Culture
Fabrice Hadjadj, dans son livre, use d’un langage simple et direct, compréhensible de tous, et loin des cuistreries arrogantes de certains. Et il use de l’humour.
Rares sont les événements culturels à pouvoir réunir les classes moyennes supérieures métropolitaines et les populations des cités. Les victoires de Coupe du monde de
tout est sur la table depuis 1924, comme l’étaient les desseins d’Hitler dans Mein Kampf.
Ce mercredi soir est inaugurée l’Académie Cicéron. Une initiative portée par Guillaume Bigot, spécialiste de géopolitique, Aquilino Morelle, Stéphane Simon et d’autres encore. Son but
Avec La Révolution nationale, les gilets jaunes ont trouvé leur doctrine. Reste à l’accomplir !
Celui qui fut un ami de l’écrivain roumain Emil Cioran (1911-1995) rend compte, à l’aide d’un style tant épuré qu’aiguisé, de chacun des épisodes d’un véritable feuilleton audiovisuel.
Les progressistes ont, en fait, horreur de la nature, et de la nature humaine en particulier, parce qu’elle limite (quelle horreur !) nos possibilités, nos choix et la réalisation des désirs les plus fous.
L’intelligence artificielle est à la mode : quel cerveau électronique remplacera jamais un pianiste exceptionnel ?
À l’heure des écrivants se prenant pour des écrivains, l’écrasante majorité des plumitifs qui encombre les étals des libraires avant de rejoindre salubrement les pilons gagnerait à s’entremettre avec notre homme…
L’exercice est insuffisant. Heureusement, les acteurs sauvent l’ensemble.
Hier, c’était le théâtre et ses masques qui étaient racistes, à présent, c’est la sculpture…
Le problème, c’est que certains bobards sont si hénaurmes que l’on en vient parfois à se demander si Jean-Yves Le Gallou ne nous cacherait pas des ancêtres marseillais.
Demain, peut-être, le courageux reporter s’envolera vers la Lune à bord d’une fusée photovoltaïque qui respectera le bilan carbone…
Dans ce grand jeu de massacre à l’écriture vive et drôle, Bruno Lafourcade ne compte pas ses cartouches.
Si nous sommes la première destination touristique mondiale, ce n’est en aucun cas pour nos parcs éoliens, nos zones commerciales et nos parkings.
De Voltaire au général Faidherbe en passant par Jeanne d’Arc, Colbert, Pétain, etc., Casali s’emploie à redresser l’Histoire en réhabilitant ses figures les plus emblématiques.
Résolument dépassionné, évitant sciemment tout lyrisme, le film de Roman Polanski captive d’un bout à l’autre du récit et fait preuve, comme à l’accoutumée, d’un sens du cadre peu commun.
Pour qu’Homo festivus s’amuse le temps d’un vernissage, c’est une citadelle historique qui a été « gâchée ».
Le patron a dit « adaptée aux enjeux de notre époque ».
Aujourd’hui, c’est la pression qui paye, la censure brute et brutale. Pas de temps pour la réflexion, encore moins pour la justice. Juste l’impulsion.
À recommander à tous ceux qui veulent comprendre comment on en est arrivé là.
Un film maîtrisé, rugueux, documenté et sobrement interprété, qui ne cède rien au cynisme gratuit ni à la complaisance, un peu à l’image de ces grands polars italiens des années 70.
N’en est-il pas de la santé comme du reste ? Après tout, à Créteil, on engage des profs de maths qui ont eu leur CAPES avec 4/20…
Plus que libre.
Marie Laforêt venait d’avoir 80 ans. Elle est morte, samedi, près de Genève. Notre ami Nicolas Gauthier reviendra dans la prochaine édition de Boulevard Voltaire
Ne cherchez pas, dans le dernier long-métrage de Nicolas Pariser, les recettes du cinéma hollywoodien…
C’est un univers de fantasmes, de délires d’ombres et de faisceaux tranchants comme des rasoirs que ce carrousel des ombres.
Un film à voir en famille.
