Culture
Depuis l’affaire Duhamel et le salutaire sursaut contre les complaisances pédophiles de tous ordres ces cinquante dernières années, on pouvait penser que ces postures libertaires avaient vécu.
Même si d’humeur traditionnellement bougonne, il n’est pas incongru de penser qu’ils puissent regretter le monde de naguère.
Sous le coup de la pression idéologique en vigueur, un auteur de bandes dessinées amusantes se croit désormais obligé de s’entourer de toute une batterie de précautions oratoires…
Hélas ! Millésime K est patriote, il aime la France, il déteste les racailles, il connaît notre Histoire… et il le dit.
Aucun d’eux ne supporte qu’une journaliste, d’origine tunisienne, aime la France et la défende.
Une politique culturelle qui subventionne largement le spectacle vivant et l’art contemporain, mais qui a un seul problème, et pas des moindres : ces festivals ne sont pas tournés vers le grand public.
Remercions cet homme jalousé, qui, d’une ligne claire, a poussé des générations de petits garçons d’Europe à vouloir être, comme lui, des Tintin : aventureux ou pas, ouverts aux autres et le cœur généreux.
Pendant quarante minutes, avec érudition, poésie et – qualité de plus en plus rare – une distinction sans obséquiosité, le désormais meilleur sommelier de France fait un sans-faute.
The Fabelmans est un film parfaitement maîtrisé, savamment dosé entre humour et drame, et riche d’informations pour ceux qui s’intéressent à la trajectoire de Spielberg.
Pour cette célébration de films confidentiels, la revendication dérisoire d’une hurluberlu écolo vient parachever la démarche.
N’en déplaise aux nouveaux inquisiteurs, James Bond est un produit de son époque. On aime ou on n’aime pas, mais réécrit au goût du jour, même modérément, il ne signifie plus rien.
À notre époque plus pessimiste, il est toujours bon de se rappeler comment naît et croît l’amitié entre deux peuples, et les fruits que celle-ci produit.
La nouvelle reine consort d’Angleterre a appelé les écrivains à ne pas se laisser impressionner par « ceux qui veulent restreindre votre liberté d’expression ou imposer des limites à votre imagination ».
Le destin tragique de cette femme issue de la petite noblesse russe qui jeta son dévolu sur Tchaïkovski.
Était-il donc véritablement si urgent de célébrer la mémoire de Kurt Cobain ?
Sa liberté sur ces sujets délicats n’est donc pas celle du fou mais celle du savant. Il a le courage d’en user en conscience dans un domaine (un de plus) dans lequel le moindre écart, la moindre erreur, la moindre divergence vous vaut aussitôt l’enfer médiatique.
BHL sortira, le 22 février, un film sur la résistance de l’Ukraine, Slava Ukraini. On pourrait rêver d’une ode patriotique, d’une conversion subite de ce mondialiste échevelé aux vertus de la patrie. Hélas…
Pour ces futurs adultes froissés par le monde qu’ils découvrent, un seul métier possible : lecteur ultra-sensible.
« Monsieur le Président, il est temps d’agir pour préserver notre héritage plurimillénaire. »
Il faut se poser la question de savoir pourquoi Charette (excellemment interprété par Hugo Becker) n’a jamais fait l’objet d’un précédent film au cinéma.
L’auteur du Malade imaginaire était furieusement royaliste.
Lydia Tár a décidément tout pour être en phase avec son époque. Lesbienne, indépendante, charismatique et autoritaire, elle dirige en Allemagne un grand orchestre symphonique et multiplie les projets…
Ce tropisme antifrançais pratiqué à Hollywood est de notoriété publique depuis belle lurette.
Pourquoi sa mort ne rencontre-t-elle qu’une relative indifférence ? Peut-être parce que les compositeurs ne sont plus tellement célébrés, à l’heure où ce qui n’est pas chanté en costume de poule sur TikTok est réputé ne pas avoir existé ?
Subitement devenu inarrêtable, il a livré un monologue à la fois stupide, vulgaire et agressif, face à un journaliste honnêtement admirable de constance et de calme
L’implication politique de Disney est allée loin et lui a coûté très cher.
Mieux que de simples héros de bande dessinée, c’est encore un univers complet que Hergé a créé.
On n’a même pas l’impression qu’il soit mort, car au fond, Louis de Funès n’a jamais quitté la télévision.
