Le défi lancé au français et à la France par l’expansion de l’arabe en métropole nécessitera des actes volontaristes.
Comment les êtres humains, leurs familles, les amours de leur vie ont-ils traversé ces fleuves de sang ?
Pour financer son projet, le réalisateur a obtenu des fonds publics, qui constituent plus du tiers du budget.
Oubliez aussi les chants traditionnels ringards. La chorale Y Birds a été dépêchée pour proposer des « temps musicaux ».
L’Histoire et la France refusent avec vigueur le devoir qu’on leur impose de mourir dans l’indignité.
Dénonciation des « violences policières », défense des migrants, l’artiste coche toutes les cases du candidat Eurovision
L’art de Modigliani n’est jamais si systématique qu’il en a l’air.
C’est un peu le principe de ces titres inédits : ils auraient souvent dû le rester.
L’ouvrage fait finalement ressortir combien l’égalité est en fait le pire ennemi de la liberté.
Pour le moment, les activistes ne s’en sont pris ni aux arts premiers ni aux arts de l’islam. Le hasard, sans doute.
Une pièce salutaire qui combat la médiocrité et redonne du souffle à la pureté de l’idéal amoureux.
Heureux que l’événement annoncé ne se situe pas à la Cité internationale de la langue française de Villers-Cotterêts !
Heureusement pour eux, ces volatiles auront tout de même le droit de conserver leur appellation latine.
Dans Le Sceptre et la Plume (Perrin), Bruno de Cessole dresse une formidable galerie d’hommes de lettres et de pouvoir.
Interpellée mardi à l’Assemblée sur la dépêche AFP polémique du 27 octobre, la ministre a botté en touche.
Cette conversion n’est pas convaincante.
Avant d’être picturale, cette influence est celle d’un art de vivre et d’une sociabilité.
Chacun à sa manière, Kuntz et Le Drian montrent que le combat contre les destructeurs n’est pas vain.
Le « cinéma de genre » hexagonal, de toute évidence, n’est donc pas encore mort et enterré.
Pour France Culture, toute culture n’est pas bonne. En l’espèce, toute musique ne l’est pas
Ce sont bien du pur Chana Orloff que ces têtes sculptées avec le parti pris d’aller à l’essentiel.
Et comme ont dit dans le métier, le public a toujours raison.
Il faut du courage pour affronter le « camp du bien » et ses « matons de Panurge », comme les appelait Muray.
Franck Leroy, à sa façon, a lui aussi compris l’importance du culturel… mais c’est pour acheter la paix à gauche.
Enki Bilal aura prouvé que l’on peut avoir le pinceau sûr et la cervelle bien affûtée.
La ligne est claire : « Nous ne voulons pas qu’on touche à nos boîtes. »
La France ne s’intéresse plus à ses héros ; en tout cas, pas suffisamment.
De petits non-dits à la troncature de pans complets, tout est fait pour accréditer la culpabilité de l’homme blanc.
Le défi lancé au français et à la France par l’expansion de l’arabe en métropole nécessitera des actes volontaristes.
Comment les êtres humains, leurs familles, les amours de leur vie ont-ils traversé ces fleuves de sang ?
Pour financer son projet, le réalisateur a obtenu des fonds publics, qui constituent plus du tiers du budget.
Oubliez aussi les chants traditionnels ringards. La chorale Y Birds a été dépêchée pour proposer des « temps musicaux ».
L’Histoire et la France refusent avec vigueur le devoir qu’on leur impose de mourir dans l’indignité.
Dénonciation des « violences policières », défense des migrants, l’artiste coche toutes les cases du candidat Eurovision
L’art de Modigliani n’est jamais si systématique qu’il en a l’air.
C’est un peu le principe de ces titres inédits : ils auraient souvent dû le rester.
L’ouvrage fait finalement ressortir combien l’égalité est en fait le pire ennemi de la liberté.
Pour le moment, les activistes ne s’en sont pris ni aux arts premiers ni aux arts de l’islam. Le hasard, sans doute.
Une pièce salutaire qui combat la médiocrité et redonne du souffle à la pureté de l’idéal amoureux.
Heureux que l’événement annoncé ne se situe pas à la Cité internationale de la langue française de Villers-Cotterêts !
Heureusement pour eux, ces volatiles auront tout de même le droit de conserver leur appellation latine.
Dans Le Sceptre et la Plume (Perrin), Bruno de Cessole dresse une formidable galerie d’hommes de lettres et de pouvoir.
Interpellée mardi à l’Assemblée sur la dépêche AFP polémique du 27 octobre, la ministre a botté en touche.
Cette conversion n’est pas convaincante.
Avant d’être picturale, cette influence est celle d’un art de vivre et d’une sociabilité.
Chacun à sa manière, Kuntz et Le Drian montrent que le combat contre les destructeurs n’est pas vain.
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