Culture
Une belle réussite romanesque aux rebondissements garantis mais aussi d’une profondeur impressionnante.
Que pourraient-ils bien savoir de la réalité d’entrepreneurs qui, après avoir investi toutes leurs économies dans leur projet, ne comptent pas leurs heures pour le faire vivre ? Rien.
Cette année encore, notre contributeur Antoine de Lacoste nous propose quelques lectures pour l’été. Souvent hors des chemins battus… Zouleikha est une Tatare, non de
C’est désormais au patrimoine millénaire de s’adapter aux générations décérébrées, sous peine de tomber définitivement dans l’oubli.
Représentations le vendredi 15 et le samedi 16 juillet.
Pour elle, il ne fait pas l’ombre d’un doute que l’absence de la statue est due à des raisons idéologiques.
L’exposition qui devait rester en front de mer jusqu’au 4 septembre a dû être déplacée dans un parc de la Ville fermé la nuit…
Hormis les clichés grandiloquents sur la destinée d’Elvis Presley et l’entretien pompeux de sa légende, le film aura au moins l’intérêt d’apprendre, aux moins connaisseurs d’entre nous, quelques éléments biographiques.
À singer l’irréel, on risque de ne rencontrer que le vide.
Peut-être le cinéma qui fait naufrage pourrait-il faire un peu d’espionnage industriel et s’intéresser aux recettes du cinéma qui fonctionne encore, Downton Abbey ou Top Gun, pour ne parler que des plus récents.
L’écrivain français le plus traduit au monde était convié à discourir devant une grosse centaine de membres de l’Action française. La raison de sa présence ? Sa « curiosité pour le royalisme ».
Bergheim est une cité médiévale, l’occasion de constater qu’en ces temps d’obscurantisme présumé, on savait construire solide et joli.
Lorsqu’on visionne ces prestations, difficile de ne pas jeter un regard nostalgique vers nos bacheliers, qui ont brillé par leur talent à demeurer résolument hermétiques à tout ce qui s’éloignerait un tant soi peu de leur langage argotique.
Des preuves ? Eh bien…Maalouf hésite…eh bien, les percussions, le marimba dans les orchestres…voilà voilà…
Praron regarde avec un œil vrai les soubresauts de l’époque, ses déviances, ses renoncements, ses faux-semblants, ses destructions et le cortège des misères qui l’accompagne.
Ce 22 juin, Emmanuel Macron vient de promulguer, au Journal officiel, sous sa signature, le décret pour l’enseignement de l’arabe dans nos écoles élémentaires.
Si elle ne semble pas renouveler les mêmes outrances pour cette édition 2022, ce n’est pas pour autant que la présidence abandonne le politiquement correct.
Au-delà de la violence du cliché, il y a évidemment les centaines de milliers de jeunes qui suivent ces « artistes » et à qui on donne insidieusement l’idée que tuer des policiers, c’est cool !
Heureux spectateur maso-culturel, tu seras désormais ravi d’aller à Versailles pour poser tes fesses sur les genoux de Molière et lui passer les bras autour du cou.
Le sentiment persiste que l’intrigue part dans tous les sens, si bien que l’on ne sait pas de quoi le film veut nous parler.
La dirigeante indique que, dans ses parcs, les sociétés n’utilisent plus de pronoms genrés pour les employés.
Jubilatoire, le film raille à loisir cette bourgeoisie cultureuse, gavée de sa propre existence.
L’occasion de se rappeler qu’un demi-siècle durant, les musiciens noirs d’Amérique ont su tutoyer les anges…
En exclusivité pour Boulevard Voltaire, pour la commémoration du débarquement de Normandie le 6 juin 1944, Jean-Pax Méfret raconte l’origine de sa chanson « Jour J
Jack Lang vient d’apporter un soutien de poids au projet le plus mirifique de la décennie : faire de Saint-Denis la capitale européenne de la culture en 2028.
Les Crimes du futur se présente tout d’abord comme un film d’anticipation, nous donnant à voir un monde apocalyptique, ruiné, presque désolé…
La création doit être invariablement marquée du sceau de l’engagement à gauche, elle doit toujours refléter ses poncifs politiquement corrects.
Voilà de la belle ouvrage. À l’ancienne. Au-delà des modes, donc. La recette des classiques ? Oui.
