Culture
Pourquoi tant de fureur ? Tout simplement parce que la Révolution est le mythe fondateur de la République.
Le monde du cinéma au fond du puits se permet de toiser le Puy du Fou.
« Le Puy du Fourbe ». Le jeu de mots est malin, l’attaque est cinglante.
Qui veut faire l’ange fait la bête, dit-on. Dans le cas de David Crosby, l’inverse peut aussi être vrai.
Avec beaucoup de sens didactique, et même de patience, Alexis Rostand dédiabolise la finance, explique que la pratique des vertus peut la faire avancer dans le bon sens…
Comme le décrivait si bien Philippe Muray dans ses livres dédiés à l’Homo festivus, France Télévisions vous promet avec vos deniers « rire, générosité, bonne humeur et complicité ».
Indochine continue à jouer les divas, mais Jeff Beck, lui, plus jamais ne jouera.
Au comptoir de BV, Marc Baudriller discute avec Maz Guazzini, ancien patron du groupe NRJ et du Stade Français.
Pour les organisateurs, le temps est venu de partir en quête d’une commune pas trop en désaccord avec l’idéologie du bobo perclus de jolis sentiments.
La cancel culture, c’est aussi cela : entre faire vaciller une statue, une église, à grands coups de butoir et la laisser à l’abandon jusqu’à ce qu’elle s’effondre, il n’y a qu’une différence d’horloge.
Si les Grecs obtiennent gain de cause, la boîte de Pandore risque de s’ouvrir pour les grands musées occidentaux.
Avec Roselyne Bachelot, le désastre culturel prend un tour jubilatoire.
Dimitri Casali, historien et professeur d’Histoire, présente son nouveau livre 100 dates de l’Histoire de France qui ont fait le monde aux lecteurs de Boulevard
La littérature prétentieuse, officielle, n’aime pas les histoires qui finissent bien, ni les familles, d’ailleurs. C’est dommage. Françoise Bourdin, elle, n’en avait cure.
Il est un petit village de Vendée où l’on peut venir s’émerveiller devant des crèches sans que la Justice n’ordonne de les démonter. Ici, les santons ne sont pas symboles d’interdiction mais objets d’admiration…
Mais ça, c’était avant, car Noël 2022 ne semble pas particulièrement placé sous ces réjouissants auspices.
D’autres questions, d’ailleurs, auraient pu être abordées : pourquoi si peu de femmes en première ligne dans les combats ? Où est la parité devant la souffrance et la mort ?
« Laisser notre patrimoine à l’abandon, c’est perdre notre identité, perdre notre mémoire […] et une part de notre histoire », dit Stéphane Bern.
L’exposition « Les Choses » nous propose d’interroger notre rapport aux objets à travers un parcours sur la nature morte, de l’Antiquité à nos jours.
Puisque c’est Noël, l’heure de toutes les réconciliations, cherchons ce qui les rapproche plutôt que ce qui les sépare : ils sont tous les deux trash, triviaux et obscène. Plus inattendu et jamais relevé… ils ont tous les deux décrit à leur façon les apports de notre civilisation.
Alors que la France n’en finit plus de se déchristianiser, les moines, eux, continuent – à défaut de faire rêver – au moins d’intriguer.
Un matraquage avec ce qui constitue l’imaginaire et le merveilleux de l’enfance : princesses, licornes, et arc-en-ciel.
Le feu vert a été donné « à l’unanimité » et « sans que le sujet prête à de vrais débats ».
Amateurs de portraits inspirants, de modèles pour construire une société apaisée, passez votre chemin. L’heure est à la division, à la revanche des gentilles femmes opprimées par le méchant patriarcat.
Le nouveau PDG préconise un retour aux sources, tentative ultime pour retrouver un public qui a déserté, sans doute lassé par les doses de moraline injectées dans des dessins animés à qui l’on demandait seulement de faire rêver les enfants.
Oui, c’est ça, chaque euro compte…
Les œuvres mystérieuses et fantastiques du peintre londonien d’origine suisse Füssli sont exposées jusqu’au 23 janvier au musée Jacquemart-André.
Pour cela, plusieurs angles d’attaque.
