Culture
Le poste de ministre de la Culture émoustille la presse cancanière.
Le Conseil d’État turc a étudié, le 2 juillet, la requête de plusieurs associations qui demandent de rendre au culte musulman la basilique. La décision sera annoncée d’ici une quinzaine de jours.
L’histoire se déroule en Alsace à la veille des événements de mai 68, lorsque le personnel enseignant d’une école ménagère accueille ses nouvelles pensionnaires.
Maxence et ses malheureux camarades vont être rééduqués pour devenir des piliers du vivre ensemble.
Un film où passion, retenue, honneur, courage, élégance et fraternité sont mis en avant
Un livre d’histoire clair et passionnant, aussi peu nostalgique que riche d’enseignements…
Les salles de cinéma enfin rouvertes, nous avons décidé, aujourd’hui, de célébrer la chose par la recension d’un film historique de la talentueuse Agnieszka Holland…
Proposer de déboulonner quelques statues ou de célébrer des journées de commémoration ne saurait absoudre les crimes commis. Il faut les effacer définitivement de la mémoire des hommes et frapper durablement les esprits par des symboles forts.
Ce qui importait à Jules Ferry, dont tant de lycées, jusque-là encore, portent le nom, c’est que les Français soient réintégrés dans l’entièreté de leur histoire.
Cette fois-ci, pas de diffusion outre-Manche et outre-Atlantique pour Timothée de Fombelle, auteur de célèbres livres pour la jeunesse, comme Tobie Lolness (Gallimard jeunesse, 2006),
Que ne pourrait-on encore reprocher à l’homme blanc que les minorités dites opprimées n’aient pas encore incriminé ?
Le spectateur passe un bon moment et c’est l’essentiel.
La France d’aujourd’hui, avec sa culture de la repentance, sa tyrannie des minorités, son écriture inclusive et ses cortèges LGBT, n’est clairement pas la leur.
Pour Philippe de Villiers, il est évident que le Nouveau Monde, dont l’apothéose devait être marquée par la création d’un gouvernement mondial, est une idée épuisée…
Trop de Blancs et d’Asiatiques dans les concerts de musique classique, pas assez de représentants de la diversité dans les orchestres. C’est le nouveau combat des militants pro-noirs.
Bien avant qu’un seul Blanc n’ait mis le pied sur le sol africain, l’esclavage était, depuis de longs siècles, comme un mode de vie, une tradition, en Afrique.
Nourri de témoignages en tous genres, de rapports d’enquête, d’échanges de SMS (accablants), d’articles de presse et d’entretiens avec les différents protagonistes, l’ouvrage retranscrit également des écoutes réalisées en 2015 à la demande d’un juge d’instruction dans la cellule de Jean-Luc Germani, incarcéré à l’époque à la prison des Baumettes.
On sort de la salle avec l’envie de revoir le film pour mieux en analyser toutes les subtilités.
Un véritable voyage dans le passé, à travers les époques, les personnages et les décors.
Un participant à cette action témoigne, au micro de Boulevard Voltaire, de son admiration pour l’écrivain récemment disparu.
Un ouvrage de géopolitique très instructif.
Bernard Pivot lui avait demandé de quelle façon il souhaitait être accueilli par Dieu, dans l’au-delà : « Je voudrais qu’il m’appelle par mon prénom, Jean. »
Toute ressemblance avec une situation existante serait purement fortuite, bien sûr…
Il n’y a rien dans cette œuvre ancienne qui soit beau ou qui évoque avec justesse ce rôle et cette puissance essentiels de la féminité.
Le film suit la trajectoire de Nicola, un jeune Napolitain des quartiers pauvres dont la mère commerçante subit régulièrement le racket des bandes organisées…
Espérons que tous ceux qui, à Saint-Denis ou ailleurs, mettent en ces jours un genou à terre, dans un réflexe trop souvent communautariste et médiatique, se relèvent et la contemplent bientôt.
Raspail avait la passion des causes perdues, des civilisations disparues et des légendes.
Comme Athos devant Charles Ier, alors, découvrons-nous sans une larme au passage du cercueil du Consul…
Le poste de ministre de la Culture émoustille la presse cancanière.
