Culture
Remercions donc Michel Onfray de son courage.
Et nous, demain ? Prendrions-nous le bateau pour un nouveau Londres ou le maquis au pays ?
Avant de hululer aux youyous de victoire, aux hourras contre les houria et tirer des conclusions hâtives à faire pâlir de jalousie Urbain II, un peu de sémiologie semble opportune.
Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, réagit au micro de Boulevard Voltaire au risque de « burn out » des députés évoqué par François de Rugy.
La direction de Carrefour n’a, pour l’instant, pas encore pris position.
Le sentiment que les élections ne servent à rien, et la répression qui s’abat sur la liberté d’expression sont aujourd’hui les deux symptômes d’une véritable maladie de la démocratie, en Europe, et en France en particulier.
Ainsi, l’accueil qui serait réservé aux migrants à Menton par la police aux frontières (PAF) serait « indigne ».
Yann Moix présente la particularité d’exploser les compteurs de l’idéologie Bisounours.
Je dirais bien que les voies du Seigneur sont impénétrables mais ce serait de mauvais goût.
Très loin des grands discours et des grandes théories, des luttes engagées et des ayatollahs du politiquement correct, ce film est à ne pas manquer.
La laïcité, ça paraît être un vrai boulot voire un business juteux pour certains, alors que ce serait pourtant très simple à partir de l’instant où l’on accepterait de poser clairement le problème.
Beaucoup à droite se targuent aujourd’hui de se dire « conservateurs » : eh bien ! Qu’ils le soient jusqu’au bout…
La cathédrale de Chartres, joyau de notre civilisation occidentale, ayant son environnement détruit pour remplir quelques grosses poches ?
Le vrai rassemblement consiste à renoncer aux chapelles politiciennes pour défendre les intérêts de la France et des Français.
Mais la famille royale britannique ne semble pas plus émue que cela par ces menaces.
Si l’on fait abstraction des équipes de télévision et radio couvrant l’événement et des membres plus ou moins anonymes chargés de la sécurité, l’assistance était peu abondante et même clairsemée.
Hélas, l’arithmétique politique est étrange : n’a-t-on pas vu un inconnu immature, sans parti, arriver récemment à la tête d’un grand pays ?
Et notre gentil agriculteur-passeur s’est alors mué en docte professeur : « Faudrait comprendre le terrorisme, le mécanisme. »
On se rend compte que le populisme pourrait bien n’être que marginal.
Les gens veulent vivre tranquilles chez eux et garder leurs coutumes. On peut appeler ça une « crise ». On peut aussi appeler çà de légitimes revendications.
La presse de gauche est muette, tout comme les féministes habituellement si promptes à dénoncer.
Tout le monde se pose la question : les incroyants ou les « croyants non pratiquants », les « catholiques ouverts sur le monde », et même les cathos tradis.
Au fait, le projet de loi sur les fake news, voulu tout spécialement par Emmanuel Macron, est en discussion à la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale.
Marion Maréchal vient d’annoncer le lancement de son école, l’ISSEP. Pour autant, on ne la voit pas « partout » : elle dit préférer, avec le relais
On s’inquiète aussi chez nous d’une possible contagion des barbus moralisateurs. Et s’il faut fermer toutes les salles où l’on projette des films licencieux, il ne va pas rester grand-chose d’ouvert…
La Belgique a été victime, une nouvelle fois, d’un attentat terroriste. À Liège, Benjamin Herman, un détenu de droit commun radicalisé bénéficiant d’un congé pénitentiaire,
Aimer Paris a déjà des propositions concrètes pour sortir du sectarisme d’Hidalgo dans le domaine de la circulation, de la propreté, du logement, de l’immigration, de la culture, de la sécurité.
Pourquoi voter, puisqu’un seul choix est possible ?
Remercions donc Michel Onfray de son courage.
Et nous, demain ? Prendrions-nous le bateau pour un nouveau Londres ou le maquis au pays ?
Avant de hululer aux youyous de victoire, aux hourras contre les houria et tirer des conclusions hâtives à faire pâlir de jalousie Urbain II, un peu de sémiologie semble opportune.
Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, réagit au micro de Boulevard Voltaire au risque de « burn out » des députés évoqué par François de Rugy.
La direction de Carrefour n’a, pour l’instant, pas encore pris position.
Le sentiment que les élections ne servent à rien, et la répression qui s’abat sur la liberté d’expression sont aujourd’hui les deux symptômes d’une véritable maladie de la démocratie, en Europe, et en France en particulier.
Ainsi, l’accueil qui serait réservé aux migrants à Menton par la police aux frontières (PAF) serait « indigne ».
Yann Moix présente la particularité d’exploser les compteurs de l’idéologie Bisounours.
Je dirais bien que les voies du Seigneur sont impénétrables mais ce serait de mauvais goût.
Très loin des grands discours et des grandes théories, des luttes engagées et des ayatollahs du politiquement correct, ce film est à ne pas manquer.
La laïcité, ça paraît être un vrai boulot voire un business juteux pour certains, alors que ce serait pourtant très simple à partir de l’instant où l’on accepterait de poser clairement le problème.
Beaucoup à droite se targuent aujourd’hui de se dire « conservateurs » : eh bien ! Qu’ils le soient jusqu’au bout…
La cathédrale de Chartres, joyau de notre civilisation occidentale, ayant son environnement détruit pour remplir quelques grosses poches ?
Le vrai rassemblement consiste à renoncer aux chapelles politiciennes pour défendre les intérêts de la France et des Français.
Mais la famille royale britannique ne semble pas plus émue que cela par ces menaces.
Si l’on fait abstraction des équipes de télévision et radio couvrant l’événement et des membres plus ou moins anonymes chargés de la sécurité, l’assistance était peu abondante et même clairsemée.
Hélas, l’arithmétique politique est étrange : n’a-t-on pas vu un inconnu immature, sans parti, arriver récemment à la tête d’un grand pays ?
Et notre gentil agriculteur-passeur s’est alors mué en docte professeur : « Faudrait comprendre le terrorisme, le mécanisme. »
On se rend compte que le populisme pourrait bien n’être que marginal.
Les gens veulent vivre tranquilles chez eux et garder leurs coutumes. On peut appeler ça une « crise ». On peut aussi appeler çà de légitimes revendications.
La presse de gauche est muette, tout comme les féministes habituellement si promptes à dénoncer.
Tout le monde se pose la question : les incroyants ou les « croyants non pratiquants », les « catholiques ouverts sur le monde », et même les cathos tradis.
Au fait, le projet de loi sur les fake news, voulu tout spécialement par Emmanuel Macron, est en discussion à la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale.
Marion Maréchal vient d’annoncer le lancement de son école, l’ISSEP. Pour autant, on ne la voit pas « partout » : elle dit préférer, avec le relais
On s’inquiète aussi chez nous d’une possible contagion des barbus moralisateurs. Et s’il faut fermer toutes les salles où l’on projette des films licencieux, il ne va pas rester grand-chose d’ouvert…
La Belgique a été victime, une nouvelle fois, d’un attentat terroriste. À Liège, Benjamin Herman, un détenu de droit commun radicalisé bénéficiant d’un congé pénitentiaire,
Aimer Paris a déjà des propositions concrètes pour sortir du sectarisme d’Hidalgo dans le domaine de la circulation, de la propreté, du logement, de l’immigration, de la culture, de la sécurité.
Pourquoi voter, puisqu’un seul choix est possible ?
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