Culture
Il faut aimer la France. Ça se sent, se vit. Cela s’enseigne aussi. Faisons aimer la France, aujourd’hui. Et en 2050 nous aurons des généraux Dumas de la Pailleterie !
Le boycott du pavillon russe du Salon du livre de Paris par Macron est un signe à la fois de servilité et de petitesse.
Le nouveau numéro d’Éléments est en kiosques. Entretien avec son rédacteur en chef, François Bousquet.
Les gouvernements qui se sont succédé ont, par leurs lâchetés, discrédité l’autorité de l’État.
De Bruxelles à l’Afrique subsaharienne en passant par le Maghreb, la défense du français fait de plus en plus figure de chimère réactionnaire.
Une nouvelle application, venue du Royaume-Uni, propose aux collégiens de réviser leurs cours en chansons, pour un abonnement mensuel de 4,99 €.
La Hongrie et la Corse partagent une même inquiétude, celle de pays trop étroits pour que l’influence culturelle, religieuse, politique des migrations de masse ne devienne pas pour eux une question de vie ou de mort.
Un jour ou l’autre la communication doit céder la place à l’Histoire et c’est moins feutré qu’une campagne marketing.
Selon Frédéric Pons – qui les a suivies sur le terrain -, les élections en Russie ont été, dans un climat serein, un plébiscite pour Vladimir Poutine.
Le président de la République a présenté mardi, sous la Coupole, une trentaine de mesures pour renforcer la place de la langue française dans le monde.
Le président de l’autorité palestinienne n’a pas mâché ses mots.
Débattre d’un tel sujet est sûrement opportun, mais avec l’organisation honnête qu’on est en droit d’exiger d’une chaîne publique…
La présidente du Front National avait obtenu à Mayotte un bon score à la présidentielle. Elle a donc une légitimité à s’exprimer.
Nicolas Dhuicq faisait partie des Français invités à observer les élections en Russie. Il livre à Boulevard Voltaire son point de vue d’observateur sur le déroulement de ce scrutin qui a vu la réélection de Poutine.
Selon cette conception, le premier objectif d’une société, son but ultime, sa valeur suprême, ce n’est même pas le travail, c’est la production et la consommation.
Vendredi dernier, le général François Lecointre, chef d’état-major des armées, déclarait au micro d’Europe 1 que la France était capable d’intervenir « en autonomie » en Syrie. Le général (2s) Vincent Desportes revient pour Boulevard Voltaire sur cette déclaration.
Tant que Poutine est président, il est invulnérable.
La France se trouve, avec Emmanuel Macron, dans un populisme singulier, de culture, d’autorité, de soie et de velours.
Il n’est qu’un pathétique donneur de leçons avide de scène, un bien-pensant mal-agissant, issu de la pléthorique Armada du show-biz.
La situation sur l’île est explosive.
Près de 1.000 enfants (blancs) ont été abusés sexuellement, torturés, voire prostitués par des gangs dont les membres étaient d’origine pakistanaise ou bangladaise.
Il paraît que « le nationalisme, c’est la guerre ». Espérons que nous n’aurons pas à en dire autant du macronisme…
Plusieurs signes montrent que le pouvoir n’est pas si déterminé que cela face aux syndicats et qu’il consent même des reculs scandaleux pour leur donner raison.
L’ancien compagnon de Marie Trintignant, qu’il a frappée mortellement un jour de 2003, suscite chez beaucoup un malaise.
L’ambiguïté conduit à faire voter un conservateur de province pour un candidat jacobin, étatiste et peu soucieux des valeurs et de la défense de la famille.
La consommation effrénée, souvent au prix d’un endettement important, et parfois sur les comptes sociaux, est la seule insertion qui fonctionne en France en ce moment pour les nouvelles populations.
Au fond, il n’y rien de plus simple que la politique étrangère : ici les bons, là les méchants. Suffit de se tenir à jour.
À l’initiative des évêques de leur région, dés élus PACA d’horizons politiques très divers ont pu découvrir les institutions vaticanes. Le point fort a été évidemment une audience privée avec le Saint Père.