Une belle réussite romanesque aux rebondissements garantis mais aussi d’une profondeur impressionnante.
Que pourraient-ils bien savoir de la réalité d’entrepreneurs qui, après avoir investi toutes leurs économies dans leur projet, ne comptent pas leurs heures pour le faire vivre ? Rien.
Cette année encore, notre contributeur Antoine de Lacoste nous propose quelques lectures pour l’été. Souvent hors des chemins battus… Zouleikha est une Tatare, non de
C’est désormais au patrimoine millénaire de s’adapter aux générations décérébrées, sous peine de tomber définitivement dans l’oubli.
Représentations le vendredi 15 et le samedi 16 juillet.
Pour elle, il ne fait pas l’ombre d’un doute que l’absence de la statue est due à des raisons idéologiques.
L’exposition qui devait rester en front de mer jusqu’au 4 septembre a dû être déplacée dans un parc de la Ville fermé la nuit…
Hormis les clichés grandiloquents sur la destinée d’Elvis Presley et l’entretien pompeux de sa légende, le film aura au moins l’intérêt d’apprendre, aux moins connaisseurs d’entre nous, quelques éléments biographiques.
À singer l’irréel, on risque de ne rencontrer que le vide.
Peut-être le cinéma qui fait naufrage pourrait-il faire un peu d’espionnage industriel et s’intéresser aux recettes du cinéma qui fonctionne encore, Downton Abbey ou Top Gun, pour ne parler que des plus récents.
L’écrivain français le plus traduit au monde était convié à discourir devant une grosse centaine de membres de l’Action française. La raison de sa présence ? Sa « curiosité pour le royalisme ».
Bergheim est une cité médiévale, l’occasion de constater qu’en ces temps d’obscurantisme présumé, on savait construire solide et joli.
Lorsqu’on visionne ces prestations, difficile de ne pas jeter un regard nostalgique vers nos bacheliers, qui ont brillé par leur talent à demeurer résolument hermétiques à tout ce qui s’éloignerait un tant soi peu de leur langage argotique.
Des preuves ? Eh bien…Maalouf hésite…eh bien, les percussions, le marimba dans les orchestres…voilà voilà…
Praron regarde avec un œil vrai les soubresauts de l’époque, ses déviances, ses renoncements, ses faux-semblants, ses destructions et le cortège des misères qui l’accompagne.
Ce 22 juin, Emmanuel Macron vient de promulguer, au Journal officiel, sous sa signature, le décret pour l’enseignement de l’arabe dans nos écoles élémentaires.
Si elle ne semble pas renouveler les mêmes outrances pour cette édition 2022, ce n’est pas pour autant que la présidence abandonne le politiquement correct.
Au-delà de la violence du cliché, il y a évidemment les centaines de milliers de jeunes qui suivent ces « artistes » et à qui on donne insidieusement l’idée que tuer des policiers, c’est cool !
Heureux spectateur maso-culturel, tu seras désormais ravi d’aller à Versailles pour poser tes fesses sur les genoux de Molière et lui passer les bras autour du cou.
Le sentiment persiste que l’intrigue part dans tous les sens, si bien que l’on ne sait pas de quoi le film veut nous parler.
La dirigeante indique que, dans ses parcs, les sociétés n’utilisent plus de pronoms genrés pour les employés.
Jubilatoire, le film raille à loisir cette bourgeoisie cultureuse, gavée de sa propre existence.
L’occasion de se rappeler qu’un demi-siècle durant, les musiciens noirs d’Amérique ont su tutoyer les anges…
En exclusivité pour Boulevard Voltaire, pour la commémoration du débarquement de Normandie le 6 juin 1944, Jean-Pax Méfret raconte l’origine de sa chanson « Jour J
Jack Lang vient d’apporter un soutien de poids au projet le plus mirifique de la décennie : faire de Saint-Denis la capitale européenne de la culture en 2028.
Les Crimes du futur se présente tout d’abord comme un film d’anticipation, nous donnant à voir un monde apocalyptique, ruiné, presque désolé…
La création doit être invariablement marquée du sceau de l’engagement à gauche, elle doit toujours refléter ses poncifs politiquement corrects.
Voilà de la belle ouvrage. À l’ancienne. Au-delà des modes, donc. La recette des classiques ? Oui.
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