Culture
Apparu des la création de l’Université de Paris au XIIIe siècle, le baccalauréat disparaîtra donc après huit siècles de bons et loyaux services.
Les carriéristes de l’OTAN ont bien l’intention de préserver leur rente de situation.
On peut être surpris d’entendre affirmer, sans nuances, qu’elle était seulement mue par le goût de chanter et de prôner « un message d’amour, de paix et tolérance ».
L’indépendance, de toute façon, ne veut plus dire grand-chose à une époque où les frontières ne garantissent plus l’identité des peuples et où même les « grands » États-nations ont d’ores et déjà perdu l’essentiel de leur souveraineté.
Le récent débat sur la chaîne « Histoire » entre Jean-François Sirinelli et Jean Pierre Le Goff m’a inspiré ces quelques réflexions.
Le traitement médiatique de l’affaire est intéressant et révélateur des mentalités.
Depardieu symbolise tous les fantasmes de la sphère progressiste en sa qualité de mâle blanc dominateur.
Après des années d’attente angoissante à la limite du supportable pour certains, l’Australie vient de faire un pas déterminant vers… l’asexualisation.
Jean-Michel Blanquer a attendu la Saint Valentin 2018 pour présenter son grand projet : la réforme du baccalauréat. Il faut lui reconnaître un courage certain : sa réforme modifie totalement la forme de ce diplôme.
Mis à part des syndicats en extinction d’influence ou des associations de parents ou d’élèves ne représentant qu’eux-mêmes, les Français font bloc autour des propositions du ministre.
Il trône en tête des ventes. Il a gagné son pari du roman populaire. Et ce succès est mérité.
Les musulmans sont aussi des êtres humains comme les autres, avec leurs forces et leurs faiblesses. Nombre d’entre eux le savent et ne le disent pas assez fort.
« Tagueur de radars » ? Kezaco ?
Là où il faudrait une pré-professionnalisation par filières qui préparent à l’université ou à la pratique d’un métier, la réforme impose ce qui a déjà tué le collège : le tronc commun.
Plus vacharde que la malédiction de Toutankhamon, celle du rock and roll vient de frapper à nouveau, avec l’héritage de Johnny Hallyday.
Après la lecture d’un article de presse, il est toujours intéressant de regarder les commentaires des lecteurs…
60 % des céréaliers ne dégagent plus de revenus et 30 % des agriculteurs vivent avec moins de 400 € par mois.
Aurélien Cotentin n’est pourtant pas le seul à avoir une vision toute particulière de ces délicieux transports susceptibles d’unir l’homme et la femme en un grand frisson commun.
« L’auteur sera mis dans un asile. Et si dans 6 mois, 1 an ou 10 ans, un psychologue ou un psychiatre décide qu’il n’est plus fou, on le relâchera. »
Les élites oligarchiques sont arrivées à la croisée des chemins dans les préparatifs concernant l’instauration d’un ordre nouveau planétaire.
« J’ai contacté des avocats qui m’ont bien confirmé que les images en question relevaient bien de l’apologie de la pédophilie.«
Michel Déon, mort en Irlande à l’âge de 97 ans, n’aura pas de sépulture à Paris. Telle est la décision de la mairie de Paris. Et ce, malgré la demande de l’Académie française.
Attendez ne partez pas ! Ce n’est pas ce que vous croyez, un bouquin pour grenouille de bénitier qui va mortellement vous saouler. Au contraire, vous allez le dévorer.
Sur les ravages de l’immigration en Europe, les yeux s’ouvrent les uns après les autres, les dominos tombent, et les forteresses que l’on croyait les plus inexpugnables s’effondrent.
Le concours est élitiste, il sélectionne les meilleurs. C’est entendu. Faudrait-il faire une place dans l’élite aux médiocres ?
Je viens d’achever la lecture d’un petit livre que notre Président devrait lire avant de structurer l’islam de France comme il vient de nous l’annoncer.
Il est loin, le temps où Albert Camus disait joliment que la langue française était sa patrie.
Il pourrait dissuader ceux qui ont de profondes lacunes en expression écrite, en analyse de textes, en logique ou en culture générale, de s’inscrire. Et cela, c’est insupportable !
