Culture
Yseult n’en est pas à son coup d’essai. Ces derniers mois, l’ancienne candidate de « La Nouvelle Star » a multiplié les propos anti-France.
Damien Le Guay veut, à travers son ouvrage, dénoncer encore et toujours les ravages de l’euthanasie. Pointer du doigt tous les mensonges du parti euthanasique qui œuvre depuis des années pour arriver à ses fins.
Avec Belfast, il semble que Kenneth Branagh ait retrouvé l’inspiration des beaux jours.
Partout on s’interroge, on épluche les contrats, on s’apprête à épurer les orchestres : quoi, le premier violon est russe ? Le trombone solo aussi ?
Les juristes Christophe Boutin et Frédéric Rouvillois dressent cet état des lieux juridique, tout en effectuant un parallèle aussi pertinent que saisissant avec le suffrage censitaire en cours sous la Restauration et la monarchie de Juillet.
Ce film Maigret de Patrice Leconte est une valeur sûre.
Cet « autre monde » peut aussi bien désigner celui de la cellule familiale que celui des élites mondialisées, totalement déconnectées du réel, pour lesquelles le salarié n’est qu’une variable d’ajustement parmi d’autres.
On essaie tout, au Mistral : les régularisations massives, la fille qui part avec le mari de sa mère, l’amour à trois, les grands-mères qui roulent des pétards…
Emporté par la vague du franglais, le français est en passe de ne plus être la langue de la République.
La décadence d’une société se juge à la manière dont cette dernière tente de s’extirper du sacré.
« Éternelle Notre-Dame » fait étape à l’Espace Grande Arche de La Défense près de Paris jusqu’à la fin de l’année 2022.
C’est là toute la force du film : rien n’est clairement établi, le spectateur reste dans un entre-deux, contraint d’accorder le bénéfice du doute aux uns et aux autres…
Pauvres politiques qui acceptent qu’on leur fasse prendre des vessies pour des lanternes et ne voient pas que l’Europe qu’ils montrent aux riverains du jardin du Luxembourg ne ressemble à rien à force d’être absente de toutes ces images.
Paris réclame à l’établissement public chargé de la restauration « une redevance pour l’emprise du chantier sur le domaine public ».
Les médias jouent sur l’émotion, montrant le bonheur des couples homosexuels ou hétérosexuels qui ont eu recours à la GPA, en éludant le débat sérieux que mériterait cette question
Quelle tristesse de voir Molière mis à toutes les sauces et récupéré par les faux dévots médiatiques, les Tartuffe et les Trissotin de notre temps !
Que dirait Freund, aujourd’hui, de ces halls de gare où incubent et s’expérimentent les pires idéologies venues d’outre-Atlantique (« gender studies », « cancel culture », « wokisme » et autres pestilences pseudo-intellectuelles) ?
Là où le film fait preuve d’originalité, on l’aura compris, c’est dans sa volonté de raconter autre chose que le parcours d’une victime impuissante de l’Holocauste.
À quelques mois de l’élection présidentielle, ce texte entre en résonance avec une certaine rhétorique zemmourienne qu’il serait d’autant plus difficile de nier que cette dernière revêt d’incontestables accents fichtéens.
Sorti ce 19 janvier, Tendre et saignant chante la France des oubliés.
Le 23 janvier, il remontera sur scène, au Casino de Paris. Droit dans ses bottes, aussi clivant que touchant, Jean-Pax Méfret échappe aux catégorisations faciles.
Il paraît que cette mise en scène est un fruit du confinement. Comment dire… Il est grand temps de déconfiner Molière et de l’arracher aux vrais dévots tout de sombre vêtus et qui voient le mal partout !
Si même Christophe Barbier est capable d’une telle lucidité, c’est que le vent tourne, non ?
Bref, la place de Molière n’est guère au Panthéon des grands hommes de la République.
Dilemme. Faut-il louer un film pour les discours qu’il tient ou pour la façon dont ces discours – indépendamment de leur teneur – sont défendus
Le Nouvel Hollywood fut au cinéma ce que le rock fut à la musique : le triomphe des valeurs soixante-huitardes et de l’imaginaire progressiste dont nous payons à présent les pots cassés.
La langue de « la République française une et indivisible » est le français. Une IDENTITY CARD est une forfaiture.
La pandémie avait déjà révélé que la Macronie ne considérait pas la culture comme essentielle. Elle confirme son désintérêt pour l’amour de la France et poursuit son processus d’effondrement culturel et intellectuel.
