Culture
Je n’aurais pas été l’ami de Jean-Pierre Bacri à la sortie de l’isoloir, mais c’était un grand acteur, et surtout un de ces acteurs avec lesquels on se serait bien vu refaire le monde au zinc (quand il y avait des zincs).
Cher compatriote installé confortablement dans ton canapé, l’Europe tu aimeras, Ursula von der Leyen tu suivras, la directive Bolkestein tu estimeras et les aventures des technocrates de Bruxelles tu ne manqueras pas.
À l’heure où la cancel culture rêve d’un monde sans capitaine Haddock, réanimons la flamme de ses 80 bougies.
Après, libre au lecteur de préférer Maître Gims qui, lui, n’a guère fait de mal à personne, hormis nos oreilles.
Le Macaulay Culkin nouveau nous revient en effaceur politique.
C’est l’inconscient collectif ou votre petit inconscient à vous perso qui rend les hommes blancs responsables de tous les maux de la Terre ?
Prêt-à-porter, prêt-à-consommer, prêt-à-penser. La frénésie américaine s’est emparée de l’Occident au point que ce dernier en a accepté tout les codes jusqu’à laisser sa propre démocratie être mise à mal par les GAFAM.
Freund, « adversaire des Lumières », s’y livre à de percutantes réflexions, toujours actuelles, sur l’Europe, la technique, le féminisme, le racisme, l’individualisme, le libéralisme, etc.
Force est d’avouer que tout cela est grandiose et l’on est admiratif face à tant d’invention techno-administrative dans la gestion de l’épidémie.
Les agences de voyages souffrent particulièrement, en ce moment, et vous êtes nombreux à connaître l’engagement d’Odeia auprès des chrétiens d’Orient.
Gabrielle Cluzel n’a pas gagné parce qu’elle est une femme, mais parce que son livre a été sélectionné par le jury. Et s’il a été choisi, c’est parce qu’il lui est apparu comme le meilleur.
Dès lors, dans une dernière tentative prométhéenne de maîtriser la mort, « un véritable totalitarisme sanitaire se met en place ».
Les vitraux sont déjà en cours de démontage…
Le pire étant que nous nous accoutumons sans broncher à ce bourrage de crâne…
On nous l’annonce pour le 21 octobre 2021.
L’épidémie du Covid-19 et la révolte des Black Lives Matter sur laquelle la gauche a surfé abondamment, cristallisant et creusant les divisions internes à la société américaine, laissent présager d’une Amérique encore plus fracturée, au bord de l’implosion.
On a envie de dire que la couleur de peau des violonistes, pianistes et autres trompettistes, on s’en fout un peu, non ?
Il est, dès lors, plus que jamais impérieux d’édifier des « citadelles intérieures »…
Il y a, décidément, une exception cinématographique italienne, confirmée par les artisans d’Artus Films qui parviennent, encore et toujours, à exhumer de petits joyaux transalpins.
Une fidèle introduction à une œuvre inclassable (à la fois poétique et politique) par l’un des plus grands esprits traditionalistes contemporains.
Parmi son lot de surprises, bonnes ou mauvaises, quelques dates se profilent déjà dans ce nouvel agenda…
S’il y en avait bien un qui incarnait le jazz à la française, si ce n’est le jazz français tout court, c’était lui : Claude Bolling, parti à quatre-vingt-dix ans, ce 30 décembre dernier.
Résumer une si longue et si éclectique réussite tient de la gageure.
Alexander Neef a beau démentir la disparition de certaines œuvres, le processus est déjà lancé depuis plusieurs années…
D’une écriture cristalline aux phrases finement ciselées, Alain de Benoist nous gratifie d’une étincelante biobibliographie intellectuelle d’Ernst Jünger où l’intelligence le dispute à une connaissance profonde de l’écrivain…
On notera que le légendaire guitariste est, pour le moment, la seule star d’envergure à avoir dénoncé la mise en cage du peuple en général et des musiciens en particulier…
Ceux qui, aujourd’hui, veulent nous interdire de dire Joyeux Noël au nom de la politique des identités sont l’incarnation du mal qui menace notre civilisation. On les reconnaît à leurs « Bonne Fête ! »
Dans ce conte populaire, les rois mages peuvent encore venir adorer l’Enfant, accompagnés « d’une armée de petits négrillons », sans susciter l’indignation collective des racialistes, la femme adultère est pardonnée et le brigadier n’a pas besoin de charger son pistolet.