Apparu des la création de l’Université de Paris au XIIIe siècle, le baccalauréat disparaîtra donc après huit siècles de bons et loyaux services.
Les carriéristes de l’OTAN ont bien l’intention de préserver leur rente de situation.
On peut être surpris d’entendre affirmer, sans nuances, qu’elle était seulement mue par le goût de chanter et de prôner « un message d’amour, de paix et tolérance ».
L’indépendance, de toute façon, ne veut plus dire grand-chose à une époque où les frontières ne garantissent plus l’identité des peuples et où même les « grands » États-nations ont d’ores et déjà perdu l’essentiel de leur souveraineté.
Le récent débat sur la chaîne « Histoire » entre Jean-François Sirinelli et Jean Pierre Le Goff m’a inspiré ces quelques réflexions.
Le traitement médiatique de l’affaire est intéressant et révélateur des mentalités.
Depardieu symbolise tous les fantasmes de la sphère progressiste en sa qualité de mâle blanc dominateur.
Après des années d’attente angoissante à la limite du supportable pour certains, l’Australie vient de faire un pas déterminant vers… l’asexualisation.
Jean-Michel Blanquer a attendu la Saint Valentin 2018 pour présenter son grand projet : la réforme du baccalauréat. Il faut lui reconnaître un courage certain : sa réforme modifie totalement la forme de ce diplôme.
Mis à part des syndicats en extinction d’influence ou des associations de parents ou d’élèves ne représentant qu’eux-mêmes, les Français font bloc autour des propositions du ministre.
Il trône en tête des ventes. Il a gagné son pari du roman populaire. Et ce succès est mérité.
Les musulmans sont aussi des êtres humains comme les autres, avec leurs forces et leurs faiblesses. Nombre d’entre eux le savent et ne le disent pas assez fort.
« Tagueur de radars » ? Kezaco ?
Là où il faudrait une pré-professionnalisation par filières qui préparent à l’université ou à la pratique d’un métier, la réforme impose ce qui a déjà tué le collège : le tronc commun.
Plus vacharde que la malédiction de Toutankhamon, celle du rock and roll vient de frapper à nouveau, avec l’héritage de Johnny Hallyday.
Après la lecture d’un article de presse, il est toujours intéressant de regarder les commentaires des lecteurs…
60 % des céréaliers ne dégagent plus de revenus et 30 % des agriculteurs vivent avec moins de 400 € par mois.
Aurélien Cotentin n’est pourtant pas le seul à avoir une vision toute particulière de ces délicieux transports susceptibles d’unir l’homme et la femme en un grand frisson commun.
« L’auteur sera mis dans un asile. Et si dans 6 mois, 1 an ou 10 ans, un psychologue ou un psychiatre décide qu’il n’est plus fou, on le relâchera. »
Les élites oligarchiques sont arrivées à la croisée des chemins dans les préparatifs concernant l’instauration d’un ordre nouveau planétaire.
« J’ai contacté des avocats qui m’ont bien confirmé que les images en question relevaient bien de l’apologie de la pédophilie.«
Michel Déon, mort en Irlande à l’âge de 97 ans, n’aura pas de sépulture à Paris. Telle est la décision de la mairie de Paris. Et ce, malgré la demande de l’Académie française.
Attendez ne partez pas ! Ce n’est pas ce que vous croyez, un bouquin pour grenouille de bénitier qui va mortellement vous saouler. Au contraire, vous allez le dévorer.
Sur les ravages de l’immigration en Europe, les yeux s’ouvrent les uns après les autres, les dominos tombent, et les forteresses que l’on croyait les plus inexpugnables s’effondrent.
Le concours est élitiste, il sélectionne les meilleurs. C’est entendu. Faudrait-il faire une place dans l’élite aux médiocres ?
Je viens d’achever la lecture d’un petit livre que notre Président devrait lire avant de structurer l’islam de France comme il vient de nous l’annoncer.
Il est loin, le temps où Albert Camus disait joliment que la langue française était sa patrie.
Il pourrait dissuader ceux qui ont de profondes lacunes en expression écrite, en analyse de textes, en logique ou en culture générale, de s’inscrire. Et cela, c’est insupportable !
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