Culture
Céline, dans Voyage au bout de la nuit, caractérisait la dépression comme le moment où l’on n’a « plus beaucoup de musique en soi pour faire danser la vie ». Repensons-y avant le couvre-feu.
Enthousiaste mais réservé, d’une culture encyclopédique, Bertrand Tavernier avait découvert le cinéma dans les années 50 avec Dernier Atout, de Jacques Becker, sorti en 1942.
L’auteur de ces lignes, bien que partisan des lys et du drapeau blanc, ne peut pourtant s’empêcher de vibrer au souvenir glorieux d’un homme qui sut porter la France au firmament de la puissance.
Qui n’a jamais entendu « Celui qui n’est pas socialiste à 20 ans est un salaud, celui qui l’est encore à 40 est un imbécile »…
Notre époque, sûre d’elle-même et oublieuse des épreuves et des leçons du passé, se trouve démunie face à la pandémie de Covid-19.
Cette Traque aurait pu être pesante et démonstrative, elle ne l’est pas. Peut-être parce que les “traqueurs” ont les visages de Jean-Pierre Marielle, Michael Lonsdale, Michel Robin, Jean-Luc Bideau, Philippe Léotard et Jean-Luc Bideau…
La culture est l’un des vecteurs du rayonnement de notre pays. Ce devrait être une source d’identité et de fierté nationales…
Rouvrir ces lieux dits essentiels, pour quoi faire ? À quoi servent tous ces millions que l’État déverse dans leur tonneau des Danaïdes ?
L’occasion de remettre sur le tapis nos obsessions : « l’évolution » de la langue, donc du lexique (entendez l’étymologie latine), à laquelle s’ajouterait celle de la grammaire.
Donc, exit le XXIe siècle, place au 21e siècle. Et les rois, c’est tout pareil : on n’écrit plus Henri IV mais Henri 4.
On ne voit pas en quoi le contribuable français devrait endosser la responsabilité et le coût des crimes du nazisme subis par les familles !
Que reste-t-il du cinéma français ? Si on enlève les quotas diversitaires, le militantisme sociétal et l’entre-soi, rien.
Le dragueur lourdingue à l’accent français, perpétuel éconduit par la gent féminine à cause de son odeur insoutenable, a été coupé au montage de la prochaine superproduction Space Jam 2.
« Un cauchemar pour ceux qui aiment le cinéma et qui repensent à tous les grands chefs-d’œuvre classiques du cinéma français. » Philippe de Villiers
Clavel part d’une situation réelle et extrapole, non point jusqu’à l’absurde, mais jusqu’aux confins de l’extrême médiocrité humaine…
Entre prises de position politiques virulentes et maladroites, des blagues ratées, des hésitations et bafouillements, l’événement s’est révélé être gênant pour les téléspectateurs.
« Quand nous sommes dans des circonstances difficiles, avec une vie violente et pauvre, l’être humain veut créer quelque chose qui reste beau malgré le temps qui passe », déclare-t-il.
Opération Re Mida est à voir, telle une jouissive incongruité, totalement foldingue, parfaitement échevelée, quelque part entre Harold Lloyd et Buster Keaton.
Voici une lecture indispensable à qui veut comprendre ces ennemis toujours impunis qui bénéficient de la souriante complicité des élites de notre temps…
Cette imposture est un fléau qui, depuis plus de trente ans, mine et ridiculise le théâtre et l’opéra…
L’auteur, diplômé d’HEC et d’Harvard, docteur en sciences économiques, est un universitaire qui a enseigné dans les grandes écoles les plus prestigieuses et qui fut consultant pour de grandes institutions internationales.
Philippe Jaccottet restera un modèle d’humanisme enraciné, dans un lieu et une culture européenne trimillénaire, dont il aura été un passeur aussi fervent que discret.
L’an dernier au Congrès, lors du discours du président Trump sur l’état de l’Union, Melania avait décoré sous les ovations l’animateur de radio Rush Limbaugh de la médaille de la Liberté au nom de son mari.
L’affaire se serait peut-être arrêtée là si ce monument de l’art contemporain n’avait été exposé par le Centre Pompidou dans la rétrospective consacrée à l’artiste en 2014.
Des stéréotypes atroces, des clichés affreux… Les dirigeants de la chaîne en sont encore tout chamboulés.
Les évangéliques sont un bouc émissaire à la mode.
Un livre stimulant, didactique et érudit par l’une des plumes les plus limpides et élégantes de notre temps.
Quitte à nous raconter des histoires, que ce soit dans une salle de cinéma rouge et or avec de belles fictions signées par de véritables créateurs ! Que ce soit sur grand écran avec de superbes mensonges qui disent la vérité !
