Culture
Il est mort comme il avait vécu : en paysan contemplatif.
Il y a des films parfois qui vous hypnotisent par leur ambiance et vous font voyager dans le temps. Des films sensoriels et ouatés, plongés dans l’obscurité de la nuit jusqu’à la lumière diffuse du petit matin.
On ne peut pas enlever aux Américains une admiration réelle et unanimement partagée pour l’engagement de leurs forces armées. Top Gun en est la nouvelle démonstration. Nous, vieux pays blasé qui tourne en dérision les grandes choses, avons perdu cette capacité d’émerveillement.
Redonnons à notre jeunesse un patrimoine à défendre, donnons-lui des raisons de se battre.
Problème : priver Blanche-Neige de son prince et introduire un Jedi transsexuel dans le prochain Star Wars risque de se révéler plutôt compliqué pour les actionnaires de Disney…
« Aujourd’hui, la question principale n’est plus de savoir si un attentat sera commis sur le territoire national, mais quand. »
Le cinéaste a pour lui trois arguments de poids : la véracité de l’histoire qu’il nous raconte, l’altruisme qui anime jusqu’au bout le personnage principal et le tandem détonnant que forment Jim Broadbent et Helen Mirren.
Évidemment, même s’il y a des invariants, comme on dit, l’air du temps a passé. Voyez le jury qui s’est formé cette année autour de Vincent Lindon, par exemple.
Que pensent les Parisiens et les touristes de l’Homme de Bessines, une œuvre de l’artiste contemporain Fabrice Hyber, exposée dans les jardins du Palais Royal ?
Prions le ciel qu’Andorre nous attaque vite. On gagnera l’Eurovision !
Le Petit Robert participe, sciemment ou non, au combat des minorités agissantes qui ne se contentent pas de vouloir être respectées – ce qui serait légitime – mais font pression pour imposer leurs normes.
Il fallait s’y attendre : c’est la suite logique du changement du titre Dix petits nègres d’Agatha Christie en « Ils étaient dix », survenu le 26 août 2020.
Une sacrée découverte : la famille de Villiers a un tropisme droitier.
Le scénario du film bénéficie d’emblée d’une matière solide pour captiver le spectateur.
Cette nouvelle expansion du Puy du Fou n’est pas isolée. Le parc n’a de cesse d’élargir son champ d’activité.
Depuis plusieurs semaines, les associés se relaient pour dormir dans leur librairie pour s’assurer qu’aucune dégradation ne soit commise pendant la nuit.
Murray est souvent accusé par le cheptel pavlovien de la bien-pensance d’être xénophobe, islamophobe, chauvin et raciste, mais Douglas s’en fout. Ce dandy gay du politiquement très incorrect dit tout haut ce que pensent les médiocres tout bas.
Quatre cuvées ont déjà participé à la préservation et restauration du patrimoine français avec notamment un fort Vauban et une abbaye du XIe siècle.
Toutes ces aberrations se font connaître au plus grand nombre depuis mars 2021 sur les réseaux sociaux grâce au hashtag #SaccageParis. Comme l’explique l’auteur, leur nombre s’élève parfois à plusieurs dizaines de milliers par jour.
Rien de mieux que ce thème à la fois grandiose et utilisé d’une manière si creuse pour servir le show macronien, jupitérien et en même temps humble, digne et en même temps ému aux larmes…
L’écrivain Boualem Sansal a reçu, ce samedi 23 avril à Perpignan, le prix Méditerranée de littérature 2022 en présence d’écrivains et de représentants du monde de l’édition.
Évoquant les textes de son nouvel album, Médine tweetait, le 20 avril dernier : « Le prochain, il va piquer un peu. »
Avec La Dépossession, l’écrivain poursuit sa réflexion sur ce processus implacable et inexorable qu’il appelle le « remplacisme ».
L’ouvrage démontre la flagrante différence de traitement médiatique des faits selon qu’ils ont été commis par la droite ou par la gauche.
Le temps de la passivité face aux contre-pouvoirs privés de la gauche idéologique est désormais révolu.
Avec A Chiara, le réalisateur Jonas Carpignano excelle à filmer la cellule familiale au sein de la mafia calabraise, son environnement socioculturel (déplorable) et l’impossibilité pour les jeunes de s’en extraire autrement que sur décision de justice.
On ne doute pas que Saint-Séraphin sera rebâtie ; la question est « comment ». On suppose que l’incendie d’un édifice religieux appartenant à une religion plus revendicative aurait fait les gros titres, et même quelques dégâts dans le mobilier urbain.
En cette période électorale, Jeanne d’Arc rappelle qu’une destinée commune unit les Français au-delà des oppositions politiques.