Depuis l’affaire Duhamel et le salutaire sursaut contre les complaisances pédophiles de tous ordres ces cinquante dernières années, on pouvait penser que ces postures libertaires avaient vécu.
Même si d’humeur traditionnellement bougonne, il n’est pas incongru de penser qu’ils puissent regretter le monde de naguère.
Sous le coup de la pression idéologique en vigueur, un auteur de bandes dessinées amusantes se croit désormais obligé de s’entourer de toute une batterie de précautions oratoires…
Hélas ! Millésime K est patriote, il aime la France, il déteste les racailles, il connaît notre Histoire… et il le dit.
Aucun d’eux ne supporte qu’une journaliste, d’origine tunisienne, aime la France et la défende.
Une politique culturelle qui subventionne largement le spectacle vivant et l’art contemporain, mais qui a un seul problème, et pas des moindres : ces festivals ne sont pas tournés vers le grand public.
Remercions cet homme jalousé, qui, d’une ligne claire, a poussé des générations de petits garçons d’Europe à vouloir être, comme lui, des Tintin : aventureux ou pas, ouverts aux autres et le cœur généreux.
Pendant quarante minutes, avec érudition, poésie et – qualité de plus en plus rare – une distinction sans obséquiosité, le désormais meilleur sommelier de France fait un sans-faute.
The Fabelmans est un film parfaitement maîtrisé, savamment dosé entre humour et drame, et riche d’informations pour ceux qui s’intéressent à la trajectoire de Spielberg.
Pour cette célébration de films confidentiels, la revendication dérisoire d’une hurluberlu écolo vient parachever la démarche.
N’en déplaise aux nouveaux inquisiteurs, James Bond est un produit de son époque. On aime ou on n’aime pas, mais réécrit au goût du jour, même modérément, il ne signifie plus rien.
À notre époque plus pessimiste, il est toujours bon de se rappeler comment naît et croît l’amitié entre deux peuples, et les fruits que celle-ci produit.
La nouvelle reine consort d’Angleterre a appelé les écrivains à ne pas se laisser impressionner par « ceux qui veulent restreindre votre liberté d’expression ou imposer des limites à votre imagination ».
Le destin tragique de cette femme issue de la petite noblesse russe qui jeta son dévolu sur Tchaïkovski.
Était-il donc véritablement si urgent de célébrer la mémoire de Kurt Cobain ?
Sa liberté sur ces sujets délicats n’est donc pas celle du fou mais celle du savant. Il a le courage d’en user en conscience dans un domaine (un de plus) dans lequel le moindre écart, la moindre erreur, la moindre divergence vous vaut aussitôt l’enfer médiatique.
BHL sortira, le 22 février, un film sur la résistance de l’Ukraine, Slava Ukraini. On pourrait rêver d’une ode patriotique, d’une conversion subite de ce mondialiste échevelé aux vertus de la patrie. Hélas…
Pour ces futurs adultes froissés par le monde qu’ils découvrent, un seul métier possible : lecteur ultra-sensible.
« Monsieur le Président, il est temps d’agir pour préserver notre héritage plurimillénaire. »
Il faut se poser la question de savoir pourquoi Charette (excellemment interprété par Hugo Becker) n’a jamais fait l’objet d’un précédent film au cinéma.
L’auteur du Malade imaginaire était furieusement royaliste.
Lydia Tár a décidément tout pour être en phase avec son époque. Lesbienne, indépendante, charismatique et autoritaire, elle dirige en Allemagne un grand orchestre symphonique et multiplie les projets…
Ce tropisme antifrançais pratiqué à Hollywood est de notoriété publique depuis belle lurette.
Pourquoi sa mort ne rencontre-t-elle qu’une relative indifférence ? Peut-être parce que les compositeurs ne sont plus tellement célébrés, à l’heure où ce qui n’est pas chanté en costume de poule sur TikTok est réputé ne pas avoir existé ?
Subitement devenu inarrêtable, il a livré un monologue à la fois stupide, vulgaire et agressif, face à un journaliste honnêtement admirable de constance et de calme
L’implication politique de Disney est allée loin et lui a coûté très cher.
Mieux que de simples héros de bande dessinée, c’est encore un univers complet que Hergé a créé.
On n’a même pas l’impression qu’il soit mort, car au fond, Louis de Funès n’a jamais quitté la télévision.
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