Culture
Un film à voir en famille.
L’homme, solitaire, aussi bien par tempérament que par méthode, s’est assez mal accommodé d’un système entièrement captif, in fine, des turpitudes, bassesses et autres médiocrités de ses acteurs…
À en croire les responsables de la vénérable Chelsea Old Church, la prochaine étape consisterait à réunir ces deux drôles de paroissiens en concert en cette enceinte consacrée.
Chez ce précautionneux Harpagon des Lettres, le verbe se fait tellement cher, qu’il n’en réserve l’usage qu’aux grandes occasions.
À l’occasion de la sortie de son essai Courage ! Manuel de guérilla culturelle, qui vient de paraître aux Éditions de La Nouvelle Librairie, Boulevard
Ce succès au box-office est aussi un cri d’angoisse. Et de révolte. Un de plus.
Nous évoquions, en décembre dernier, The Looming tower, le mini-feuilleton de dix épisodes sur les conditions qui rendirent possibles les attentats du 11 septembre 2001.
264 notices, 107 contributeurs de 12 nationalités différentes, 1.213 pages feront, assurément, de ce monumental ouvrage une des sommes incontournables sur cette question aussi délicate
Baroudeur au cœur pur, enfant de la scène, de la Providence et du Béarn, à 90 ans, Hugues Aufray s’apprête à sortir un nouvel album et entame une nouvelle tournée, dès janvier.
Et nous ne serons pas étonnés d’apprendre que les familles d’un bon niveau d’instruction refusent l’accès à l’outil numérique à leurs jeunes enfants, vont jusqu’à les envoyer dans des écoles privées…
Un livre clair et accessible sur un sujet fondamental : la révolution des robots.
Qui peut décemment faire confiance à un Superman tellement nigaud qu’il enfile son slip par-dessus son pantalon ?
La simple vue d’un zizi a de quoi faire défaillir des âmes aussi sensibles…
Aux yeux du politiquement correct – appellation moderne du panurgisme –, la décision de l’Académie suédoise est une provocation, voire un blasphème.
Puis, il y a le gauchisme ambiant, ce qui explique qu’il faille attendre 1992 pour avoir le Diên Biên Phu, de Pierre Schoendoerffer…
Dans la parfaite lignée du feuilleton, le film joue habilement entre le drame et l’humour, soigne ses dialogues, réserve à chaque personnage son moment de gloire et instille par petites touches quelques idées qui ne plairont pas aux esprits sectaires…
Un essai très intéressant consacré au populisme, ou plutôt aux populismes, tant il est évident que les mouvements dits populistes véhiculent des idées très diverses en dépit de ce qu’ils partagent.
Le calendrier a de ces hasards…
En signe de soutien à Éric Zemmour, et parce que la liberté d’expression est au cœur du combat de Boulevard Voltaire, nous avons choisi de
C’est une grande voix qui vient de s’éteindre, et pas précisément celle de l’horloge parlante, puisque s’agissant de Jessye Norman, partie chanter sous d’autres cieux,
La politique taraude Fabrice Luchini.
Au royaume des Cieux, les derniers seront les premiers, à en croire la rumeur. Bienvenue chez les grands, cher Charles Gérard.
D’un point de vue artistique, le film est un ratage complet.
Que savons-nous de Salvini ? Peu de choses, essentiellement quelques clichés…
Le français ne retrouvera sa vocation diplomatique que s’il est appris à l’école avec amour…
À l’occasion de la soirée Audiard organisée à La Nouvelle Librairie, Boulevard Voltaire a rencontré son animateur, Nicolas Gauthier. Il évoque l’univers du dialoguiste et
À rebours de la doxa dominante qui affirme que nous sommes ce que nous voulons être (ou le mythe narcissique de l’autoconstruction de soi) et des affirmations péremptoires de Simone de Beauvoir…
Personnellement, je préfère voir Catherine Deneuve sous son grand chapeau rose des Demoiselles de Rochefort, mais l’art n’est-il pas celui de la liberté de créer ?
