Le débat
Trois semaines d’activité, quatre présences en commission, 0 intervention.
Singulier discours que celui prononcé par Jupiter/Zeus lui-même au pied de l’Acropole, il y a dix jours.
Avec la pénurie qui s’annonce, certains finiront peut-être bien par se battre pour un objet à mille euros pièce.
Joseph Thouvenel fait le point sur les problématiques posées par les ordonnances de réforme du Code du travail.
Cet été, Boulevard Voltaire a rencontré chez lui Jean Lassalle, ancien candidat à la présidence de la République.
Ce sujet pourrait prêter seulement à sourire si ce n’était l’importance relative qu’il a pris dans le débat de société.
Sur son blog, le Père Laurent Stalla-Bourdillon caricature les objections faites au message du pape pour mieux les écarter. Déception.
L’État a le devoir de protéger ses ressortissants, y compris par les armes si nécessaire.
Durant le mois d’août, Boulevard Voltaire fait découvrir à ses lecteurs un livre récent que la rédaction a apprécié.
Il y a quelque vanité à déclarer, comme Emmanuel Macron, que « le peuple français, c’est un peuple qui déteste les réformes ».
Les opinions publiques en général ne comprennent rien aux mécanismes monétaires, et, en Afrique, ne connaissent pas le fonctionnement du CFA.
Le ministre de l’Éducation nationale propose des pistes nouvelles, qui ne sont qu’un retour au bon sens.
Les partisans de la méthode forte pourraient reprendre à leur compte la formule célèbre de Saint-Just : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ».
Nos supérieurs hiérarchiques sont parfois plus ignares que nos élèves ou nos ouvriers et il faut commencer par le rappeler à monsieur Macron.
En Catalogne, ces derniers temps, l’actualité se partageait en deux sujets : l’indépendance, donc, et le rejet des touristes…
L’auteur de la pétition se félicite « qu’Emmanuel Macron ait rétropédalé, cela montre qu’il a été à l’écoute des citoyens ».
Estimant que la « hollandisation de Macron est commencée », il prédit « une crise de régime ».
Durant le mois d’août, Boulevard Voltaire fait découvrir à ses lecteurs un livre récent que la rédaction a apprécié.
L’univocité des médias de toute nature au service de la bien-pensance risque d’éparpiller façon puzzle le peu de démocratie qui reste à nos scrutins.
Quand on prétend redonner à la France et aux Français leur lustre passé, il faut aussi savoir se tenir à un certain niveau.
Les groupes de pression pro-immigrés et pro-immigration occupent encore une place indue dans le débat public. Voici comment les contrer.
Des séances houleuses, l’Assemblée en a connu, mais des pitoyables comme celle de cette semaine, rarement.
Emmanuelle Ménard, député de l’Hérault, a pris la parole ces derniers jours lors du débat sur le projet de loi relatif à la moralisation de la vie politique.
Le débat à l’Assemblée nationale ne méritait pas, pour des dispositions dont personne ne conteste l’intérêt public, d’être si mal dirigé et présidé.
Il y a belle lurette qu’hommes et femmes politiques se parlent et négocient par d’autres canaux que ceux des tweets.
Le bureau du Parlement européen, qui n’a pas de représentant eurocritique, utilise sa suprématie pour éliminer l’opposition.
François Bayrou pourra regarder devant son téléviseur l’œuvre de sa vie s’accomplir. Un peu comme ces cyclistes qui ont dû quitter le Tour pour claquage.
Traçons une vision claire de notre pays pour nos compatriotes. Pour cela, lisons, étudions notre histoire et pas seulement les sondages d’opinion !
Trois semaines d’activité, quatre présences en commission, 0 intervention.
Singulier discours que celui prononcé par Jupiter/Zeus lui-même au pied de l’Acropole, il y a dix jours.
Avec la pénurie qui s’annonce, certains finiront peut-être bien par se battre pour un objet à mille euros pièce.
Joseph Thouvenel fait le point sur les problématiques posées par les ordonnances de réforme du Code du travail.
Cet été, Boulevard Voltaire a rencontré chez lui Jean Lassalle, ancien candidat à la présidence de la République.
Ce sujet pourrait prêter seulement à sourire si ce n’était l’importance relative qu’il a pris dans le débat de société.
Sur son blog, le Père Laurent Stalla-Bourdillon caricature les objections faites au message du pape pour mieux les écarter. Déception.
L’État a le devoir de protéger ses ressortissants, y compris par les armes si nécessaire.
Durant le mois d’août, Boulevard Voltaire fait découvrir à ses lecteurs un livre récent que la rédaction a apprécié.
Il y a quelque vanité à déclarer, comme Emmanuel Macron, que « le peuple français, c’est un peuple qui déteste les réformes ».
Les opinions publiques en général ne comprennent rien aux mécanismes monétaires, et, en Afrique, ne connaissent pas le fonctionnement du CFA.
Le ministre de l’Éducation nationale propose des pistes nouvelles, qui ne sont qu’un retour au bon sens.
Les partisans de la méthode forte pourraient reprendre à leur compte la formule célèbre de Saint-Just : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ».
Nos supérieurs hiérarchiques sont parfois plus ignares que nos élèves ou nos ouvriers et il faut commencer par le rappeler à monsieur Macron.
En Catalogne, ces derniers temps, l’actualité se partageait en deux sujets : l’indépendance, donc, et le rejet des touristes…
L’auteur de la pétition se félicite « qu’Emmanuel Macron ait rétropédalé, cela montre qu’il a été à l’écoute des citoyens ».
Estimant que la « hollandisation de Macron est commencée », il prédit « une crise de régime ».
Durant le mois d’août, Boulevard Voltaire fait découvrir à ses lecteurs un livre récent que la rédaction a apprécié.
L’univocité des médias de toute nature au service de la bien-pensance risque d’éparpiller façon puzzle le peu de démocratie qui reste à nos scrutins.
Quand on prétend redonner à la France et aux Français leur lustre passé, il faut aussi savoir se tenir à un certain niveau.
Les groupes de pression pro-immigrés et pro-immigration occupent encore une place indue dans le débat public. Voici comment les contrer.
Des séances houleuses, l’Assemblée en a connu, mais des pitoyables comme celle de cette semaine, rarement.
Emmanuelle Ménard, député de l’Hérault, a pris la parole ces derniers jours lors du débat sur le projet de loi relatif à la moralisation de la vie politique.
Le débat à l’Assemblée nationale ne méritait pas, pour des dispositions dont personne ne conteste l’intérêt public, d’être si mal dirigé et présidé.
Il y a belle lurette qu’hommes et femmes politiques se parlent et négocient par d’autres canaux que ceux des tweets.
Le bureau du Parlement européen, qui n’a pas de représentant eurocritique, utilise sa suprématie pour éliminer l’opposition.
François Bayrou pourra regarder devant son téléviseur l’œuvre de sa vie s’accomplir. Un peu comme ces cyclistes qui ont dû quitter le Tour pour claquage.
Traçons une vision claire de notre pays pour nos compatriotes. Pour cela, lisons, étudions notre histoire et pas seulement les sondages d’opinion !
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
Un vert manteau de mosquées