Céline, dans Voyage au bout de la nuit, caractérisait la dépression comme le moment où l’on n’a « plus beaucoup de musique en soi pour faire danser la vie ». Repensons-y avant le couvre-feu.
Enthousiaste mais réservé, d’une culture encyclopédique, Bertrand Tavernier avait découvert le cinéma dans les années 50 avec Dernier Atout, de Jacques Becker, sorti en 1942.
L’auteur de ces lignes, bien que partisan des lys et du drapeau blanc, ne peut pourtant s’empêcher de vibrer au souvenir glorieux d’un homme qui sut porter la France au firmament de la puissance.
Qui n’a jamais entendu « Celui qui n’est pas socialiste à 20 ans est un salaud, celui qui l’est encore à 40 est un imbécile »…
Notre époque, sûre d’elle-même et oublieuse des épreuves et des leçons du passé, se trouve démunie face à la pandémie de Covid-19.
Cette Traque aurait pu être pesante et démonstrative, elle ne l’est pas. Peut-être parce que les “traqueurs” ont les visages de Jean-Pierre Marielle, Michael Lonsdale, Michel Robin, Jean-Luc Bideau, Philippe Léotard et Jean-Luc Bideau…
La culture est l’un des vecteurs du rayonnement de notre pays. Ce devrait être une source d’identité et de fierté nationales…
Rouvrir ces lieux dits essentiels, pour quoi faire ? À quoi servent tous ces millions que l’État déverse dans leur tonneau des Danaïdes ?
L’occasion de remettre sur le tapis nos obsessions : « l’évolution » de la langue, donc du lexique (entendez l’étymologie latine), à laquelle s’ajouterait celle de la grammaire.
Donc, exit le XXIe siècle, place au 21e siècle. Et les rois, c’est tout pareil : on n’écrit plus Henri IV mais Henri 4.
On ne voit pas en quoi le contribuable français devrait endosser la responsabilité et le coût des crimes du nazisme subis par les familles !
Que reste-t-il du cinéma français ? Si on enlève les quotas diversitaires, le militantisme sociétal et l’entre-soi, rien.
Le dragueur lourdingue à l’accent français, perpétuel éconduit par la gent féminine à cause de son odeur insoutenable, a été coupé au montage de la prochaine superproduction Space Jam 2.
« Un cauchemar pour ceux qui aiment le cinéma et qui repensent à tous les grands chefs-d’œuvre classiques du cinéma français. » Philippe de Villiers
Clavel part d’une situation réelle et extrapole, non point jusqu’à l’absurde, mais jusqu’aux confins de l’extrême médiocrité humaine…
Entre prises de position politiques virulentes et maladroites, des blagues ratées, des hésitations et bafouillements, l’événement s’est révélé être gênant pour les téléspectateurs.
« Quand nous sommes dans des circonstances difficiles, avec une vie violente et pauvre, l’être humain veut créer quelque chose qui reste beau malgré le temps qui passe », déclare-t-il.
Opération Re Mida est à voir, telle une jouissive incongruité, totalement foldingue, parfaitement échevelée, quelque part entre Harold Lloyd et Buster Keaton.
Voici une lecture indispensable à qui veut comprendre ces ennemis toujours impunis qui bénéficient de la souriante complicité des élites de notre temps…
Cette imposture est un fléau qui, depuis plus de trente ans, mine et ridiculise le théâtre et l’opéra…
L’auteur, diplômé d’HEC et d’Harvard, docteur en sciences économiques, est un universitaire qui a enseigné dans les grandes écoles les plus prestigieuses et qui fut consultant pour de grandes institutions internationales.
Philippe Jaccottet restera un modèle d’humanisme enraciné, dans un lieu et une culture européenne trimillénaire, dont il aura été un passeur aussi fervent que discret.
L’an dernier au Congrès, lors du discours du président Trump sur l’état de l’Union, Melania avait décoré sous les ovations l’animateur de radio Rush Limbaugh de la médaille de la Liberté au nom de son mari.
L’affaire se serait peut-être arrêtée là si ce monument de l’art contemporain n’avait été exposé par le Centre Pompidou dans la rétrospective consacrée à l’artiste en 2014.
Des stéréotypes atroces, des clichés affreux… Les dirigeants de la chaîne en sont encore tout chamboulés.
Les évangéliques sont un bouc émissaire à la mode.
Un livre stimulant, didactique et érudit par l’une des plumes les plus limpides et élégantes de notre temps.
Quitte à nous raconter des histoires, que ce soit dans une salle de cinéma rouge et or avec de belles fictions signées par de véritables créateurs ! Que ce soit sur grand écran avec de superbes mensonges qui disent la vérité !
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