Il faut aimer la France. Ça se sent, se vit. Cela s’enseigne aussi. Faisons aimer la France, aujourd’hui. Et en 2050 nous aurons des généraux Dumas de la Pailleterie !
Le boycott du pavillon russe du Salon du livre de Paris par Macron est un signe à la fois de servilité et de petitesse.
Le nouveau numéro d’Éléments est en kiosques. Entretien avec son rédacteur en chef, François Bousquet.
Les gouvernements qui se sont succédé ont, par leurs lâchetés, discrédité l’autorité de l’État.
De Bruxelles à l’Afrique subsaharienne en passant par le Maghreb, la défense du français fait de plus en plus figure de chimère réactionnaire.
Une nouvelle application, venue du Royaume-Uni, propose aux collégiens de réviser leurs cours en chansons, pour un abonnement mensuel de 4,99 €.
La Hongrie et la Corse partagent une même inquiétude, celle de pays trop étroits pour que l’influence culturelle, religieuse, politique des migrations de masse ne devienne pas pour eux une question de vie ou de mort.
Un jour ou l’autre la communication doit céder la place à l’Histoire et c’est moins feutré qu’une campagne marketing.
Selon Frédéric Pons – qui les a suivies sur le terrain -, les élections en Russie ont été, dans un climat serein, un plébiscite pour Vladimir Poutine.
Le président de la République a présenté mardi, sous la Coupole, une trentaine de mesures pour renforcer la place de la langue française dans le monde.
Le président de l’autorité palestinienne n’a pas mâché ses mots.
Débattre d’un tel sujet est sûrement opportun, mais avec l’organisation honnête qu’on est en droit d’exiger d’une chaîne publique…
La présidente du Front National avait obtenu à Mayotte un bon score à la présidentielle. Elle a donc une légitimité à s’exprimer.
Nicolas Dhuicq faisait partie des Français invités à observer les élections en Russie. Il livre à Boulevard Voltaire son point de vue d’observateur sur le déroulement de ce scrutin qui a vu la réélection de Poutine.
Selon cette conception, le premier objectif d’une société, son but ultime, sa valeur suprême, ce n’est même pas le travail, c’est la production et la consommation.
Vendredi dernier, le général François Lecointre, chef d’état-major des armées, déclarait au micro d’Europe 1 que la France était capable d’intervenir « en autonomie » en Syrie. Le général (2s) Vincent Desportes revient pour Boulevard Voltaire sur cette déclaration.
Tant que Poutine est président, il est invulnérable.
La France se trouve, avec Emmanuel Macron, dans un populisme singulier, de culture, d’autorité, de soie et de velours.
Il n’est qu’un pathétique donneur de leçons avide de scène, un bien-pensant mal-agissant, issu de la pléthorique Armada du show-biz.
La situation sur l’île est explosive.
Près de 1.000 enfants (blancs) ont été abusés sexuellement, torturés, voire prostitués par des gangs dont les membres étaient d’origine pakistanaise ou bangladaise.
Il paraît que « le nationalisme, c’est la guerre ». Espérons que nous n’aurons pas à en dire autant du macronisme…
Plusieurs signes montrent que le pouvoir n’est pas si déterminé que cela face aux syndicats et qu’il consent même des reculs scandaleux pour leur donner raison.
L’ancien compagnon de Marie Trintignant, qu’il a frappée mortellement un jour de 2003, suscite chez beaucoup un malaise.
L’ambiguïté conduit à faire voter un conservateur de province pour un candidat jacobin, étatiste et peu soucieux des valeurs et de la défense de la famille.
La consommation effrénée, souvent au prix d’un endettement important, et parfois sur les comptes sociaux, est la seule insertion qui fonctionne en France en ce moment pour les nouvelles populations.
Au fond, il n’y rien de plus simple que la politique étrangère : ici les bons, là les méchants. Suffit de se tenir à jour.
À l’initiative des évêques de leur région, dés élus PACA d’horizons politiques très divers ont pu découvrir les institutions vaticanes. Le point fort a été évidemment une audience privée avec le Saint Père.
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