Yseult n’en est pas à son coup d’essai. Ces derniers mois, l’ancienne candidate de « La Nouvelle Star » a multiplié les propos anti-France.
Damien Le Guay veut, à travers son ouvrage, dénoncer encore et toujours les ravages de l’euthanasie. Pointer du doigt tous les mensonges du parti euthanasique qui œuvre depuis des années pour arriver à ses fins.
Avec Belfast, il semble que Kenneth Branagh ait retrouvé l’inspiration des beaux jours.
Partout on s’interroge, on épluche les contrats, on s’apprête à épurer les orchestres : quoi, le premier violon est russe ? Le trombone solo aussi ?
Les juristes Christophe Boutin et Frédéric Rouvillois dressent cet état des lieux juridique, tout en effectuant un parallèle aussi pertinent que saisissant avec le suffrage censitaire en cours sous la Restauration et la monarchie de Juillet.
Ce film Maigret de Patrice Leconte est une valeur sûre.
Cet « autre monde » peut aussi bien désigner celui de la cellule familiale que celui des élites mondialisées, totalement déconnectées du réel, pour lesquelles le salarié n’est qu’une variable d’ajustement parmi d’autres.
On essaie tout, au Mistral : les régularisations massives, la fille qui part avec le mari de sa mère, l’amour à trois, les grands-mères qui roulent des pétards…
Emporté par la vague du franglais, le français est en passe de ne plus être la langue de la République.
La décadence d’une société se juge à la manière dont cette dernière tente de s’extirper du sacré.
« Éternelle Notre-Dame » fait étape à l’Espace Grande Arche de La Défense près de Paris jusqu’à la fin de l’année 2022.
C’est là toute la force du film : rien n’est clairement établi, le spectateur reste dans un entre-deux, contraint d’accorder le bénéfice du doute aux uns et aux autres…
Pauvres politiques qui acceptent qu’on leur fasse prendre des vessies pour des lanternes et ne voient pas que l’Europe qu’ils montrent aux riverains du jardin du Luxembourg ne ressemble à rien à force d’être absente de toutes ces images.
Paris réclame à l’établissement public chargé de la restauration « une redevance pour l’emprise du chantier sur le domaine public ».
Les médias jouent sur l’émotion, montrant le bonheur des couples homosexuels ou hétérosexuels qui ont eu recours à la GPA, en éludant le débat sérieux que mériterait cette question
Quelle tristesse de voir Molière mis à toutes les sauces et récupéré par les faux dévots médiatiques, les Tartuffe et les Trissotin de notre temps !
Que dirait Freund, aujourd’hui, de ces halls de gare où incubent et s’expérimentent les pires idéologies venues d’outre-Atlantique (« gender studies », « cancel culture », « wokisme » et autres pestilences pseudo-intellectuelles) ?
Là où le film fait preuve d’originalité, on l’aura compris, c’est dans sa volonté de raconter autre chose que le parcours d’une victime impuissante de l’Holocauste.
À quelques mois de l’élection présidentielle, ce texte entre en résonance avec une certaine rhétorique zemmourienne qu’il serait d’autant plus difficile de nier que cette dernière revêt d’incontestables accents fichtéens.
Sorti ce 19 janvier, Tendre et saignant chante la France des oubliés.
Le 23 janvier, il remontera sur scène, au Casino de Paris. Droit dans ses bottes, aussi clivant que touchant, Jean-Pax Méfret échappe aux catégorisations faciles.
Il paraît que cette mise en scène est un fruit du confinement. Comment dire… Il est grand temps de déconfiner Molière et de l’arracher aux vrais dévots tout de sombre vêtus et qui voient le mal partout !
Si même Christophe Barbier est capable d’une telle lucidité, c’est que le vent tourne, non ?
Bref, la place de Molière n’est guère au Panthéon des grands hommes de la République.
Dilemme. Faut-il louer un film pour les discours qu’il tient ou pour la façon dont ces discours – indépendamment de leur teneur – sont défendus
Le Nouvel Hollywood fut au cinéma ce que le rock fut à la musique : le triomphe des valeurs soixante-huitardes et de l’imaginaire progressiste dont nous payons à présent les pots cassés.
La langue de « la République française une et indivisible » est le français. Une IDENTITY CARD est une forfaiture.
La pandémie avait déjà révélé que la Macronie ne considérait pas la culture comme essentielle. Elle confirme son désintérêt pour l’amour de la France et poursuit son processus d’effondrement culturel et intellectuel.
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