Je n’aurais pas été l’ami de Jean-Pierre Bacri à la sortie de l’isoloir, mais c’était un grand acteur, et surtout un de ces acteurs avec lesquels on se serait bien vu refaire le monde au zinc (quand il y avait des zincs).
Cher compatriote installé confortablement dans ton canapé, l’Europe tu aimeras, Ursula von der Leyen tu suivras, la directive Bolkestein tu estimeras et les aventures des technocrates de Bruxelles tu ne manqueras pas.
À l’heure où la cancel culture rêve d’un monde sans capitaine Haddock, réanimons la flamme de ses 80 bougies.
Après, libre au lecteur de préférer Maître Gims qui, lui, n’a guère fait de mal à personne, hormis nos oreilles.
Le Macaulay Culkin nouveau nous revient en effaceur politique.
C’est l’inconscient collectif ou votre petit inconscient à vous perso qui rend les hommes blancs responsables de tous les maux de la Terre ?
Prêt-à-porter, prêt-à-consommer, prêt-à-penser. La frénésie américaine s’est emparée de l’Occident au point que ce dernier en a accepté tout les codes jusqu’à laisser sa propre démocratie être mise à mal par les GAFAM.
Freund, « adversaire des Lumières », s’y livre à de percutantes réflexions, toujours actuelles, sur l’Europe, la technique, le féminisme, le racisme, l’individualisme, le libéralisme, etc.
Force est d’avouer que tout cela est grandiose et l’on est admiratif face à tant d’invention techno-administrative dans la gestion de l’épidémie.
Les agences de voyages souffrent particulièrement, en ce moment, et vous êtes nombreux à connaître l’engagement d’Odeia auprès des chrétiens d’Orient.
Gabrielle Cluzel n’a pas gagné parce qu’elle est une femme, mais parce que son livre a été sélectionné par le jury. Et s’il a été choisi, c’est parce qu’il lui est apparu comme le meilleur.
Dès lors, dans une dernière tentative prométhéenne de maîtriser la mort, « un véritable totalitarisme sanitaire se met en place ».
Les vitraux sont déjà en cours de démontage…
Le pire étant que nous nous accoutumons sans broncher à ce bourrage de crâne…
On nous l’annonce pour le 21 octobre 2021.
L’épidémie du Covid-19 et la révolte des Black Lives Matter sur laquelle la gauche a surfé abondamment, cristallisant et creusant les divisions internes à la société américaine, laissent présager d’une Amérique encore plus fracturée, au bord de l’implosion.
On a envie de dire que la couleur de peau des violonistes, pianistes et autres trompettistes, on s’en fout un peu, non ?
Il est, dès lors, plus que jamais impérieux d’édifier des « citadelles intérieures »…
Il y a, décidément, une exception cinématographique italienne, confirmée par les artisans d’Artus Films qui parviennent, encore et toujours, à exhumer de petits joyaux transalpins.
Une fidèle introduction à une œuvre inclassable (à la fois poétique et politique) par l’un des plus grands esprits traditionalistes contemporains.
Parmi son lot de surprises, bonnes ou mauvaises, quelques dates se profilent déjà dans ce nouvel agenda…
S’il y en avait bien un qui incarnait le jazz à la française, si ce n’est le jazz français tout court, c’était lui : Claude Bolling, parti à quatre-vingt-dix ans, ce 30 décembre dernier.
Résumer une si longue et si éclectique réussite tient de la gageure.
Alexander Neef a beau démentir la disparition de certaines œuvres, le processus est déjà lancé depuis plusieurs années…
D’une écriture cristalline aux phrases finement ciselées, Alain de Benoist nous gratifie d’une étincelante biobibliographie intellectuelle d’Ernst Jünger où l’intelligence le dispute à une connaissance profonde de l’écrivain…
On notera que le légendaire guitariste est, pour le moment, la seule star d’envergure à avoir dénoncé la mise en cage du peuple en général et des musiciens en particulier…
Ceux qui, aujourd’hui, veulent nous interdire de dire Joyeux Noël au nom de la politique des identités sont l’incarnation du mal qui menace notre civilisation. On les reconnaît à leurs « Bonne Fête ! »
Dans ce conte populaire, les rois mages peuvent encore venir adorer l’Enfant, accompagnés « d’une armée de petits négrillons », sans susciter l’indignation collective des racialistes, la femme adultère est pardonnée et le brigadier n’a pas besoin de charger son pistolet.
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