Un film à voir en famille.
L’homme, solitaire, aussi bien par tempérament que par méthode, s’est assez mal accommodé d’un système entièrement captif, in fine, des turpitudes, bassesses et autres médiocrités de ses acteurs…
À en croire les responsables de la vénérable Chelsea Old Church, la prochaine étape consisterait à réunir ces deux drôles de paroissiens en concert en cette enceinte consacrée.
Chez ce précautionneux Harpagon des Lettres, le verbe se fait tellement cher, qu’il n’en réserve l’usage qu’aux grandes occasions.
À l’occasion de la sortie de son essai Courage ! Manuel de guérilla culturelle, qui vient de paraître aux Éditions de La Nouvelle Librairie, Boulevard
Ce succès au box-office est aussi un cri d’angoisse. Et de révolte. Un de plus.
Nous évoquions, en décembre dernier, The Looming tower, le mini-feuilleton de dix épisodes sur les conditions qui rendirent possibles les attentats du 11 septembre 2001.
264 notices, 107 contributeurs de 12 nationalités différentes, 1.213 pages feront, assurément, de ce monumental ouvrage une des sommes incontournables sur cette question aussi délicate
Baroudeur au cœur pur, enfant de la scène, de la Providence et du Béarn, à 90 ans, Hugues Aufray s’apprête à sortir un nouvel album et entame une nouvelle tournée, dès janvier.
Et nous ne serons pas étonnés d’apprendre que les familles d’un bon niveau d’instruction refusent l’accès à l’outil numérique à leurs jeunes enfants, vont jusqu’à les envoyer dans des écoles privées…
Un livre clair et accessible sur un sujet fondamental : la révolution des robots.
Qui peut décemment faire confiance à un Superman tellement nigaud qu’il enfile son slip par-dessus son pantalon ?
La simple vue d’un zizi a de quoi faire défaillir des âmes aussi sensibles…
Aux yeux du politiquement correct – appellation moderne du panurgisme –, la décision de l’Académie suédoise est une provocation, voire un blasphème.
Puis, il y a le gauchisme ambiant, ce qui explique qu’il faille attendre 1992 pour avoir le Diên Biên Phu, de Pierre Schoendoerffer…
Dans la parfaite lignée du feuilleton, le film joue habilement entre le drame et l’humour, soigne ses dialogues, réserve à chaque personnage son moment de gloire et instille par petites touches quelques idées qui ne plairont pas aux esprits sectaires…
Un essai très intéressant consacré au populisme, ou plutôt aux populismes, tant il est évident que les mouvements dits populistes véhiculent des idées très diverses en dépit de ce qu’ils partagent.
Le calendrier a de ces hasards…
En signe de soutien à Éric Zemmour, et parce que la liberté d’expression est au cœur du combat de Boulevard Voltaire, nous avons choisi de
C’est une grande voix qui vient de s’éteindre, et pas précisément celle de l’horloge parlante, puisque s’agissant de Jessye Norman, partie chanter sous d’autres cieux,
La politique taraude Fabrice Luchini.
Au royaume des Cieux, les derniers seront les premiers, à en croire la rumeur. Bienvenue chez les grands, cher Charles Gérard.
D’un point de vue artistique, le film est un ratage complet.
Que savons-nous de Salvini ? Peu de choses, essentiellement quelques clichés…
Le français ne retrouvera sa vocation diplomatique que s’il est appris à l’école avec amour…
À l’occasion de la soirée Audiard organisée à La Nouvelle Librairie, Boulevard Voltaire a rencontré son animateur, Nicolas Gauthier. Il évoque l’univers du dialoguiste et
À rebours de la doxa dominante qui affirme que nous sommes ce que nous voulons être (ou le mythe narcissique de l’autoconstruction de soi) et des affirmations péremptoires de Simone de Beauvoir…
Personnellement, je préfère voir Catherine Deneuve sous son grand chapeau rose des Demoiselles de Rochefort, mais l’art n’est-il pas celui de la liberté de créer ?
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