Fabrice Hadjadj, dans son livre, use d’un langage simple et direct, compréhensible de tous, et loin des cuistreries arrogantes de certains. Et il use de l’humour.
Rares sont les événements culturels à pouvoir réunir les classes moyennes supérieures métropolitaines et les populations des cités. Les victoires de Coupe du monde de
tout est sur la table depuis 1924, comme l’étaient les desseins d’Hitler dans Mein Kampf.
Ce mercredi soir est inaugurée l’Académie Cicéron. Une initiative portée par Guillaume Bigot, spécialiste de géopolitique, Aquilino Morelle, Stéphane Simon et d’autres encore. Son but
Avec La Révolution nationale, les gilets jaunes ont trouvé leur doctrine. Reste à l’accomplir !
Celui qui fut un ami de l’écrivain roumain Emil Cioran (1911-1995) rend compte, à l’aide d’un style tant épuré qu’aiguisé, de chacun des épisodes d’un véritable feuilleton audiovisuel.
Les progressistes ont, en fait, horreur de la nature, et de la nature humaine en particulier, parce qu’elle limite (quelle horreur !) nos possibilités, nos choix et la réalisation des désirs les plus fous.
L’intelligence artificielle est à la mode : quel cerveau électronique remplacera jamais un pianiste exceptionnel ?
À l’heure des écrivants se prenant pour des écrivains, l’écrasante majorité des plumitifs qui encombre les étals des libraires avant de rejoindre salubrement les pilons gagnerait à s’entremettre avec notre homme…
L’exercice est insuffisant. Heureusement, les acteurs sauvent l’ensemble.
Hier, c’était le théâtre et ses masques qui étaient racistes, à présent, c’est la sculpture…
Le problème, c’est que certains bobards sont si hénaurmes que l’on en vient parfois à se demander si Jean-Yves Le Gallou ne nous cacherait pas des ancêtres marseillais.
Demain, peut-être, le courageux reporter s’envolera vers la Lune à bord d’une fusée photovoltaïque qui respectera le bilan carbone…
Dans ce grand jeu de massacre à l’écriture vive et drôle, Bruno Lafourcade ne compte pas ses cartouches.
Si nous sommes la première destination touristique mondiale, ce n’est en aucun cas pour nos parcs éoliens, nos zones commerciales et nos parkings.
De Voltaire au général Faidherbe en passant par Jeanne d’Arc, Colbert, Pétain, etc., Casali s’emploie à redresser l’Histoire en réhabilitant ses figures les plus emblématiques.
Résolument dépassionné, évitant sciemment tout lyrisme, le film de Roman Polanski captive d’un bout à l’autre du récit et fait preuve, comme à l’accoutumée, d’un sens du cadre peu commun.
Pour qu’Homo festivus s’amuse le temps d’un vernissage, c’est une citadelle historique qui a été « gâchée ».
Le patron a dit « adaptée aux enjeux de notre époque ».
Aujourd’hui, c’est la pression qui paye, la censure brute et brutale. Pas de temps pour la réflexion, encore moins pour la justice. Juste l’impulsion.
À recommander à tous ceux qui veulent comprendre comment on en est arrivé là.
Un film maîtrisé, rugueux, documenté et sobrement interprété, qui ne cède rien au cynisme gratuit ni à la complaisance, un peu à l’image de ces grands polars italiens des années 70.
N’en est-il pas de la santé comme du reste ? Après tout, à Créteil, on engage des profs de maths qui ont eu leur CAPES avec 4/20…
Plus que libre.
Marie Laforêt venait d’avoir 80 ans. Elle est morte, samedi, près de Genève. Notre ami Nicolas Gauthier reviendra dans la prochaine édition de Boulevard Voltaire
Ne cherchez pas, dans le dernier long-métrage de Nicolas Pariser, les recettes du cinéma hollywoodien…
C’est un univers de fantasmes, de délires d’ombres et de faisceaux tranchants comme des rasoirs que ce carrousel des ombres.
Un film à voir en famille.
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