Il est mort comme il avait vécu : en paysan contemplatif.
Il y a des films parfois qui vous hypnotisent par leur ambiance et vous font voyager dans le temps. Des films sensoriels et ouatés, plongés dans l’obscurité de la nuit jusqu’à la lumière diffuse du petit matin.
On ne peut pas enlever aux Américains une admiration réelle et unanimement partagée pour l’engagement de leurs forces armées. Top Gun en est la nouvelle démonstration. Nous, vieux pays blasé qui tourne en dérision les grandes choses, avons perdu cette capacité d’émerveillement.
Redonnons à notre jeunesse un patrimoine à défendre, donnons-lui des raisons de se battre.
Problème : priver Blanche-Neige de son prince et introduire un Jedi transsexuel dans le prochain Star Wars risque de se révéler plutôt compliqué pour les actionnaires de Disney…
« Aujourd’hui, la question principale n’est plus de savoir si un attentat sera commis sur le territoire national, mais quand. »
Le cinéaste a pour lui trois arguments de poids : la véracité de l’histoire qu’il nous raconte, l’altruisme qui anime jusqu’au bout le personnage principal et le tandem détonnant que forment Jim Broadbent et Helen Mirren.
Évidemment, même s’il y a des invariants, comme on dit, l’air du temps a passé. Voyez le jury qui s’est formé cette année autour de Vincent Lindon, par exemple.
Que pensent les Parisiens et les touristes de l’Homme de Bessines, une œuvre de l’artiste contemporain Fabrice Hyber, exposée dans les jardins du Palais Royal ?
Prions le ciel qu’Andorre nous attaque vite. On gagnera l’Eurovision !
Le Petit Robert participe, sciemment ou non, au combat des minorités agissantes qui ne se contentent pas de vouloir être respectées – ce qui serait légitime – mais font pression pour imposer leurs normes.
Il fallait s’y attendre : c’est la suite logique du changement du titre Dix petits nègres d’Agatha Christie en « Ils étaient dix », survenu le 26 août 2020.
Une sacrée découverte : la famille de Villiers a un tropisme droitier.
Le scénario du film bénéficie d’emblée d’une matière solide pour captiver le spectateur.
Cette nouvelle expansion du Puy du Fou n’est pas isolée. Le parc n’a de cesse d’élargir son champ d’activité.
Depuis plusieurs semaines, les associés se relaient pour dormir dans leur librairie pour s’assurer qu’aucune dégradation ne soit commise pendant la nuit.
Murray est souvent accusé par le cheptel pavlovien de la bien-pensance d’être xénophobe, islamophobe, chauvin et raciste, mais Douglas s’en fout. Ce dandy gay du politiquement très incorrect dit tout haut ce que pensent les médiocres tout bas.
Quatre cuvées ont déjà participé à la préservation et restauration du patrimoine français avec notamment un fort Vauban et une abbaye du XIe siècle.
Toutes ces aberrations se font connaître au plus grand nombre depuis mars 2021 sur les réseaux sociaux grâce au hashtag #SaccageParis. Comme l’explique l’auteur, leur nombre s’élève parfois à plusieurs dizaines de milliers par jour.
Rien de mieux que ce thème à la fois grandiose et utilisé d’une manière si creuse pour servir le show macronien, jupitérien et en même temps humble, digne et en même temps ému aux larmes…
L’écrivain Boualem Sansal a reçu, ce samedi 23 avril à Perpignan, le prix Méditerranée de littérature 2022 en présence d’écrivains et de représentants du monde de l’édition.
Évoquant les textes de son nouvel album, Médine tweetait, le 20 avril dernier : « Le prochain, il va piquer un peu. »
Avec La Dépossession, l’écrivain poursuit sa réflexion sur ce processus implacable et inexorable qu’il appelle le « remplacisme ».
L’ouvrage démontre la flagrante différence de traitement médiatique des faits selon qu’ils ont été commis par la droite ou par la gauche.
Le temps de la passivité face aux contre-pouvoirs privés de la gauche idéologique est désormais révolu.
Avec A Chiara, le réalisateur Jonas Carpignano excelle à filmer la cellule familiale au sein de la mafia calabraise, son environnement socioculturel (déplorable) et l’impossibilité pour les jeunes de s’en extraire autrement que sur décision de justice.
On ne doute pas que Saint-Séraphin sera rebâtie ; la question est « comment ». On suppose que l’incendie d’un édifice religieux appartenant à une religion plus revendicative aurait fait les gros titres, et même quelques dégâts dans le mobilier urbain.
En cette période électorale, Jeanne d’Arc rappelle qu’une destinée commune unit les Français au-delà des oppositions politiques.
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