Culture
Les philosophes défrichent les voies obscures de la vérité du monde. La tâche est ingrate, parfois herculéenne…
Découvrez Les Buddenbrook, c’est une belle promenade littéraire.
Les tenants de la Johnny mania ne m’en voudront pas de lui préférer celui qui nous a quittés, il y a près d’un demi-siècle déjà.
Ce livre est bref et poignant ; il n’a pas d’autre prétention que celle de parler des millions d’invisibles de cette « France de l’envers »…
En phase avec cette approche instruite de ce condensé de civilisation, l’appel à la « défense du vin contre les pisse-vinaigre » est une cause nationale.
Il n’est pas le plus connu des châteaux de la Loire, mais durant quinze jours, il est certainement le plus vivant, ouvrant ses portes exceptionnellement
En un mot, il propose d’accorder un statut coranique à des enclaves musulmanes sur le territoire français, sans partition ni apartheid.
On ne saurait occulter la place considérable que tient la « music » dite « electro » dans la société contemporaine.
Le film réunissant Clark Gable et Vivien Leigh reste encore le chef-d’œuvre éternel de l’histoire du cinéma.
L’art officiel est le symptôme clé de ce qui nous affecte : budgets gonflés, idéologie omniprésente, bons sentiments obligatoires, mépris du peuple…
Je garde dans la tête une chanson d’alors des Frères Jacques…
Le western européen d’alors se tâte.
Le battage de France Inter autour de ce hors-série aurait déjà dû nous alerter.
Le retour de Ringo n’est jamais que celui d’Ulysse. Adapter Homère en western, il fallait l’oser et ce fut fait ; de la plus belle manière qui soit.
En France, de nombreuses rues, des collèges et des lycées portent le nom de Charles Péguy. Pascal Durand n’aura jamais cet honneur.
C’est pourtant évident. Qu’a été le mouvement gilet jaune, sinon un sous-marin jaune ?
Johnny Clegg, musicien sud-africain, vient de nous quitter ce 16 juillet, à seulement 66 ans.
Pour un tel tirage, il faut que l’auteur soit une star, passée, présente ou… pleine d’avenir. Ou… un mort. Du monde politique ou du spectacle.
Cet essai est un parfait mode d’emploi pour bien comprendre les enjeux de civilisation qui se cachent derrière ce qu’il est convenu d’appeler des progrès sociétaux.
Ce qui a disparu, c’est ce que Cicéron nommait la cultura animi, la culture de l’âme.
Le Sénat a adopté, mercredi, le projet de loi encadrant la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris, puis le texte retournera à l’Assemblée nationale.
Boucaud-Victoire reste animé par un souci quasi obsessionnel de laver Michéa de tout soupçon de « droitisme » réactionnaire. Vaine entreprise…
C’est que Jean Raspail, c’est bien connu, n’a jamais eu peur de mettre sa lampe frontale et ses mains dans le charbon pour descendre au fond de la mine.
Un regard appuyé, et zou ! Au poste ! La contredanse en guise de danse et Marlène qui bat la mesure.
Le suspense est à son comble… Et qu’il en a de la chance, le spectateur maso-culturel !
François Jonquères n’hésite pas à être politiquement très incorrect : « Il est grand temps d’ouvrir nos yeux et de faire revivre une œuvre bien digne d’être chérie. »
Mais la qualité ne réside-t-elle pas aussi dans la fidélité aux œuvres d’origine ?
C’est notre Cyrandré de Bercoffac, un roc qui garde le cap et ne ménage pas ses piques…
Les philosophes défrichent les voies obscures de la vérité du monde. La tâche est ingrate, parfois herculéenne…
Découvrez Les Buddenbrook, c’est une belle promenade littéraire.
Les tenants de la Johnny mania ne m’en voudront pas de lui préférer celui qui nous a quittés, il y a près d’un demi-siècle déjà.
Ce livre est bref et poignant ; il n’a pas d’autre prétention que celle de parler des millions d’invisibles de cette « France de l’envers »…
En phase avec cette approche instruite de ce condensé de civilisation, l’appel à la « défense du vin contre les pisse-vinaigre » est une cause nationale.
Il n’est pas le plus connu des châteaux de la Loire, mais durant quinze jours, il est certainement le plus vivant, ouvrant ses portes exceptionnellement
En un mot, il propose d’accorder un statut coranique à des enclaves musulmanes sur le territoire français, sans partition ni apartheid.
On ne saurait occulter la place considérable que tient la « music » dite « electro » dans la société contemporaine.
Le film réunissant Clark Gable et Vivien Leigh reste encore le chef-d’œuvre éternel de l’histoire du cinéma.
L’art officiel est le symptôme clé de ce qui nous affecte : budgets gonflés, idéologie omniprésente, bons sentiments obligatoires, mépris du peuple…
Je garde dans la tête une chanson d’alors des Frères Jacques…
Le western européen d’alors se tâte.
Le battage de France Inter autour de ce hors-série aurait déjà dû nous alerter.
Le retour de Ringo n’est jamais que celui d’Ulysse. Adapter Homère en western, il fallait l’oser et ce fut fait ; de la plus belle manière qui soit.
En France, de nombreuses rues, des collèges et des lycées portent le nom de Charles Péguy. Pascal Durand n’aura jamais cet honneur.
C’est pourtant évident. Qu’a été le mouvement gilet jaune, sinon un sous-marin jaune ?
Johnny Clegg, musicien sud-africain, vient de nous quitter ce 16 juillet, à seulement 66 ans.
Pour un tel tirage, il faut que l’auteur soit une star, passée, présente ou… pleine d’avenir. Ou… un mort. Du monde politique ou du spectacle.
Cet essai est un parfait mode d’emploi pour bien comprendre les enjeux de civilisation qui se cachent derrière ce qu’il est convenu d’appeler des progrès sociétaux.
Ce qui a disparu, c’est ce que Cicéron nommait la cultura animi, la culture de l’âme.
Le Sénat a adopté, mercredi, le projet de loi encadrant la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris, puis le texte retournera à l’Assemblée nationale.
Boucaud-Victoire reste animé par un souci quasi obsessionnel de laver Michéa de tout soupçon de « droitisme » réactionnaire. Vaine entreprise…
C’est que Jean Raspail, c’est bien connu, n’a jamais eu peur de mettre sa lampe frontale et ses mains dans le charbon pour descendre au fond de la mine.
Un regard appuyé, et zou ! Au poste ! La contredanse en guise de danse et Marlène qui bat la mesure.
Le suspense est à son comble… Et qu’il en a de la chance, le spectateur maso-culturel !
François Jonquères n’hésite pas à être politiquement très incorrect : « Il est grand temps d’ouvrir nos yeux et de faire revivre une œuvre bien digne d’être chérie. »
Mais la qualité ne réside-t-elle pas aussi dans la fidélité aux œuvres d’origine ?
C’est notre Cyrandré de Bercoffac, un roc qui garde le cap et ne ménage pas ses piques…
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