Pourquoi tant de fureur ? Tout simplement parce que la Révolution est le mythe fondateur de la République.
Le monde du cinéma au fond du puits se permet de toiser le Puy du Fou.
« Le Puy du Fourbe ». Le jeu de mots est malin, l’attaque est cinglante.
Qui veut faire l’ange fait la bête, dit-on. Dans le cas de David Crosby, l’inverse peut aussi être vrai.
Avec beaucoup de sens didactique, et même de patience, Alexis Rostand dédiabolise la finance, explique que la pratique des vertus peut la faire avancer dans le bon sens…
Comme le décrivait si bien Philippe Muray dans ses livres dédiés à l’Homo festivus, France Télévisions vous promet avec vos deniers « rire, générosité, bonne humeur et complicité ».
Indochine continue à jouer les divas, mais Jeff Beck, lui, plus jamais ne jouera.
Au comptoir de BV, Marc Baudriller discute avec Maz Guazzini, ancien patron du groupe NRJ et du Stade Français.
Pour les organisateurs, le temps est venu de partir en quête d’une commune pas trop en désaccord avec l’idéologie du bobo perclus de jolis sentiments.
La cancel culture, c’est aussi cela : entre faire vaciller une statue, une église, à grands coups de butoir et la laisser à l’abandon jusqu’à ce qu’elle s’effondre, il n’y a qu’une différence d’horloge.
Si les Grecs obtiennent gain de cause, la boîte de Pandore risque de s’ouvrir pour les grands musées occidentaux.
Avec Roselyne Bachelot, le désastre culturel prend un tour jubilatoire.
Dimitri Casali, historien et professeur d’Histoire, présente son nouveau livre 100 dates de l’Histoire de France qui ont fait le monde aux lecteurs de Boulevard
La littérature prétentieuse, officielle, n’aime pas les histoires qui finissent bien, ni les familles, d’ailleurs. C’est dommage. Françoise Bourdin, elle, n’en avait cure.
Il est un petit village de Vendée où l’on peut venir s’émerveiller devant des crèches sans que la Justice n’ordonne de les démonter. Ici, les santons ne sont pas symboles d’interdiction mais objets d’admiration…
Mais ça, c’était avant, car Noël 2022 ne semble pas particulièrement placé sous ces réjouissants auspices.
D’autres questions, d’ailleurs, auraient pu être abordées : pourquoi si peu de femmes en première ligne dans les combats ? Où est la parité devant la souffrance et la mort ?
« Laisser notre patrimoine à l’abandon, c’est perdre notre identité, perdre notre mémoire […] et une part de notre histoire », dit Stéphane Bern.
L’exposition « Les Choses » nous propose d’interroger notre rapport aux objets à travers un parcours sur la nature morte, de l’Antiquité à nos jours.
Puisque c’est Noël, l’heure de toutes les réconciliations, cherchons ce qui les rapproche plutôt que ce qui les sépare : ils sont tous les deux trash, triviaux et obscène. Plus inattendu et jamais relevé… ils ont tous les deux décrit à leur façon les apports de notre civilisation.
Alors que la France n’en finit plus de se déchristianiser, les moines, eux, continuent – à défaut de faire rêver – au moins d’intriguer.
Un matraquage avec ce qui constitue l’imaginaire et le merveilleux de l’enfance : princesses, licornes, et arc-en-ciel.
Le feu vert a été donné « à l’unanimité » et « sans que le sujet prête à de vrais débats ».
Amateurs de portraits inspirants, de modèles pour construire une société apaisée, passez votre chemin. L’heure est à la division, à la revanche des gentilles femmes opprimées par le méchant patriarcat.
Le nouveau PDG préconise un retour aux sources, tentative ultime pour retrouver un public qui a déserté, sans doute lassé par les doses de moraline injectées dans des dessins animés à qui l’on demandait seulement de faire rêver les enfants.
Oui, c’est ça, chaque euro compte…
Les œuvres mystérieuses et fantastiques du peintre londonien d’origine suisse Füssli sont exposées jusqu’au 23 janvier au musée Jacquemart-André.
Pour cela, plusieurs angles d’attaque.
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