Le Conseil d’État turc a étudié, le 2 juillet, la requête de plusieurs associations qui demandent de rendre au culte musulman la basilique. La décision sera annoncée d’ici une quinzaine de jours.
L’histoire se déroule en Alsace à la veille des événements de mai 68, lorsque le personnel enseignant d’une école ménagère accueille ses nouvelles pensionnaires.
Maxence et ses malheureux camarades vont être rééduqués pour devenir des piliers du vivre ensemble.
Un film où passion, retenue, honneur, courage, élégance et fraternité sont mis en avant
Un livre d’histoire clair et passionnant, aussi peu nostalgique que riche d’enseignements…
Les salles de cinéma enfin rouvertes, nous avons décidé, aujourd’hui, de célébrer la chose par la recension d’un film historique de la talentueuse Agnieszka Holland…
Proposer de déboulonner quelques statues ou de célébrer des journées de commémoration ne saurait absoudre les crimes commis. Il faut les effacer définitivement de la mémoire des hommes et frapper durablement les esprits par des symboles forts.
Ce qui importait à Jules Ferry, dont tant de lycées, jusque-là encore, portent le nom, c’est que les Français soient réintégrés dans l’entièreté de leur histoire.
Cette fois-ci, pas de diffusion outre-Manche et outre-Atlantique pour Timothée de Fombelle, auteur de célèbres livres pour la jeunesse, comme Tobie Lolness (Gallimard jeunesse, 2006),
Que ne pourrait-on encore reprocher à l’homme blanc que les minorités dites opprimées n’aient pas encore incriminé ?
Le spectateur passe un bon moment et c’est l’essentiel.
La France d’aujourd’hui, avec sa culture de la repentance, sa tyrannie des minorités, son écriture inclusive et ses cortèges LGBT, n’est clairement pas la leur.
Pour Philippe de Villiers, il est évident que le Nouveau Monde, dont l’apothéose devait être marquée par la création d’un gouvernement mondial, est une idée épuisée…
Trop de Blancs et d’Asiatiques dans les concerts de musique classique, pas assez de représentants de la diversité dans les orchestres. C’est le nouveau combat des militants pro-noirs.
Bien avant qu’un seul Blanc n’ait mis le pied sur le sol africain, l’esclavage était, depuis de longs siècles, comme un mode de vie, une tradition, en Afrique.
Nourri de témoignages en tous genres, de rapports d’enquête, d’échanges de SMS (accablants), d’articles de presse et d’entretiens avec les différents protagonistes, l’ouvrage retranscrit également des écoutes réalisées en 2015 à la demande d’un juge d’instruction dans la cellule de Jean-Luc Germani, incarcéré à l’époque à la prison des Baumettes.
On sort de la salle avec l’envie de revoir le film pour mieux en analyser toutes les subtilités.
Un véritable voyage dans le passé, à travers les époques, les personnages et les décors.
Un participant à cette action témoigne, au micro de Boulevard Voltaire, de son admiration pour l’écrivain récemment disparu.
Un ouvrage de géopolitique très instructif.
Bernard Pivot lui avait demandé de quelle façon il souhaitait être accueilli par Dieu, dans l’au-delà : « Je voudrais qu’il m’appelle par mon prénom, Jean. »
Toute ressemblance avec une situation existante serait purement fortuite, bien sûr…
Il n’y a rien dans cette œuvre ancienne qui soit beau ou qui évoque avec justesse ce rôle et cette puissance essentiels de la féminité.
Le film suit la trajectoire de Nicola, un jeune Napolitain des quartiers pauvres dont la mère commerçante subit régulièrement le racket des bandes organisées…
Espérons que tous ceux qui, à Saint-Denis ou ailleurs, mettent en ces jours un genou à terre, dans un réflexe trop souvent communautariste et médiatique, se relèvent et la contemplent bientôt.
Raspail avait la passion des causes perdues, des civilisations disparues et des légendes.
Comme Athos devant Charles Ier, alors, découvrons-nous sans une larme au passage du cercueil du Consul…
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